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Merveilleuse Algérie

Publié le par Ahmed Miloud

Carte et drapeau de l'Algérie
Carte et drapeau de l'Algérie

« L’Algérie est sans doute le pays le plus spectaculaire que j’aie jamais photographiée, et c’est aussi celui où j’ai reçu le meilleur accueil » Citation de Yann Arthus-Bertrand,auteur de "l'Algérie vue du ciel".

ALGERIE EN PHOTOS SPLENDIDE…MERVEILLEUX

Pour voir plus de photos, taper sur le lien ci-dessous :

https://world-muslims-news.com/2018/01/02/algerie-en-photos-splendide-merveilleux/

 
Algérie : Les grottes féériques de Beni Add, près de Tlemcen

Situées à 10 kilomètres à l'est de la ville de Tlemcen dans la commune de Ain Fezza, les grottes de Beni Add qui datent d'environ 65000 ans se font remarquer par leurs charme et leurs beauté légendaire. Elles ont été rouvertes en juillet 2006, après leurs fermeture durant la dernière décennie.

Cette grotte garde des températures trés fraiches tout au long de l'année. Leurs profondeur est de 57 mètres et révèle des trésors et des architectures admirables.
Selon certaines sources, ces grottes aboutissaient à Ghar Boumaza (40 kilomètres plus loin), un système hydrologique souterrain qui constitue, selon des spécialistes, le plus grand réseau caverneux souterrain connu en Algérie. Elle a été utilisé par les moudjahidine comme refuge durant la guerre de Libération nationale et une fois au courant de ce passage, l'armée coloniale bloqua le chemin, précise-t-on.

Source :

http://algerie.voyage.over-blog.com/article-algerie-les-grottes-feeriques-de-beni-ad-71374250.html

"L'Algérie vue du ciel" de Yann Arthus-Bertrand

 

 

 

"L'Algérie vue du ciel" est un documentaire produit par le photographe français, accompagné par l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel. Il a été diffusé pour la première fois en 2015 sur France 2.

Yann Arthus-Bertrand avait par ailleurs déjà sorti, en 2006, un livre avec Benjamin Stora et Djamel Souidi, "L'Algérie vue du ciel

Voir la vidéo complète ici :

https://youtu.be/jZYlBVRtSt4

Algérie est le premier documentaire réalisé entièrement vu du ciel sur l’Algérie. L’œil de Yann Arthus-Bertrand nous fait découvrir ce pays grandiose, aux richesses culturelles et naturelles rarissimes. Du Nord au Sud et d’Ouest en Est, c’est le quotidien de toute une population que nous montre le réalisateur, qu’elle habite les trépidantes grandes villes côtières, les montagnes de l’Atlas, les oasis du Sahara ou les douces collines du Sahel. Riche d’un passé où semblent s’être croisées toutes les civilisations, et d’un territoire où semblent exister tous les milieux naturels, l’Algérie apparaît ici dans toute sa diversité et son unité. Le réalisateur laisse libre cours à sa fascination des formes, des couleurs, des visages et des empreintes humaines pour réaliser un portrait exceptionnel du pays le plus grand du continent Africain et du pourtour méditerranéen.

El Djazair, Alger, ou la porte vers le pays le plus immense du Maghreb, du bassin méditerranéen tout entier, et de l’Afrique. Depuis la mer, Alger « la blanche », « la joyeuse » ou encore « la bien gardée » apparaît comme un joyau étagé sur le flanc de coteaux couronnés de verdure, épousant sa baie en faucille. 3 millions d’Algérois vivent désormais dans son agglomération, un dixième de la population du pays, et par son port transite un tiers des échanges internationaux du pays.

Comme chaque automne, les familles rejoignent les plages dès la sortie de l’école pour des bains jusqu’au crépuscule. Derrière, le bas d’Alger se dessine, avec ses allures de parisiennes dues à ses avenues haussmanniennes, signe de plus d’un siècle de colonisation française. La Casbah au Nord, inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco dès 1992, est un héritage des Turcs, quand la ville fut byzantine et avec elle toute la côte maghrébine. Le plus vieux quartier d’Alger culmine à 118m au dessus de la mer, et dans leur lacis de ruelles, d’escaliers, d’impasses et leurs cours ouvertes sur le ciel, les maisons semblent dégringoler de la colline. La Casbah contient toute l’histoire contemporaine d’Alger entre ses murs et maintenant encore, les fenêtres hérissées d’antennes semblent regarder vers l’Europe, témoignage peut-être de la richesse de la diaspora algérienne, qui emporte avec elle sa culture et amène celle de la France, de l’Espagne, de l’Italie, des Etats-Unis ou du Canada. Perchée sur les collines, Notre Dame d’Afrique, construite sous les Français mais d’architecture byzantine semble dialoguer avec la mosquée Bologhine, du nom du prince qui fonda la ville il y a plus de 1000 ans sur les ruines d’Icosium, ancien port de commerce romain. L’Algérie porte dans ses terres toutes les traces des cultures qui ont façonné notre civilisation, Phéniciens, Romains, Numides, Arabes, Ottomans, Européens... A 60km à l’Ouest d’Alger, Tipaza n’est plus qu’un village mais les ruines de la cité antique témoignent d’un passé glorieux qui a fait dialoguer les cultures. Entre mer et montagne, abritée par le mont Fenoua qui la surplombe, Tipiza fut fondée par les Phéniciens il y a plus de 2400 ans pour y abriter l’un de leurs comptoirs. Puis vinrent les rois numides et Juba II, roi éclectique et bâtisseur qui avait étudié à Rome, qui en fit un foyer rayonnant d’art et de culture gréco-latine. Il introduisit en Algérie les normes architecturales et urbanistiques les plus évoluées : les égouts, les canalisations, les thermes, le dallage des rues et l’art de la mosaïque... C’était il y a 2000 ans. Tipaza devint ensuite une colonie latine puis l’un des grands foyers du christianisme africain. En témoignent les ruines de la grande basilique, les chapelles, le baptistère et la nécropole construites face à la mer.

1000 km de côtes abruptes sur la mer et de collines douces sur l’arrière, le massif montagneux du sahel algérois impose sa géographie. Ici, les champs suivent les contours des falaises, et le bleu de la mer tranche avec l’ocre de la roche et le vert vif des pâturages ou des cultures. Là, dans les villages aux maisons ramassées, tout un monde de petits cultivateurs se consacre à la culture du blé, de la vigne, des arbres fruitiers, des fleurs et des légumes. En Algérie, 44 % de la population est rurale, 14 % des personnes en âge de travailler se consacrent à l’agriculture et la plupart des fruits et des légumes frais consommés sont produits dans le pays. Pour relier les établissements humains, les ports entre eux, on a dû ouvrir des routes en corniche. A l’est d’Alger, ce sont les hautes terres, dont l’altitude moyenne dépasse les 400 m. En Kabylie, les champs d’oliviers côtoient les sommets enneigés du mont Lalla-Khadidja, son point culminant à 2308m d’altitude. Les différences climatiques et topographiques en font une région d’une richesse faunistique et floristique insoupçonnée. Les plus grandes forêts de chêne liège du sud de la Méditerranée s’y déploient, à côté des érables ou encore du grand cèdre de l’Atlas. L’Algérie est avec l’Afrique du Sud le pays d’Afrique comptant le plus de réserves de biosphère. Et plus à l’Est encore on découvre Constantine, l’ancienne Cirtes, capitale des rois Numides et aujourd’hui troisième ville du pays, prouesse urbanistique accrochée à la roche autant qu’à ses ponts. Au Sud, c’est le Sahara. Il couvre 80 % du territoire. Territoire énergétique de demain ? Son exploitation par l’énergie solaire pourrait couvrir tous les besoins électriques des Algériens et Européens réunis. Les dunes se meuvent au cours des années couvrant et découvrant de multiples sites préhistoriques de grandes richesses. Les massifs montagneux émoussés émergent du sable comme les roches greseuses taillées en colonnes. Dans la région du tassili, on trouve le plus grand musée néolithique à ciel ouvert, riche de milliers de gravures rupestres et de tombes à enclos perchées sur les hauteurs, datées de plus de 6000 ans. Le Sahara est jalonnée d’ilots de verdure et de vie, d’oasis où le palmier dattier domine les cultures maraichères et arbustives, et où les oiseaux migrateurs trouvent leur halte. A 600 km au sud d’Alger, la vallée du M’zab apparaît comme un joyau avec ses cinq villes mozabites qui semblent posées au creux des dunes, El Ateuf, Ben Izguen, Bounoura, Melika et Ghardaia, inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco pour sa splendeur et son originalité architecturale. En plein désert, elle est l’un des centres économiques les plus importants du pays et compte plus de 100 000 habitants. Du ciel, on lit la courbe des ruelles, on devine la fraîcheur des patios au centre des terrasses qui s’enroulent comme la coquille d’un escargot autour de la mosquée centrale.

Dans ce voyage qui court les millénaires et les territoires, l’Algérie frappe. Sur ses roches, dans ses ports ou ses déserts, elle semble témoigner sans cesse de l’incroyable diversité que peut produire le genre humain.

Source :

http://www.yannarthusbertrand.org/fr/home

La Plage de Barbadjani

La plage de Barbadjani

La plage de Barbadjani est situé dans la Wilaya de Tlemcen à quelques kilomètres à l'ouest de la plage et du petit village balnéaire de Honaine et à une dizaines de kilomètres à l'est de la ville de Ghazaouet. Cette plage est encore à l'état sauvage et l'unique moyen d'y accéder est par bateau.

Ce site est très connu des Tlemceniens qui y viennent se délasser, pêcher et piqueniquer. La plage s'étend sur 500 mètres environ à l'ombre d'une grande falaise.

La plage de Barbadjani

La plage de Barbadjani est agrémenté d'une source d'eau douce, il suffit de creuser de ses propres mains pour trouver de l'eau fraîche.

Du fait de sa position unique, protégé par une grande falaise, crique et plage sont à l’abri de toute vue à partir de la mer. Autrefois la plage servait de cache et de guet aux corsaires qui depuis cette plage lancée des attaques contre les galions espagnols de passage au loin.

Le nom Barbadjani vient du fait qu'au XIX ème siècle un vieux pécheur italien de Ghazaouet, l'oncle Jeani "Barba Jani" avait l'habitude d'y abriter son bateau

Source :

http://www.tlemcen-dz.com/plages/plage-barbadjani.html

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