France,patrie de l'islamophobie et du racisme
" Nos mal-aimés ", livre sur l'islamophobie en France
Auteur : Claude Askolovitch
C'est l'histoire d'un journaliste vaguement connu et qui en a vu d'autres, qui se retrouve chomeur pour avoir defendu la viande halal. Il decide d'en faire un livre, pour comprendre ce qui nous arrive, dans ce pays ou Madame Le Pen est proclamee normale et ou des socialistes veulent bannir les puericultrices voilees.
C'est l'histoire de ces musulmans de France, que l'on n'aime pas avec les meilleures intentions du monde, et qu'on oblige a se fondre ou a se cacher, a mentir sur eux-memes ou a perir socialement.
C'est l'histoire d'une banquiere qui prie en cachette dans un placard a balais, d'une etudiante qui retire son voile pour decrocher un stage, d'un salafiste qui conduit des bus et visite Disneyland, d'un medecin qui venge sa mere universitaire qui n'a jamais pu travailler - parce que la Republique ne voulait pas de son voile. Et celle d'un ecolo qui aurait pu devenir ministre en Tunisie islamiste, d'un rappeur marie a 15 ans devant monsieur l'Imam, d'un footballeur chaste par amour de Dieu, et d'un predicateur frere musulman qui cite Camus et ecrit des poemes.
Ce sont des Francais raleurs qui mangent du tournedos halal et trouvent parfois bien des raisons au Hamas - car rien n'est simple, que croyez-vous?
C'est l'histoire d'un pays, le notre, qui traite mal une partie de lui-meme, qui se ment sur la Republique et la laicite quand il pietine les gens et rate ce qu'il devient: une France metisse et aussi musulmane, instable et complexe, une France riche, si elle osait, si elle arretait de trembler et de se complaire dans son declin.
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Voir vidéo de l'interview de l'auteur par France 24 :
Voyons ce que dit Jacques Chirac :
« Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugaistravaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui habite à la Goutte-d'or où je me promenais avec Alain Juppé il y a trois ou quatre jours, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique, les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes. […] [Au sujet des épiciers de proximité] La plupart de ces gens-là sont des gens qui travaillent, des braves gens ; on est bien content de les avoir. Si on n'avait pas l'épicier kabyle au coin de la rue, ouvert de 7 heures du matin à minuit, combien de fois on n'aurait rien à bouffer le soir ? »(Allocution de Jacques Chirac du 19/06/1991 au cours d'un débat devant le RPR, rapporté par le journal Le Monde du 21/06/1991).
"Le racisme est scientifiquement stupide. Le fait de naître dans une famille ou un pays est uniquement lié au hasard et déconnecté de tout mérite personnel. Comme la beauté." (Weber)
Le racisme et l'islamophobie tirent leurs origines de la colonisation française des pays musulmans, notamment l'Algérie, comme le souligne l'article suivant .Il suffit de lire des citations racistes et islamophobes de certaines élites françaises, dont celle considéré le plus "illustre" des français, Charles de Gaulle:
"Pour moi j’ai, de tous temps, mais aujourd’hui plus que jamais, ressenti ce qu’ont en commun les nations qui la peuplent [l'Europe]. Toutes étant de même race blanche, de même origine chrétienne, de même manière de vivre, liées entre elles depuis toujours par d’innombrables relations de pensée, d’art, de science, de politique, de commerce, il est conforme à leur nature qu’elles en viennent à former un tout, ayant au milieu du monde son caractère et son organisation."Mémoires d'espoir : 1, Le Renouveau, 1958-1962, Charles de Gaulle, éd. Plon, 1970, p. 181-182
Des propos rapportés, mais jamais écrits par le général
"La France est un pays de race blanche" : cette phrase fait partie des citations attribuées à Charles de Gaulle par Alain Peyrefitte, ancien ministre de l'Education nationale du général, dans son ouvrage C'était De Gaulle, rappelle L'Obs.
Anadolu s’est plongé au cœur de l’histoire de l’immigration française pour comprendre les enjeux, les mutations et les symptômes de ce racisme envers les populations immigrées, avec pour principales cibles, les citoyens de confession musulmane.
Le racisme en France a évolué au fil des décennies. Anadolu s’est plongé au cœur de l’histoire de l’immigration française pour comprendre les enjeux, les mutations et les symptômes de ce racisme envers les populations immigrées, avec pour principales cibles, les citoyens de confessions musulmane.
La guerre d’Algérie : une plaie jamais refermée
Selon les sources officielles, en 1954, date du début de la guerre d’Algérie, la France compte 211.000 Algériens en métropole. En 1962, ils seront près de 350.000. Dans ce contexte si particulier, où la guerre pour l’indépendance fait des milliers de victimes sur le sol algérien, la France met en place une véritable répression sur son territoire pour tenter de museler les musulmans qui auraient des revendications.
A l’image de cette haine viscérale des militants indépendantistes, la police française, sous les ordres du préfet Maurice Papon, sera responsable du « massacre du 17 octobre 1961 ». Ce soir-là, des centaines d’Algériens, qui manifestaient contre un couvre-feu leur interdisant de sortir le soir, seront littéralement torturés, frappés à mort et des dizaines d’entre eux, jetés dans la Seine.
La France finira par perdre la guerre d’Algérie et rapatriera les pieds-noirs en métropole. Près de 70.000 harkis, ayant eux-aussi la nationalité française, ont également été accueillis en France. Ces supplétifs de l’armée qui se sont battus pour que l’Algérie demeure française, se sont ensuite retrouvés abandonnés, dans des camps, livrés à eux-mêmes, sans aucune reconnaissance ni statut.
Avec cette arrivée massive de « Français musulmans », les déclarations racistes se multiplient, légitimant les discriminations à l’encontre des Algériens. A titre d’exemple, dans un ouvrage consacré à l’histoire des harkis, l’écrivain et journaliste Pierre Daum, rapporte une phrase cinglante du Général De Gaulle « harkis ou pas harkis, ce sont des musulmans et la France, qui est un pays chrétien, n’est pas faite pour accueillir des musulmans », laissant présager le pire.
A partir de 1973 : une décennie charnière dans l’explosion du racisme
Fin 1972, la France met en application la circulaire Fontanet. Cette directive indique que les emplois sur le territoire, ne sont réservés qu’aux Français et étrangers en situation régulière, et calque la durée de la carte de séjour, sur la durée de validité des cartes de travail des étrangers.
Un mouvement de protestation se mettra en place progressivement et le 12 juin 1973, à Grasse, dans les Alpes-Maritimes, des immigrés algériens et portugais, décident de manifester pour le « droit à être en situation régulière et obtenir une carte de séjour ».
Le maire de la ville, Hervé De Montmichel, fera asperger les manifestants avec des lances à incendie, conduisant à une véritable ratonnade. Assumant complètement son geste, il déclarera par la suite « Les arabes se comportent dans la ville comme en terrain conquis. Ces gens-là sont différents de nous, ils vivent la nuit, c’est très pénible d’être envahis par eux ». A l’époque, le journal le Nouvel Obs, met en lumière un « triangle brun du racisme » entre Cannes, Grasse et Nice, orchestré par le député maire de Nice, Jacques Médecin.
La situation géographique de ces faits de racisme et de discrimination, n’est pas anodine. Le sud de la France a accueilli la majorité des pieds-noirs et des harkis rapatriés d’Algérie. Comme le rappelle l’historien Yvan Gastaut dans un rapport sur « la flambée du racisme de 1973 », la rancœur liée à la guerre d’Algérie a parfois fait que « dans le midi, le conflit a eu tendance à se rejouer en d’autres temps et d’autres lieux », précisant même que « les Algériens spécialement visés furent considérés comme les envahisseurs qui poursuivent leur conquête de la France ».
Le collectif « cases rebelles » a publié fin 2016, un ouvrage qui recense les crimes policiers, symptomatiques d’un réel racisme d’Etat. Ainsi, au fil des pages, on peut voir défiler le portrait de Mohamed Diab, tué en novembre 1972 par un policier qui lui criait « oui, je te tue sale race ! » avant de tirer, ou encore l’assassinat à Marseille, le 18 octobre 1980, de Lahouari Ben Mohamed, ce jeune de 17 ans, abattu sans aucune raison par un CRS qui venait de lui dire « je ne sais pas si c’est le froid, mais j’ai la gâchette facile ce soir ». Il y en aura d’autres, des dizaines, et de très minces, voire d’inexistantes condamnations.
1983 : « La marche pour l’égalité et contre le racisme » redonne de l’espoir
En 1983, Marseille est de nouveau le théâtre du meurtre raciste d’un enfant de 13 ans. Une poignée de militants lyonnais et marseillais, décide de rallier le quartier de la Busserine où Lahouari Ben Mohamed avait été tué trois ans plus tôt. Le 15 octobre 1983, ils seront 32 à partir pour une « marche » nationale qui atteindra Paris le 6 décembre avec plus de 100.000 personnes.
Les marcheurs seront reçus à l’Elysée par le président de la République François Mitterand. Cette initiative donnera beaucoup d’espoirs aux jeunes qui dénoncent le racisme et les discriminations dont ils sont quotidiennement victimes. Face à l’ampleur du mouvement, la classe politique française est forcée à réagir.
Le Parti Socialiste au pouvoir, parachutera la création d’une association « SOS Racisme » et très vite, les militants à l’initiative de la désormais célèbre « marche des beurs » se rendent compte que cette structure tente de museler leur parole en s’appropriant ce combat qui est le leur.
La liste des crimes racistes, continue elle, de s’allonger: Laïd Khanfar, tué par un douanier, Abdel Benyahia, tué par un policier, feront partie de ceux que l’on appelle tragiquement « la génération Malik Oussekine ». Le jeune étudiant avait été tué par la police française à coups de matraque pour avoir participé à une manifestation étudiante. Malik Oussekine sera considéré par l’Etat français comme « le mort de trop ». Le ministre Devaquet sera contraint de démissionner, le peloton des voltigeurs à l’origine du meurtre de Malik sera dissout et la France tentera désespérément de redorer son blason.
L’islamophobie, symbole du racisme encore ancré dans les mentalités
Après les épisodes racistes des années 80, l’Etat français met un place une politique « d’intégration », tente de faire bonne figure en criminalisant les discriminations. Mais très vite, les habitudes reprennent avec un angle légèrement différent.
Le racisme anti-arabe faisant mauvais effet, l’attention des médias et de l’opinion publique se focalise, à partir des années 90, sur la communauté musulmane, de plus en plus visible. Dès 1989, on assiste à la première affaire islamophobe dans l’hexagone « l’affaire de Creil ».
Trois élèves d’un collège de l'Oise, se voient signifier par leur directrice, qu’elles ne peuvent plus assister aux cours à cause de leurs foulards. C’est un tollé dans le pays, et le ministre de l’éducation nationale déclare que « l’école est faite pour accueillir les enfants et pas pour les exclure ». Les élèves seront finalement réintégrées quelques jours après leur exclusion mais ce ne sera que le début d’une longue série d’interdits.
En 2004, l’Assemblée Nationale votera une loi interdisant formellement le port de signes religieux jusqu’au lycée. C’est évidemment le port du voile islamique qui est visé et le gouvernement feindra de s’étonner de la fuite de certains élèves vers des lycées musulmans.
Août 2016, dans le sud de la France, la majorité des villes de la Côte d’Azur, prennent des arrêtés municipaux pour interdire le port « de tenues non laïques sur les plages » de leurs communes. Les maires à l’initiatives de ces arrêtés expliqueront qu’ils ne visent que les burkinis sur les plages, mais dans la réalité des faits, ce sont 14 jeunes femmes qui ont été verbalisées dont 12 pour le port d’un simple foulard.
Les arrêtés seront « cassés » par le Conseil d’Etat le 26 août, considérant qu’ils « constituent une atteinte grave et illégale à la liberté de culte ». AA
Source :
Chirac et l'immigration : "Le bruit et l'odeur"
Sur l'islam, l'islamisme et le djihadisme
Citations d'Alain de Benoist,philosophe français
Le terroriste moderne est le lointain descendant du combattant irrégulier des guerres de partisans.La différence est qu’il vise désormais des cibles indistinctes et qu’il agit à l’échelle mondiale, ce qui veut dire qu’il s’est « déterritorialisé ». Le terrorisme global est à l’image de notre temps : trasnational, fluide, organisé en réseaux. [...] Les victimes des bombes ne sont jamais la cible principale du terrorisme. Celui-ci vise avant tout les gouvernements et les opinions publiques. Les victimes immédiates ne sont pas des fins en soi, mais des moyens pour faire pression et frapper les esprits. Les médias, contraints de faire leurs gros titres sur l’événement, en sont le relais principal et, objectivement, les auxiliaires majeurs. [...] En outre, même s’il existe un lien entre eux, ce serait une grave erreur de confondre l’islam avec l’islamisme et l’islamisme avec le terrorisme. Il importe surtout de comprendre que, si les terroristes commettent des actes criminels, ce ne sont ni des « fous », ni des « criminels de droit commun », ni même des « fanatiques » dénués de toute rationalité. Leurs actes sont d’abord des actes politiques. Ils sont la conséquence de situations politiques concrètes.
- « Les attentats de Londres », Alain de Benoist, VoxNr, 13 juillet 2005 .
Les mêmes qui trouvent tout-à-fait normal que des caricatures antimusulmanes paraissent dans un "pays libre" accepteraient-ils de la même façon la publication de caricatures antijuives ? Ceux qui rient de voir représenté Mohamet dans des postures équivoques ou grotesques admettraient-ils avec la même facilité la diffusion mondiale d'images pornographiques d'Anne Frank ? Diraient-ils qu'il ne s'agit après tout que de caricatures, en laissant entendre que ceux qui s'en offusquent sont exagérément " susceptibles " ? On sait bien que non. Il y a dans les pays européens des lois qui sanctionnent l'antisémitisme, mais il n'y en a aucune qui sanctionne l'islamophobie. Pour nombre de musulmans, il y a là deux poids et deux mesures..
- Alain de Benoist, Éléments, nº 120, 2006, p. 7
Mettre dans le même sac les problèmes de l’immigration, de l’islam, de l’islamisme et du djihadisme est vraiment la marque de fabrique des esprits paresseux.
- « Alain de Benoist : Les reniements du PC ne m’inspirent que du dégoût… », Alain de Benoist, Boulevard Voltaire, 3 mars 2013.
Les islamologues de comptoir, qui traitent de l’islam comme d’un tout homogène et unitaire, citent (de seconde main) les sourates du Coran comme d’autres « experts » citent les Protocoles des Sages de Sion, et dénoncent leurs contradicteurs comme des « islamo-fellateurs », « lécheurs de babouche » et « dhimmis » en puissance, rentrent dans cette catégorie, qui relève moins de la politique que du trouble obsessionnel compulsif.
- « Alain de Benoist : Phobies en tout genre et points Godwin : l’État se défend comme il peut… », Alain de Benoist, Boulevard Voltaire, 3 mars 2014.
Les djihadistes (ou les lanceurs de fatwas) sont aussi représentatifs de l’islam que le Ku Klux Klan est représentatif de la chrétienté. Au demeurant, ce ne sont pas les djihadistes, mais les Occidentaux qui ont les premiers agité le spectre du « clash des civilisations » après s’être employés à déstabiliser tout le Proche-Orient et à éliminer tous les chefs d’État arabo-musulmans qui, de Saddam Hussein à Kadhafi, avaient érigé des barrages contre l’islamisme radical. La nécessité de lutter contre les conséquences immédiates ne doit pas faire oublier la réflexion sur les causes premières.
- « Charlie Hebdo, libéral-libertaire, était devenu l’un des organes de l’idéologie dominante », Alain de Benoist, Boulevard Voltaire, 9 janvier 2015.
Les djihadistes assurent qu’ils représentent le « véritable islam », les islamophobes leur donnent raison en disant qu’il n’y a pas de différence entre l’islam et l’islamisme. Que les premiers commettent des attentats alors que les seconds verraient plutôt sans déplaisir se multiplier les pogroms contre ceux qui « rejettent le mode de vie occidental » (le sympathique mode de vie mondialisé de la consommation soumise) n’y change rien. Les islamophobes sont les idiots utiles de l’islamisme radical.
- « Alain de Benoist : Les islamophobes sont les idiots utiles de l’islamisme radical », Alain de Benoist, Boulevard Voltaire, 18 janvier 2015 .
Nous faisons la guerre chez eux, ils font la guerre chez nous. C’est aussi simple que cela.
- Alain de Benoist après les Attentats de novembre 2015 en Île-de-France
- « Alain de Benoist : Nous faisons la guerre chez eux, ils font la guerre chez nous », Alain de Benoist, Boulevard Voltaire, 29 novembre 2015.
Le « choc des civilisations » n’est qu’une formule dans laquelle chacun met ce qu’il veut. La principale faiblesse des explications « culturalistes » des conflits est de faire l’impasse sur les logiques politiques qui conduisent à ces conflits, et aussi de faire oublier que l’immense majorité des conflits ont toujours eu lieu (et continuent d’avoir lieu) au sein d’une même civilisation.
- « Alain de Benoist : Djihadisme et choc des civilisations ? Une formule fourre-tout », Alain de Benoist, Metamag, 15 avril 2016.
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https://www.youtube.com/watch?v=nE-pqlfX8Jw&feature=youtu.be
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