L'interdiction de fêter les fêtes des non-musulmans et de les féliciter pour celles-ci
|
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Il y a un dossier complet sur ce sujet qui peut être consulté sur le lien suivant : L'interdiction de fêter les fêtes des non-musulmans et de les féliciter pour celles-ci À la fin de la sourate Al Fourqan, Allah a mentionné certaines caractéristiques de Ses serviteurs pieux et parmi elles, Il a dit (traduction rapprochée du sens du verset 72 de la sourate Al Fourqan n°25): « Ceux qui n'assistent pas aux choses fausses ». قال الله تعالى : والذين لا يشهدون الزور (سورة الفرقان ٧٢) D'après Al Hussein Ibn 'Aqil, Dahak (mort en 105 du calendrier hégirien) a dit à propos du verset - Ceux qui n'assistent pas aux choses fausses- : « C'est à dire les fêtes des non-musulmans ». (Rapporté par Ibn Abi Hatim dans son Tefsir n°15454) L'imam Ibn Abi Hatim (mort en 327 du calendrier hégirien) a dit après avoir rapporté le texte précédent : « Il a été rapporté la même chose de Abou Al 'Aliya, de Tawous, de Rabi' Ibn Anas et de Mouthana Ibn Sabah (*) ». (Tefsir Ibn Abi Hatim vol 8 p 2737) L'imam Ibn Kathir (mort en 774 du calendrier hégirien) a ajouté que cela a également été rapporté de Muhammed Ibn Sirin (*). (Tefsir Ibn Kathir vol 3 p 2097) (*) Tous les savants qui sont mentionnés sont des tabi'ins, ils ont étudié avec des compagnons du Prophète (qu'Allah les agrée tous). عن الحسين بن عقيل قال الضحاك في قول الله والذين لا يشهدون الزور : عيد المشركين (رواه ابن أبي حاتم في تفسيره رقم ١٥٤٥٤) ثم قال ابن أبي حاتم : وروي عن أبي العالية وطاوس والربيع بن أنس والمثنى بن الصباح نحو ذلك
(تفسير ابن أبي حاتم ج ٨ ص ٢٧٣٧) L'imam Dhahabi (mort en 748 du calendrier hégirien) a dit : « Allah a fait les éloges de ceux qui n'assistent pas aux fêtes des non-musulmans lorsqu'Il a dit : -Ceux qui n'assistent pas aux choses fausses -. Ainsi, ce verset montre que, à l'opposé, celui qui y assiste est réprouvé et a commis une chose interdite ». (Tachabouh Al Khasis Bi Ahl Al Khamis Fi Rad Al Tachabouh Bil Mouchrikin p 35) D'après Abou Al Moughira, 'Abdallah Ibn 'Amr (qu'Allah les agrée lui et son père) a dit : « Celui qui réside dans les pays des non-arabes, pratique leur Nayrouz et leur Mahrajan (1) et leur ressemble jusqu'à ce qu'il meurt alors qu'il est dans cette situation sera rassemblé avec eux le jour de la résurrection (2) ». (Rapporté par Al Bayhaqi dans Al Sounan Al Koubra n°18863 et authentifié par Cheikh Al Islam Ibn Taymiya dans Iqtida Siratal Moustaqim p 457 ainsi que par l'imam Ibn Qayim dans Ahkam Ahl Dhimma p 1248) (1) Ce sont les noms de deux fêtes des non-musulmans. Les autres fêtes que ces deux fêtes ont le même jugement. (2) L'imam Dhahabi (mort en 748 du calendrier hégirien) a dit : « Ceci montre que pratiquer les choses mentionnées fait partie des grands péchés » (Tachabouh Al Khasis Bi Ahl Al Khamis Fi Rad Al Tachabouh Bil Mouchrikin p 37) عن أبي المغيرة قال عبدالله بن عمرو رضي الله عنهما : من بنى ببلاد الأعاجم فصنع نيروزهم ومهرجانهم وتشبّه بهم حتّى يموت وهو كذلك حُشِرَ معهم يوم القيامة (رواه البيهقي في السنن الكبرى رقم ١٨٨٦٣ و صححه شيخ الإسلام ابن تيمية في في اقتضاء الصراط المستقيم ص ٤٥٧ و صححه أيضا الإمام ابن القيم في أحكام أهل الذمة ص ١٢٤٨) Cheikh Al Islam Ibn Taymiya (mort en 728 du calendrier hégirien) a dit : « La règle est que l'on ne fait strictement rien de spécial durant les jours de fêtes des non-musulmans, ils sont des jours exactement comme les autres jours ». (Iqtida Siral Moustaqim vol 1 p 518. Voir également Majmou' Al Fatawa 25/329) |
Source/المرجع http://www.hadithdujour.com/ Voir aussi
|
Les fêtes d'origine païenne - Islam, religion universelle
Yannayer Parmi les fêtes populaires célébrées dans l'Afrique du nord aujourd'hui, le Yennayer semble bénéficier d'une attention particulière, seule fête païenne qui continue à être fêt...
https://islamvraiereligion.over-blog.com/2018/01/yennayer-fete-paienne.html
Rejet de Noël par les vrais chrétiens
Beaucoup de gens feignent d’ignorer l’aspect mercantile, l’influence païenne ou l’impossibilité que le Christ soit né un 25 décembre pour se conforter dans des slogans comme « Remettre le Christ au centre de Noël ». Mais, comment de véritables chrétiens pourraient-ils être à l’aise en observant Noël, s’ils comprennent qu’il est impossible de « remettre le Christ au centre de Noël » car Noël est basé sur l’adoration de Satan ?
Il ne s’agit pas d’une nouvelle vérité ! Mais les Églises du monde cachent ou ignorent cette vérité ! Voici ce que révèle la Catholic Encyclopedia : « Noël ne faisait pas partie des fêtes originelles de l’Église […] Irénée et Tertullien ne la mentionnèrent pas dans leur liste des fêtes » (Volume 3, pages 724, 728. Sauf mention contraire, c’est nous qui traduisons tout au long de ce commentaire). Noël fut même brièvement proscrit dans le Massachusetts, en 1659, et en Angleterre, au milieu du 17ème siècle, au motif que cette fête n’était pas biblique.
Comprenez bien la chose suivante : avant l’existence Noël, il y avait les Saturnales romaines, et Noël tire ses origines de ces fêtes. Tertullien, qui est considéré comme un des pères de l’Église Catholique, écrivit – vers 200-206 apr. J.-C. – que pendant les Saturnales, les gens échangeaient des présents et il n’y avait « pas une pompe de Satan qui ne soit fréquentée » (Œuvres de Tertullien, Tome II, “De l’idolâtrie”, page 229, Ed. Vivès. Traduit par Eugène-Antoine de Genoude).
Cependant, les Saturnales étaient déjà l’adaptation d’une tradition plus ancienne – le mithraïsme, ou culte de Mithra, chez les Perses. Comme le rapporte la Catholic Encyclopedia : « Dans le mithraïsme, le plus grand dieu était Aiôn, aussi appelé Cronos ou Saturne. Et ce Saturne, dont le nom a été popularisé par le monde romain, n’est autre que l’ancien dieu iranien [perse] Zervan » (article “Mithraism”).
Les Romains adoptèrent le mithraïsme à bras ouverts, sous la forme des Saturnales. L’empereur Dioclétien bâtit un temple à Mithra à Carnuntum et « le 25 décembre fut observé comme étant son anniversaire de naissance, le natalis invicti, la renaissance du soleil après le solstice d’hiver » (Catholic Encyclopedia, article “Mithraism”).
Dans le mithraïsme, les festivités hivernales commençaient par l’adoration de Zervan, et ces célébrations s’achevaient le 24 décembre. Elles étaient suivies par le culte de la renaissance de Zervan et de la naissance de Mithra, le nouveau Saturne, né le 25 décembre, qui ramenait le soleil après chaque solstice d’hiver (Mithras, the Secret God, M.J. Vermaseren).
Les descriptions du dieu païen Zervan le représentent avec des ailes et avec un visage ressemblant pour partie à un homme, pour partie à un lion. Nous pouvons voir que Zervan est décrit avec les mêmes caractéristiques que les chérubins (2 Chroniques 3 :13 ; Ézéchiel 10 :14). De plus, Zervan était habituellement accompagné par des serpents qui montaient le long de ses jambes, de ses bras ou de son corps (The Mysteries of Mithra, Franz Cumont, 1903, page 93). Les Écritures nous révèlent que Satan (autrefois Lucifer) est un chérubin déchu (Ézéchiel 28 :14-16) et il est associé à l’image du serpent (Genèse 3 :1-14 ; Apocalypse 20 :2).
Un ange de justice ne permettrait pas qu’on l’adore (Apocalypse 19 :10, 22 :9). Et Apocalypse 9 :20 nous avertit que les idolâtres adorent en réalité des démons. Assurément, un chérubin demandant qu’on l’adore pendant le solstice d’hiver n’est pas un ange de justice. Qu’il s’attribue les noms de Zervan, Saturne ou encore d’autres pseudonymes, cette divinité n’est autre qu’une représentation de Satan, le chérubin déchu !
Mais, les Saturnales romaines et le mithraïsme perse étaient eux-mêmes des adaptations d’une religion à mystères encore plus ancienne – leculte des mystères de Babylone. Les Babyloniens célébraient la renaissance de Nimrod et la naissance de Tammuz en adorant un arbre à feuillage persistant (devenu de nos jours l’arbre de Noël). Les Babyloniens célébraient également cette renaissance pendant le solstice d’hiver. Jérémie condamna l’ancien Israël car ils avaient copié ces croyances païennes et il mentionne même spécifiquement un « arbre vert » dans Jérémie 3 :13.
Suite de l'article ici :
Beaucoup de gens feignent d'ignorer l'aspect mercantile, l'influence païenne ou l'impossibilité que le Christ soit né un 25 décembre pour se conforter dans des slogans comme " Remettre le Chris...
https://www.mondedemain.org/commentaires/pourquoi-satan-aime-noel
L'étoile qui orne le sapin de Noël provient de la vision des rois mages d'Orient comme le rapporte l'évangile de Matthieu .
Chapitre 2
01 Jésus était né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem
02 et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »
Quant au sapin lui-même, il est d'origine païenne celte ainsi que qa décoration.
"Entre 2000 et 1200 avant JC, on parlait déjà d’un arbre (L’épicéa, arbre de l’enfantement), le jour du 24 décembre, puisqu’on considérait ce jour comme la renaissance du soleil. Les celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires. A chaque mois lunaire était associé un arbre, l’épicéa fut celui du 24 décembre. Pour le rite païen du solstice d’hiver, un arbre symbole de vie était décoré avec des fruits, des fleurs et du blé."
En 354, l’Eglise institue la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre, pour rivaliser avec cette fête païenne. Initialement la célébration de Noël se résumait à la messe de la nativité." Lire la suite ici :
https://www.noel-vert.com/sapin-de-noel/histoire-du-sapin/
Voir aussi vidéo :