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juifs

Un rabbin se réjouit que L'Islam envahisse l'Europe

Publié le par Ahmed Miloud

rabbinJ’allais titrer ce post « L’aveu sans fard d’un rabbin talmudiste ». Je me suis repris… Il ne s’agit évidemment pas d’un “aveu”, mais de l’enseignement constant des talmudistes qui attendent la venue du mashia’h, du messie. Le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob a pourtant tenu Sa promesse, mais, comme l’écrit lumineusement saint Jean dans le prologue de son Évangile : « Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde. Il était dans le monde, et le monde était venu par lui à l’existence, mais le monde ne l’a pas reconnu. Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu » (1, 9-11). J’ignore qui est le rabbin qui s’exprime dans cette courte vidéo, et qui donne son enseignement à des élèves. Tout ce que je peux dire, c’est que cette vidéo a été mise en ligne sur Youtube le 24 août dernier. C’est limpide. Pour que le mashia’h vienne, il faut que la chrétienté disparaisse. Et pour qu’elle disparaisse, il convient qu’elle soit submergée puis détruite par l’islam… Je n’invente rien, voici les propres paroles du rabbin :

« Le mashia’h [מָשִׁיחַ , messie] ne viendra que quant Edom, l’Europe, la chrétienté sera totalement tombée. Donc je vous pose la question : “C’est une bonne nouvelle que l’islam envahisse l’Europe ?”. C’est une excellente nouvelle, ça annonce la venue du mashia’h. Excellente nouvelle. »

 

 

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La thanatophobie des soldats sionistes

Publié le par Ahmed Miloud

Soldats sionistes se mouillant par peur de quelques tirs de résistants Palestiniens

Mot à dire d'abord :

Il est de notoriété publique et historique que les juifs n'ont jamais possédé une armée organisée propre,car ils ont de tout temps vécu au sein des nations dans lesquelles ils sont citoyens à part entière, ceci d'une part,et d'autre part,ils sont  thanatophobes .Ils ont besoin toujours d'être défendus par les autres.Nous avons un exemple dans "l'état" sioniste

​​​​​Sa soi-disant armée "tsahal" n'est qu'un ramassis de mercenaires de différents pays dont la France selon un programme de volontariat appelé "Sar'EI" (1) mis en pratique par les sionistes.

Les sionistes vont jusqu'à faire de la publicité pour renflouer les caisses de cette "pauvre" armée "(2).

(1)"Sar’El est un programme de volontariat de courte durée (pas plus trois semaines généralement). Il permet à ses participants de partager une expérience avec des volontaires venus du monde entier pour travailler bénévolement dans une base de l’armée israélienne. Tous les volontaires sont les bienvenus à partir de 16 ans.L’un des avantages est la proximité avec les soldats.

 

Des volontaires du programme Sar-El

Ce n’est qu’à son arrivée en Israël que le volontaire reçoit son affectation. Il est ensuite conduit avec l’ensemble du groupe à la base où il va séjourner.

Les tâches sont diverses et dépendent des besoins de l’armée : préparer les repas des soldats, les trousses de premiers secours, réparer les appareils de communication, nettoyer le matériel militaire, etc.

Les participants sont installés dans les baraquements d’une base de l’armée israélienne aux côtés des soldats (de 4 à 8 personnes par chambre). Le travail dans la base se déroule du dimanche au jeudi, et le week-end (vendredi et samedi) est libre. Chaque soirée, sont organisées des activités éducatives mettant l’accent sur l’apprentissage de l’hébreu, l’histoire d’Israël, les fêtes et traditions juives, la situation sécuritaire, géopolitique et sociale d’Israël, etc.

En plus du travail quotidien, ce programme comprend, sur 3 semaines de volontariat : 2 excursions dont une visite de Jérusalem, des conférences, et des Shabbat organisés à la base.

Tout au long de l’expérience, les volontaires sont épaulés et guidés par une soldate qui s’occupe d’eux et les guide (la « madrikha »). C’est aussi elle qui répartit les tâches et leur organise excursions et activités.

Des volontaires de Sar’El en excursion

Pendant le week-end, les participants ont la possibilité de rester à la base et de passer Shabbat avec les soldats."

Source : https://tsahal.fr/informations-pratiques/rejoindre-tsahal/programmes-de-volontariat/

(2) Voir : http://www.torah-box.com/jesoutiens1soldat?gclid=CjwKCAiAvf3RBRBBEiwAH5XYqFGNmvHVFnsdOcAMl4rMfoc2sDJ2vNCr3kIG9-YqRcOA2DBzbSXN2xoCse8QAvD_BwE

En vérité, ce sont les États-Unis qui protègent l'entité sioniste avec l'aide de l'Europe dans le cadre de l'OTAN(1). Elle est considérée leur 51ème état et leur bras armé dans le Moyen-Orient, donc chasse gardée dans le sillage de la doctrine Monroe (2).

En outre , ce sont les États-Unis qui ont reconnu les premiers la ville d'Al Qods/Jérusalem comme "capitale de l'entité sioniste"(3).Il est à souligner qu'ils ont adopté les Lois Noahides (ou Noachides) ,éléments centraux du Talmud juif,dans leur Constitution (4).

(1) Voir : http://reseauinternationaMonroeO israel-devenu-membre-permanent-au-siege-de-lotan-a-bruxelles/ 

(2) Voir : http://www.algerieinfos-saoudi.com/article-2-decembre-1823-la-doctrine-monroe-de-la-chasse-gardee-113039438.html

(3) Voir : https://www.google.dz/amp/www.europe1.fr/international/donald-trump-reconnait-jerusalem-comme-capitale-disrael-3513356.amp#ampshare=http://www.europe1.fr/international/donald-trump-reconnait-jerusalem-comme-capitale-disrael-3513356

(4) Voir :http://forumarchedemarie.forumperso.com/t7589-les-chabad-loubavitch-et-la-promotion-mondiale-des-lois-noachides

 

Voyons maintenant ce que dit l'Islam sur la thanatophobie des juifs:

"Allah, exalté soit-Il, dit (sens des versets) : «Dis : « Si l'Ultime demeure auprès d'Allah est pour vous seuls, à l'exclusion des autres gens, souhaitez donc la mort [immédiate] si vous êtes véridiques ! » Or, ils ne le souhaiteront jamais, sachant tout le mal qu'ils ont perpétré de leurs mains. Et Allah connaît bien les injustes. » (Coran  2/94-95) 

Vous avez compris donc que la thanatophobie est la peur de la mort.

" Dans cet article nous allons essayer de commenter ces versets tout en mentionnant ce que la Sunna du Prophète() leur a donné comme explication, ainsi que les paroles attribuées aussi bien aux Compagnons du Prophète qu’aux générations de nos pieux prédécesseurs, sans manquer d’en tirer les leçons et les enseignements.
Ces versets ont été révélés au sujet des juifs vivant avec le Prophète () à Médine et qui, invités à embrasser l’Islam et à suivre la voie tracée par le  Prophète (), ont refusé tout en prétendant que la vie future leur sera réservée à l’exclusion des autres car ils sont les fils et les amis d’Allah. Alors Allah ordonna à son Prophète () de les convier  à une procédure équitable à même de trancher le différend et à faire éclater la vérité au grand jour. Il s’agit de la Moubahala, sorte de malédiction en vertu de laquelle un groupe dont les éléments sont en désaccord se réunit pour maudire le coupable d’entre eux. Invités à invoquer la mort sur l’imposteur parmi les deux belligérants, les juifs se rétractent, refusent de se présenter sachant, au fond, qu’ils ont tort de prétendre que le Paradis sera le leur exclusivement.
Dans son exégèse, At-Tabari rapporte selon Ibn Abass, qu’Allah soit satisfait de lui, que le Prophète () a dit : « Si les Juifs avaient souhaité la mort, ils l’auraient eu  à coup sûr et auraient aperçu leurs places au milieu de l’Enfer. Si ceux qui engagent le Prophète () en Moubahala y procèdent, ils ne trouveront à leur retour, ni leurs familles ni leurs biens. » (Voir Tafsir At-Tabari, révisé par Ahmed et Mahmoud Chaker 2/361-362)
 
Quant à l’Imam Ahmed, il rapporte dans son Mousnad qu’Ibn Abass a dit qu’Abou Djahl a dit ; « Si jamais je vois le Prophète faire la prière à la Ka­âba, j’écraserais son cou sous mes pieds. » Ce à quoi le Prophète () répondit : « S’il l’avait fait, les anges l’aurait publiquement décapité. Si les juifs avaient souhaité la mort ils l’auraient eue sur le champ et auraient alors aperçu leur place au milieu de  l’Enfer. Si ceux qui voulaient engager le Prophète () en Moubahala sortent de leur maisons pour cela ils ne trouveront, à leurs retours, ni  familles ni biens. » Ibn Abass a dit au sujet du verset [« Dis : « Si l'Ultime demeure auprès d'Allah est pour vous seuls, à l'exclusion des autres gens, souhaitez donc la mort [immédiate] si vous êtes véridiques ! »]
 Ce verset les invite à invoquer la mort sur celui, parmi les deux parties, est l’imposteur. Ils ont décliné. Si, ce jour là, ils avaient souhaité la mort, aucun  juif sur la terre n’aurait survécu. Il a ajouté que s’ils avaient souhaité la mort, leur salive les fera étouffer, si les juifs avaient souhaité la mort ils l’auraient eue à coup sûr. 
 
Avec ces versets Allah met au grand jour leurs subterfuges, en particulier ceux de leurs rabbins et de leurs savants qui connaissent le Prophète () aussi bien que leurs enfants. C’est comme s’il leur disait : si vous avez raison, alors souhaitez la mort. Aucun mal ne s’en suivra pour vous si vous avez raison en ce qui concerne vos prétentions relatives à  la foi et la position proche d’Allah.
 
D’ailleurs si l’on vous accorde votre souhait concernant la mort vous devriez être heureux dans la mesure où vous vous reposeriez des fatigues, des rigueurs et des difficultés inhérentes à la vie ici bas, vous gagneriez une vie paisible au Paradis si ce que vous avancez que l’Au-delà est votre exclusivité à l’exclusion des autres est vrai. Au cas où cela ne vous est pas accordé, tout le monde saura que vous avez raison et que nous avons tort.
Mais les juifs ont refusé d’accéder à la demande du Prophète (), sachant très bien que s’ils souhaitent la mort ils périront sur le champ  sans, pour autant, gagner  dans l’autre vie qu’opprobre et ignominie éternelles.
 
Aussi il faut dire que la Moubahala entre le Prophète et les juifs avait pour objet non pas la malédiction mais la mort. Car toute personne véridique désire voir Allah mettre à mort son adversaire qui le conteste. Etant donné que les juifs chérissent tant la vie, alors ils craignent la mort à cause du mauvais sort qu’ils savent être le leur après la mort. S’ils étaient sûrs que, dans l’autre monde, ils auront une place au Paradis, ils ne seraient pas effarés de la mort. Aussi s’ils étaient sûrs de la raison de ce qu’ils avancent et de la religion qu’ils pratiquent, ils n’auraient pas tergiversé à se joindre à la Moubahala.
 
Ils ont flanché par ce qu’ils savent que le Prophète () dit la vérité et qu’eux-mêmes n’avancent que des mensonges, surtout leur prétendu attachement à la Torah. C’est pourquoi leur espoir en la vie future est nul et c’est la raison pour laquelle leur attachement à cette vie est devenu exemplaire comme le montre le verset : « Et certes tu les trouveras les plus attachés à la vie [d'ici-bas], pire en cela que les polythéistes. Tel d'entre eux aimerait vivre mille ans. Mais une pareille longévité ne le sauvera pas du châtiment ! Et Allah voit bien leurs actions.»  Oui ils tiennent à la « vie », n’importe quelle vie. Une vie minable, dépréciative, humiliante ou décente, peu importe. L’essentiel c’est de rester en vie car la mort les effraie, les affole, met fin aux délices de leur  vie et signale, pour eux, le début d’une vie de supplice sans fin.
 
Prétendre que la vie future leur appartient à l’exclusion des croyants est une manœuvre concoctée par les juifs en vue de briser l’unité des musulmans, affaiblir la confiance qu’ils ont en leur  Prophète () et en leur propre religion et singulièrement dans ce que le Prophète () leur promet concernant le Paradis et les délices éternels de l’Autre monde. Si les juifs étaient sincères dans leur prétention et dans les idées qu’ils ont propagées dans la société musulmane, à savoir leur exclusivité de l’Au-delà à l’exclusion des musulmans qui n’y auraient aucune part, pourquoi donc avoir peur ? Pourquoi aussi se désister de la Moubahala qui allait invoquer la mort sur celui des parties qui est l’imposteur ?
 
Il faut dire que la Moubahala lancée par le Prophète () aux juifs et qui consistait à invoquer la mort sur celui qui ment est une preuve éclatante qui les a non seulement confondus mais aussi et surtout les a fait taire, montré leur ignominie, leur égarement et leur obstination. S’ils étaient francs et sincères dans ce qu’ils prétendaient, ils auraient souhaité la mort mais ils savaient, à vrai dire, ils étaient sûrs qu’ils n’ont aucune part dans  l’Au-delà. C’est pourquoi ils tiennent beaucoup à cette vie quelque en soit le prix.
 
En fait la peur et la haine que nous ressentons aujourd’hui vis-à-vis de la mort, disparaîtront si nous avons crû en Allah, pratiqué les bonnes œuvres et privilégié l’Au-delà au monde ici-bas. C’est ce qui ressort du Hadith rapporté par Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, en ces termes : Le Prophète () a dit : « Celui qui aime la rencontre d'Allah, Allah aime sa rencontre et celui qui déteste la rencontre d'Allah, Allah déteste sa rencontre. »
 En réaction à ce Hadith, Aïcha, sa narratrice demanda : “ Est-ce de la mort dont il s’agit, ô Messager d’Allah ? Tout le monde déteste la mort.” Il répondit : “ Ce n’est pas de cela dont il s’agit. Lorsque la fin du croyant est proche, il reçoit la bonne nouvelle de la rencontre de son Seigneur et de Son Paradis, si bien que rien ne lui est plus agréable que la mort et la rencontre d'Allah. Et lorsque la fin du mécréant est proche, il reçoit la mauvaise nouvelle du mépris d'Allah et de Sa colère, si bien que rien ne lui est plus détestable que la rencontre d'Allah Exalté soit-Il. ” (Boukhari et Muslim)
 
 
En conséquence, la crainte de la mort est un  phénomène tout à fait inné chez l’homme. Mais le croyant honnête et sincère qui pratique les bonnes œuvres et y invite les autres, aura la bonne nouvelle au moment de sa mort qu’il bénéficiera de la Miséricorde et du Pardon d’Allah. C’est alors que se dissipera sa crainte de la mort et que sa répugnance sera remplacée par son amour car la mort lui permettra de rencontrer Allah en Qui il croit, dont il pratique la religion et suit la voie de Son Prophète ()."(1)
 
Nous concluons par ces versets du Coran qui montrent la couardise et la lâcheté des juifs ,sauf une minorité d'entre eux :
 
«(Souvenez-vous) lorsque Moïse dit à son peuple : "O mon peuple ! Rappelez-vous le bienfait de Dieu sur vous, lorsqu'Il a désigné parmi vous des prophètes. Et Il a fait de vous des rois. Et II vous a donné ce qu'Il n'avait donnéé à nul autre aux mondes. o mon peuple ! Entrez dans la Terre sainte que Dieu vous a prescrite. Et ne revenez point sur vos pas (en refusant de combattre) car vous retourneriez perdants. Ils dirent : "O Moïse, il y a là un peuple de géants. Jamais nous n'y entrerons jusqu'à ce qu'ils en sortent. S'ils en sortent, alors nous y entrerons." Deux hommes d'entre eux qui craignaient Dieu et qui étaient comblés par Lui de bienfaits dirent : "Entrez chez eux par la porte ; puis quand vous y serez entrés, vous serez sans doute les dominants. Et c'est en Dieu qu'il faut avoir confiance, si vous êtes croyants". Ils dirent : "O Moise! Nous n'y entrerons jamais, aussi longtemps qu'ils y seront. Va donc, toi et ton Seigneur, et combattez tous deux. Nous restons la où nous sommes." Il dit : "Seigneur! Je n'ai de pouvoir, vraiment, que sur moi-même et sur mon frère : sépare-nous donc de ce peuple pervers." Il (Dieu) dit : "Eh bien, ce pays leur sera interdit pendant quarante ans, durant lesquels ils erreront sur la Terre. Ne te tourmente donc pas pour ce peuple pervers." » (5, 20-26)

Un soldat israélien se prend en photo avec sa couche-culotte
 

26/08/2014

 

Redoutant  les combattants de la résistance palestinienne, particulièrement efficaces  dans les combats au sol, l'armée israélienne savait  combien ses soldats étaient paralysés de peur à l'idée de devoir mener cette lutte   au point d'anticiper  les fuites urinaires qui n'ont pas manqué  de se produire (voir photos ci-dessous).

 

Pour atténuer les effets de cette petite gêne,  Tsahal a passé au  début de l'année 2014, une commande de 120 000 unités de couches lavables auprès de la société israélienne SK TRADING,  comme l'avait révélé le Military Times.  "Ces nouvelles générations de couches dite "tout en un", sont dotées de la technologie "Air Dry Layer" avec ceintures aérés , laissant respirer la peau tout en retenant le liquide et le solide dans une protection avec système de contrôle des odeurs et double barrières avec sécurité anti-fuites."  

Avec ce stock de couches, l'armée israélienne pourrait concurrencer n'importe quelle crèche pour enfants de moins de 3 ans. Cette même armée pourrait également accueillir des stages pour personne souffrant d'incontinence urinaire.  Fiers de cette arme anti-fuite,  certains  soldats israéliens qui n'ont pas peur du ridicule,  ont  été jusqu'à se prendre en photo vêtus de leur  couche-cullote.  Après s'être auto-attribué le titre de l'armée "la plus morale au monde", Tsahal peut légitimement  revendiquer le statut de l'armée la plus imperméable au système urinaire. 

Source : http://mejliss.com/un-soldat-israelien-se-prend-photo-sa-couche-culotte

Ce ne sont pas les juifs qui sont forts mais les arabes qui sont faibles

Des tapis de roquettes tombent sur Israël, il est impossible qu’il n’y ait pas eu plus de victimes que celles annoncées. Côté religieux israélien, on affirme que c’est Dieu qui, une fois de plus, protège Israël. En somme, il s’agirait d’un miracle permanent accordé par Dieu au peuple élu.

Dieu dans son infinie préférence pour les Hébreux, au détriment de tous les autres peuples, et malgré les maintes trahisons et reniements des Juifs envers l’Éternel et ses Messagers (dont Moïse et son frère Aaron), continuerait à soutenir, toujours, encore et encore, envers et contre tous, les Juifs. Ceux-là même qui, à sa face, dans le Mont Sinaï, se sont corrompus et ont adoré autre divinité que Lui par l’intermédiaire d’un veau d’or. A ce niveau d’égarement, d’hallucination collective, on peut se poser la question de savoir, toute raison gardée, si c’est Dieu qui a créé les Juifs ou si ce sont les Juifs qui se seraient fabriqué un dieu taillé sur mesure, selon leurs souhaits et leurs délires.

Sans doute par peur de voir les Israéliens fuir en masse, les autorités sionistes cachent, dissimulent leurs morts, mentent au monde et à leur propre peuple. Les sionistes sont rompus à ce genre de mensonges, l’Histoire peut en témoigner. La complicité des médias occidentaux est évidente. Il n’y a qu’à se référer aux premières déclarations de François Hollande qui, parlant avec son cœur, s’est trahi, livrant le fond de sa pensée et de ses intimes convictions. En effet, le Président français a déploré les tirs de roquettes contre Israël, s’est inquiété de la sécurité des sionistes, s’est presque mis à pleurer, mais a complètement ignoré les victimes civiles palestiniennes faisant les frais d’une véritable punition collective autant féroce que barbare.

Tsahal, lorsqu’il ne parvient pas à s’en prendre directement aux soldats, s’en prend aux membres de leur famille. C’est une pratique courante chez les sionistes qui ne reculent devant rien, pas même le fait d’afficher en public leur immense lâcheté. Ils visent des objectifs civils tuant femmes et enfants pour ainsi mettre un terme au renouvellement des générations. Plus qu’un crime de guerre, c’est un crime contre l’humanité. Régulièrement, à chaque agression israélienne, on nous propose le même scénario : d’un côté des victimes palestiniennes se comptant par centaines, de l’autre des soldats israéliens immortels, des super-héros protégés par Yahvé, des militaires conduisant une guerre fun et en tee-shirt.

S’il y a une offensive terrestre sur Gaza, elle sera probablement limitée. Car les généraux israéliens savent qu’en face ils auront des combattants au cœur de pierre, au vu de ce qu’Israël fait subir aux populations palestiniennes, et les pertes ne pourraient être qu’élevées. Il n’existe pas de guerre sans victimes, c’est impossible. Quant aux principaux dirigeants occidentaux, dont Mme Merkel, qui déclarent comprendre que les Israéliens ne peuvent pas rester les bras ballants à intercepter les roquettes du Hamas, pourquoi ces mêmes dirigeants n’ont jamais fait pression sur Israël et exiger de lui une levée du blocus décrété sur Gaza depuis 2007, plongeant les Gazaouis dans un véritable enfer au quotidien ? Parce que c’est bien la situation catastrophique et inhumaine subie par tous les habitants de Gaza qui est à l’origine des attaques contre Israël. Que Mme Merkel aille passer une seule journée à Gaza et je suis sûr qu’elle se mettrait elle-même à tirer des roquettes !

Mais au-delà de tous les griefs que nous avons avec les sionistes, comment comprendre, comment admettre, l’attitude des dirigeants arabes ? Ces derniers sont d’une passivité qui fait froid dans le dos. Incapables même de rompre leurs relations diplomatiques avec Israël ! C’est inouï. La division du monde arabe rend ce dernier inerte, amorphe, privé de toute capacité à réagir. Les sionistes le savent et en profitent. Impunément, ils bombardent Gaza par mer, air et terre, jour et nuit, 24 heures sur 24, sachant que les Arabes ne réagiront pas.

Et c’est bien ce qui se passe. Alors, on peut s’en prendre aux sionistes, s’en prendre à leur Etat qui est à l’origine de tous les malheurs depuis qu’il a été créé en 1948 par la force et par une volonté politique des puissances occidentales – les sionistes étant à la manœuvre – il n’empêche que les Palestiniens sont avant tout victimes de la faiblesse, de la lâcheté, voire de l’indifférence de leurs frères. Il est loin le temps où le Prophète (paix et salut sur lui) envoyait une armée sur Rome uniquement parce que l’on aurait manqué de respect à une musulmane voilée. Les Palestiniens ont été chassés de leurs terres par les sionistes et ceux-ci continuent de grignoter des terres, centimètre par centimètre, lopin par lopin, jusqu’à évincer, éradiquer toute présence palestinienne en Palestine.

Combien de temps encore le monde arabe restera-t-il les bras croisés, tout juste bon à exiger une saisine du Conseil de sécurité (que l’on sait aux ordres des sionistes), quand des Palestiniens sont lynchés, martyrisés, oppressés, colonisés, atteints dans leur honneur et leur dignité ? Allah n’aime pas les lâches. Mais une chose est sûre, l’avenir appartient au temps et à celui qui saura composer avec lui. Aussi, à force de faire la guerre tout seul (sans véritable adversaire armé), Israël finira fatalement par trouver, un jour ou l’autre, un adversaire qui saura répondre efficacement. Et Israël aura existé. D’ici-là, et si j’en juge par ce que je vois et entends, Israël a encore de beaux jours devant lui. Et les Arabes de continuer à tergiverser. 

Source : http://algerienetwork.com/blog/ce-nest-pas-israel-qui-est-puissant-ce-sont-les-arabes-qui-sont-faibles/

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Le Talmud , livre sacré des juifs,homophobe et raciste

Publié le par Ahmed Miloud

Extraits du Talmud – Les lois contre les non juifs
 
Le Talmud est le livre le plus important du judaïsme, plus important pour la majorité d’entre eux que l’ancien testament (la Torah) de la bible. Ce serait une compilation de traditions qui remonteraient aux enseignements de Moïse, conservées, transmises et interprétées par les « scribes ».

 

Israël Shahak est un des nombreux «rescapés de l’Holocauste». Né à Varsovie en 1933, il passe son enfance au camp de Bergen-Belsen. En 1945, il émigre en Israël et sert dans l’armée juive Tsahal. Militant des droits de l’homme, il collabore au journal Haaretz et s’attaque à l’obscurantisme religieux juif et à son influence dans la vie politique de l’Etat colonial d’Israël.
Il a dénoncé l’intégrisme juif comme d’autres musulmans ont dénoncé l’intégrisme musulman ou chrétien.
Quand on applique un livre saint à la lettre, voilà donc ce qui se produit.
Son intérêt pour la religion juive a commencé en 1965-1966 lorsqu’il fut témoin d’un incident qui le marquera à vie. Dans un quartier de Jérusalem un juif ultra-religieux a refusé qu’on utilise son téléphone, un jour de sabbat, pour appeler une ambulance au secours d’un voisin non juif.
Le tribunal rabbinique a confirmé à Israël Shahak que le comportement de ce religieux ultra-orthodoxe est correct et pieux ; en effet, un juif ne doit pas violer son sabbat pour sauver la vie d’un “gentil” d’ailleurs il n’a pas le droit de sauver la vie d’un gentil même en semaine ; par contre la violation du Sabbat est permise pour sauver un juif. Dérouté et scandalisé par cette discrimination raciste, Shahak se met à étudier les lois talmudiques.Source: http:// http://en.wikipedia.org/wiki/Israel_Shahak
 

 

Talmud – Babha Kama 113a: les incroyants ne bénéficient pas de la loi et dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël.
Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.
Les juifs peuvent tuer les non-juifs:
Talmud, Abhodah Zarah 4b: vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains.
Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des Goïm devrait être abattu.
Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.
Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: tout juif qui verse le sang d’incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu’une offrande à dieu.
Talmud, Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort.
Talmud, Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort.
Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu.
Talmud, Iore Dea 158, 1 : En ce qui concerne les Non-juifs qui ne sont pas des ennemis, un juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle.
« Un Akum qui n’est pas notre ennemi ne doit pas être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un danger de mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de l’eau, à moins qu’il ne te promette de te donner de l’argent ».
Talmud, Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal.
Talmud, Peaschim 25a : Il faut éviter l’aide médical des idolâtres sous entendu des Non-juifs.
Talmud, Pesachim 49b : Il est permit de décapiter les Goïm (non-juifs) le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat.
Rabbin Eliezer : ” Il est permis de trancher la tête d’un idiot, un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire un animal charnel, un Chrétien, le jour de l’expiation des péchés et même si ce jour tombe un jour de sabbat “.
Ses disciples répondirent : ” Rabbi ! Vous devriez plutôt dire ‘de sacrifier’
un Goï. ” Mais il répliqua : ” En aucune façon ! Car lors d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à dieu de l’agréer, alors qu’il n’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un. “
Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder.
Talmud, Sanhedrin 58b : Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper dieu.
Talmud, Sanhedrin 59a : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort.
Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un Non-juif, ce n’est pas un
péché.
Talmud, Zohar I, 25a : Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres.
Talmud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.
Talmud, Zohar II, 64b : Le taux de naissance des Non-juifs doit être diminué matériellement.
Talmud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie d’un non-juif.
Talmud, Zohar II, 43a : L’extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu.
Les non-juifs sont impurs:
Talmud, Abhodah Zarah 22b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.
Talmud, Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont niddah(sales, impures) depuis leur naissance.
Talmud – Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs.

 

Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif.
Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs.
Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts, comme les vaches, ou les ânes perdus et il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.
Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on nomme porcs.
Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les Non-juifs, ce sont des animaux.
Talmud, Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les Non-juifs à des bêtes impures ».
Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.
Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Même qu’un non-juif à la même apparence qu’un juif, ils se comportent envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme.
Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d’un
non-juif c’est comme ci vous mangiez avec un chien.
Talmud, Yebamoth 98a. Tous les enfants des goyims sont des animaux
Talmud, Zohar II 64b : Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.
Les juifs peuvent voler les non-juifs:
Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame.
Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un Non-juif.
Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un Non-juif.
Talmud, Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre
Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice équitablement.
Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs, ou sur les apostats.
Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un Non-juif.
Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: si un juif a la possibilité de tromper un
non-juif, il peut le faire.
Talmud, Schabbath 145b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure.
Talmud, Zohar I, 46b, 47a : L’âme des goyims est d’une origine théologique impure.
Talmud, Zohar I, 131a : Les idolâtres (non-juifs) souillent le monde. Le juif est un être supérieur
Talmud, Hilkhoth Non-juif X, 1 : Ne passez aucun accord avec un Non-juif, et ne jamais manifester de pitié envers un Non-juif.
Il ne faut pas avoir pitié des non-juifs car il est dit: “tu ne jetteras pas
sur eux un regard de pitié”
Deutéronome 7:16 Tu dévoreras tous les peuples que l’Éternel, ton dieu, va te livrer, tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié.
Talmud, Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.
Talmud, Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal Non-juif, par un juge Non-juif, ou par des lois non-juives.
Talmud, Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas.
Talmud, Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience claire.
Talmud, Sanhédrin 52b: L’adultère n’est pas défendu. avec la femme d’un Goyim (non-juif), parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec “la femme de ton prochain”, et les goyims (non-juifs) ne sont pas des prochains.
Talmud, Choschen Ham 34, 19: Les Non-juifs et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.
Talmud, Abhodah Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d’un Non-juif, de peur qu’il ne la croit.
Talmud, Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyims, ils versent le sang.
Talmud, Abhodah Zarah 25b: Se méfier des Non-juifs quand on voyage avec eux à l’étranger.
Talmud, Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage femme non-juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.
Talmud, Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.
Talmud, Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un Non-juif.
Talmud, Choschen Ham 156, 5: Les clients non-juifs possédés par un juifs, ne doivent pas être démarchés par un autre juif.
Talmud, Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux Non-juifs, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit.
Talmud, Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des Non-juifs.
Talmud, Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les Non-juifs et les juifs.
Talmud, Emek Haschanach 17a: L’âme des non-juifs vient de la mort et de
l’ombre de la mort.
Talmud, Hilkhoth Maakhaloth: Les Non-juifs sont des idolâtres, il ne faut pas les fréquenter.
Talmud, Hilkhoth X, 6: On peut aider les Non-juifs dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite.
Talmud, Hilkhoth X, 7: Où les juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres.
Talmud, Iore Dea 81, 7 Ha: Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique.
Talmud, Iore Dea 120, 1: La vaisselle acheté à des Non-juifs doit être jetée.
Talmud, Iore Dea 146, 15: « Leurs idoles [c’est à dire les objets du culte] doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants.»
Talmud, Iore Dea 147, 5: Il faut railler les objets du culte non-juif, il est interdit de souhaiter du bien à un Non-juif.
Talmud, Iore Dea 148, 12 H: On peut prétendre se réjouir avec les Non-juifs pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.
Talmud, Iore Dea 151, 14: Il est interdit de concourir à la gloire d’un Non-juif.
Talmud, Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un Non-juif, cela encourage l’amitié.
Talmud, Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les enfants à l’hérésie.
Talmud, Iore Dea 154, 2: Il est interdit d’enseigner un métier à un Non-juif.
Talmud, Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Non-juif avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n’ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit est accordé dans n’importe quelle circonstance.
Talmud, Moed Kattan 17a: si un juif est tenté par le mal, il doit se rendre dans une ville ou on ne le connaît pas et la il peut s’adonner au mal.
Talmud, Orach Chaiim 20, 2 : Les Non-juifs se déguisent pour tuer les juifs.
Talmud, Rosch Haschanach 17a : L’âme des non-juifs descend en enfer pour toutes les générations.
Talmud, Sanhedrin 57a: un juif n’est pas obligé de payer le salaire redevable à un non-juif.
Talmud, Sanhedrin 90a: ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens) n’auront pas de place dans le monde à venir
Talmud, Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres des non-juifs (nouveau testament)
Talmud, Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un Non-juif, ne se relèveront pas des morts.
Talmud, Zohar I, 28b: Les Non-juifs sont les enfants du serpent de la Genèse.
Talmud, Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de tromper les Non-juifs.
Talmud, Zohar I, 219b: Les princes Non-juifs sont des idolâtres, ils doivent mourir.
Talmud, Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes Non-juifs seront morts.
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L'histoire sanglante de l'Occident judéo-chrétien

Publié le par Ahmed Miloud

Mot à dire d'abord :

Depuis l'avènement du christianisme, ce sont les juifs qui ont été derrière les souffrances et le massacre des premiers chrétiens durant les 3 premiers siècles (1).Il suffit de se rappeler qu'ils ont amené Jésus aux Romains et ont exigé sa mort.Le Sanhédrin, qui ne possédait pas l’autorité de mettre un accusé à mort dans l’empire romain, ont emmené Jésus devant Pilate avec ces accusations mensongères : « Nous avons trouvé cet homme en train de pousser notre peuple à la révolte. Il empêche les gens de payer l’impôt à l’empereur. Il dit qu’il est lui-même le Messie, un roi. » (selon Luc 23.2 ; Matthieu 27.11 ; Marc 15.2.)

Il a fallu la décision de l'empereur Théodose trois siècles plutard pour instituer le christianisme comme religion officielle de l'Empire romain(2)pour que les souffrances et la persécution des chrétiens cessent.

(2)Entre 380 et 395, Théodose (379-395) prend les dernières mesures qui font du christianisme la religion officielle de l'Empire romain. En 380, Théodose proclame le christianisme religion d'État.A partir de là, la donne s'est inversée, ce sont les juifs qui furent persécutés par les chrétiens .

Avec l'occupation de la Palestine par les sionistes juifs ,conséquente soi-disant de ces persécutions des chrétiens contre les juifs,dont la dernière en date,celle des chrétiens nazis d'Hitler, un sentiment de vengeance paraît ressurgir à voir les Palestiniens chrétiens persécutés autant que les musulmans par la horde juive sioniste.Voir : 

https://www.google.dz/amp/s/www.la-croix.com/amp/1200738204#ampshare=https://www.la-croix.com/Religion/En-Israel-sentiment-antichretien-chez-certains-juifs-2016-02-07-1200738204

http://ripouxdelarepublique.blogspot.com/2014/05/israel-persecution-des-chretiens.html?m=1

Quand aux musulmans, le plus souvent,ils ont été victimes des guerres fomentées contre eux par l'Occident judéo-chrétien. Les crimes de ce dernier ont été répertoriés comme les plus sanglants et les plus barbares de l'histoire.

"Or, ils ne cesseront de vous combattre jusqu’à, s’ils peuvent, vous détourner de votre religion. " (Coran 02 : 217)

 

610 à 1492

De l'antijudaïsme à l'antisémitisme

 

On appelle antijudaïsme les manifestations d'hostilité à l'égard des juifs, c'est-à-dire des pratiquants du judaïsme. Il est antérieur au christianisme comme l'attestent des écrits chez les auteurs «  païens  » de l'Antiquité, adeptes des religions traditionnelles de Rome et de la Grèce.

Le mot antisémitisme a, quant à lui, été inventé tardivement par un journaliste allemand, Wilhelm Marr, pour désigner la haine des Juifs (avec une majuscule), considérés par les antisémites comme un groupe ethnique ou racial.

Invention de l'antisémitisme

Wilhelm Marr publie en mars 1879 un pamphlet intitulé : La victoire du judaïsme sur la germanité considérée d'un point de vue non confessionnel. Dans la foulée, il participe le 26 septembre 1879 à une réunion en vue de la création d'une «  Ligue des antisémites  »(Antisemiten-Liga).

Dès le 2 septembre 1879, le journal juif Allgemeine Zeitung des Judenthums révèle le projet de Wilhelm Marr de créer aussi un hebdomadaire antisémite («  antisemitische Wochenblatt  »). C'est ainsi qu'apparaît pour la première fois ce mot appelé à une sinistre diffusion.

De la science à l'idéologie

Bien avant Wilhelm Marr, les linguistes européens ont identifié une origine commune aux langues hébraïque, arabe, araméenne, assyrienne et guèze (éthiopien ancien). En souvenir de la Bible, ils ont rangé toutes ces langues sous l'épithète sémitique.

Le mot tire son origine de Sem, fils de Noé et ancêtre d'Abraham. Selon la Bible, Abraham engendra Ismaël avec sa servante Agar et Isaac avec son épouse Sara. Du premier descendraient les Arabes et du second les Hébreux !

En employant le mot antisémitisme pour désigner la haine des juifs et d'eux seuls, Wilhelm Marr et ses émules commettent une double erreur : 1) ils assimilent une catégorie linguistique (les langues sémitiques) à une catégorie raciale, 2) ils réduisent les usagers des langues sémitiques aux juifs en oubliant les Phéniciens, les Arabes... Du fait de cette étymologie déficiente, le mot antisémitismesuscite une question récurrente : un arabophone qui hait les juifs peut-il être qualifié d'antisémite ? Le mot antijuif serait mieux adapté... mais la tradition historique s'oppose à son emploi.

Premières dissensions

Le christianisme n'a pas inventé l'antijudaïsme mais il l'a renouvelé.

L'opposition entre chrétiens et juifs remonte au premier siècle de notre ère. À cette époque, dans l'empire romain, le christianisme est volontiers assimilé à une secte juive. Les communautés chrétiennes tout juste naissantes sont confondues avec les communautés juives du pourtour de la Méditerranée (la diaspora). Aussi les chrétiens, soucieux de se démarquer de leurs aînés en religion, tendent-ils par réaction à souligner leurs différences d'avec les juifs.

Devenue dominante au IVe siècle, grâce à la faveur de l'empereur Constantin le Grand, l'Église commence à se méfier de l'influence que pourrait exercer le judaïsme sur les chrétiens. Les successeurs de Constantin répriment le prosélytisme juif et interdisent la construction de synagogues dans le centre des villes. Au VIe siècle, tandis que les chefs barbares anéantissent ce qui reste des institutions romaines en Occident, les juifs perdent les avantages dont ils bénéficiaient au temps de Rome (comme la dispense de célébrer le culte de l'empereur). «   Peu à peu, les privilèges juifs sont abolis, des prohibitions apparaissent. La religio licita devient statut d'exception   » (Josy Eisenberg, Une histoire des juifs).

La «   Treizième Tribu   »

En Orient, le prestige qui s'attache au judaïsme est assez grand pour susciter la conversion d'un roi khazar, Bulan, autour de 861.

Les Khazars, d'origine turque et apparentés aux Huns, formaient un empire nomade dans la région de l'actuelle cité d'Astrakhan, entre le Don et la Volga. Beaucoup se convertissent au judaïsme à la suite de Bulan. Un siècle plus tard, leur État s'effondre sous les coups portés par les Slaves. Ils se dispersent dans les populations environnantes (Polonais, Ukrainiens, Russes, Lituaniens).

Une grande partie des juifs occidentaux actuels, les ashkénazes, descendraient de cette «   Treizième Tribu   » (c'est le titre d'un essai intéressant d'Arthur Koestler sur cette péripétie méconnue du judaïsme).

L'antijudaïsme chrétien au Moyen Âge

Au Moyen Âge, l'Église qualifie les juifs de «   peuple déicide   » et leur reproche d'avoir mis Jésus en croix mais elle ne manifeste aucun désir de les éliminer. Bien au contraire, elle a le souci de les préserver comme un témoignage vivant de l'injustice faite au Christ. Les juifs sont ainsi les seuls non-chrétiens tolérés en Occident !

Saint Bernard de Clairvaux exprime ce point de vue au XIIe siècle : «  Les Juifs ne doivent point être persécutés, ni mis à mort, ni même bannis. Interrogez ceux qui connaissent la divine Écriture. Qu'y lit-on de prophétisé dans le Psaume, au sujet des Juifs. Dieu, dit l'Église, m'a donné une leçon au sujet de mes ennemis : ne les tuez pas, de crainte que mes peuples ne m'oublient. Ils sont pour nous des traits vivants qui nous représentent la passion du Seigneur. C'est pour cela qu'ils ont été dispersés dans tous les pays, afin qu'en subissant le juste châtiment d'un si grand forfait, ils servent de témoignage à notre rédemption  » (*). On observe un point de vue similaire chez Abélard, théologien rival de Saint Bernard.

Notons qu'en Espagne, en 1150, en pleine Reconquête chrétienne, le roi Alfonso VII de Castille se proclame roi des trois religions (christianisme, islam et judaïsme). À la même époque, dans l'ensemble de l'Europe, les seigneurs octroient des privilèges aux juifs afin de les attirer dans leurs villes «  pour l'honneur et la prospérité de leurs États  »(selon une charte de l'évêque de Spire).

Beaucoup de juifs se font banquiers en tirant parti de ce que l'Église déconseille aux chrétiens le commerce de l'argent et le prêt avec intérêt, pour cause d'immoralité. Les réseaux communautaires en terre chrétienne comme en terre d'islam leur sont d'une grande aide dans ce métier. Mais la fonction de prêteur leur vaut un surcroît de haine de la part des débiteurs chrétiens.

La rupture judéo-chrétienne est concomitante des croisades. En Rhénanie et en Europe centrale, à partir de 1096, on évalue à 5.000 le nombre de juifs massacrés par les foules désireuses de faire place nette avant leur départ pour la Terre sainte. Toutefois, à l'occasion de ces drames (on n'emploie pas encore le mot pogrom), les seigneurs et les évêques font en général de leur mieux pour protéger leurs sujets israélites, ne serait-ce que parce qu'ils leur fournissent taxes et impôts en abondance....!

Meurtres rituels

Au XIIe siècle, face à la menace de conversions forcées, des chefs de famille juifs préfèrent tuer leur famille et se suicider. Ces actes de désespoir révulsent les chrétiens qui en ont connaissance. Ils sont peut-être à l'origine d'une rumeur selon laquelle les juifs égorgeraient des enfants chrétiens et utiliseraient leur sang pour la fabrication du pain azyme.

La première accusation de meurtre rituel est attestée à Norwich, en Angleterre, en 1146, soit un demi-siècle après la première croisade et les pogroms de Rhénanie. Aussi absurde qu'elle soit, cette rumeur va cheminer à travers les siècles jusqu'à nos jours. Ainsi la retrouve-t-on dans le Protocole des Sages de Sion, un faux antisémite diffusé par la police du tsar avant la Grande Guerre de 14-18 et dont se repaît encore aujourd'hui la presse antisémite du monde musulman.

Des relations de plus en plus difficiles

La situation des juifs européens se dégrade dans les derniers siècles du Moyen Âge, au XIIIe siècle, quand se développent les villes, et surtout au XIVe siècle, après les drames de la Grande Peste (1347).

Les juifs se voient progressivement interdire le métier des armes et celui de la terre, ce qui les cantonne dans les occupations artisanales et commerciales. Les monarques en mal d'argent abusent de leur précarité pour s'enrichir à bon compte. C'est ainsi qu'en 1181, le roi de France Philippe Auguste fait arrêter les juifs de Paris et les libère en échange de 15.000 marcs or. L'année suivante, il les fait expulser et saisit leurs biens. Enfin, en 1198, il leur permet de revenir à Paris en échange d'une nouvelle somme d'argent.

En 1242, un juif converti, Nicolas Donin, assure au pape que le Talmud, livre sacré des juifs, contient des injures contre le Christ. Une controverse a lieu à Paris entre rabbins et prêtres, à la suite de quoi le roi Louis IX (futur Saint Louis) décide de faire brûler tous les manuscrits hébreux de Paris en place publique. Le total représente 24 charrettes.

Dans le même temps, en 1269, le petit-fils de Philippe Auguste impose aux juifs de porter sur la poitrine une «  rouelle  », c'est-à-dire un rond d'étoffe rouge, pour les distinguer du reste de la population et prévenir les unions mixtes. Saint Louis applique ce faisant une recommandation du concile de Latran (1215) de marquer les juifs tout en interdisant qu'il leur soit fait du mal.

En 1254, le roi bannit les juifs de France mais comme souvent au Moyen Âge, la mesure est rapportée quelques années plus tard en échange d'un versement d'argent au trésor royal. Les juifs sont réexpulsés de France par Philippe IV le Bel le 22 juillet 1306, rappelés par son fils Louis X le Hutin puis à nouveau expulsés en 1394.

En Allemagne, suite à une recommandation du concile de Vienne (1267), les juifs sont désignés par un chapeau plat surmonté d'une tige avec une boule, le «  Judenhut  ».

En Angleterre, suite à une campagne de calomnies, 18 juifs de la ville de Lincoln sont pendus puis, le 12 juillet 1290, poussé par l'opinion publique, le roi Édouard Ier donne trois mois aux juifs de son royaume pour partir. 16.000 personnes traversent la Manche et il s'écoulera quatre siècles avant que les juifs ne reviennent en Angleterre.

En Espagne, les juifs commencent en 1391 à être victimes de violences meurtrières. Ceux de Castille et d'Aragon, au nombre d'environ 200.000, sont définitivement bannis en 1492, quelques semaines après que les Rois Catholiques eurent chassé le dernier roi musulman  de la péninsule. «  Au fond, on ne craint pas le Juif mais la fragilité de la conviction chrétienne  » (*).

Les communautés juives d'Europe sont peu à peu enfermées dans des ghettos d'où les habitants ne peuvent sortir la nuit. Le mot ghetto vient d'un quartier de Venise ainsi nommé parce qu'on y jetait  les déchets des fonderies voisines et où, pour la première fois furent confinés les juifs, en 1516.

Beaucoup de rescapés des massacres et des expulsions d'Espagne, de France ou d'Angleterre s'enfuient en Pologne où le roi Casimir III Jagellon leur accorde en 1334 le Privilegium, ce qui va contribuer à l'extraordinaire rayonnement intellectuel et artistique du pays aux XIVe et XVe siècles. D'autres juifs se réfugient dans... les États du pape : dans le Comtat Venaissin, à Carpentras ou Avignon , ainsi qu'à Rome, où ils sont assurés de vivre en sécurité.

Ces relations ambivalentes entre juifs et chrétiens, faites d'intolérance religieuse et de jalousie sociale, forment l'essence de l'antijudaïsme médiéval. Elles vont muter à la fin du Moyen Âge vers une haine d'essence raciale, à la base de l'antisémitisme moderne...

Alban Dignat
De la rouelle à l'étoile

Au XXe siècle, les nazis réactivent la tradition médiévale en imposant aux Juifs le port de l'étoile jaune, mais avec des intentions autrement plus lourdes de conséquences : il s'agit pour eux de stigmatiser les Juifs avant de les exterminer, tout en leur interdisant d'échapper à leur sort par la conversion.

Source :

https://www.herodote.net/610_a_1492-synthese-24.php

 

Le christianisme, une religion d'amour?

La raison pour laquelle je vous parle des manichéens, c’est que je suis lasse d’entendre Bill Maher et Donald Trump expliquer que l’islam est intrinsèquement violent. Je suis plus lasse encore d’entendre affirmer que le christianisme est intrinsèquement pacifique. J’ai assisté maintes fois à ce genre de débat, et même lors d’une soirée où Laura Ingraham demandait aux autres participants de lever les mains s’ils pensaient que l’islam était une religion morbide. La plupart des convives (conservateurs sur le plan politique) levèrent les mains avant de m’expliquer en long en large et en travers comment, à l’inverse de l’islam, le christianisme était intrinsèquement une religion d’amour.

L’Église chrétienne s’est montrée impitoyable avec les personnes dont la foi déviait du canon religieux, torturant et immolant les hérétiques par le feu

Avec tout le respect que je dois à mes très nombreux amis chrétiens, je conteste fermement cette assertion. Les conservateurs roulent des yeux quand on mentionne les Croisades –oh, ce vieux machin?– et je suis persuadé qu’ils feront de même en lisant ma référence aux manichéens, alors que ces deux histoires comptent, surtout si l’on affirme que les religions auraient des caractéristiques intrinsèques.

Si ces affaires ne sont que des perversions du christianisme, comme certains l’affirment, ou l’effet du hasard, alors pourquoi ne pas étendre ce mode de pensée jusqu’à la conquête du Proche-Orient par les musulmans ou, oserai-je la comparaison, à Daech? Il n’est pas possible d’un côté de s’appuyer sur des exemples historiques pour affirmer qu’une religion est intrinsèquement violente et balayer ensuite d’un revers de la main les exemples équivalents dans l’histoire du christianisme en affirmant qu’ils ne sont que l’exception qui confirme la règle.

Les Croisades sont, aujourd’hui encore, une plaie ouverte au sein du monde musulman, mais il est également facile d’oublier les massacres commis par les croisés contre les Juifs d’Europe. De manière répétée, en traversant l’Europe pour se rendre en Terre sainte, les croisés ont massacré les Juifs sur leur passage. Ils les réunissaient dans des synagogues avant d’y mettre le feu. Les croisés ont tué tant de Juifs au nom de la foi chrétienne que les Croisades ont porté le coup démographique le plus terrible à la communauté juive d’Europe avant l’Holocauste. Un Holocauste qui, rappelons-le gentiment au passage, s’est déroulé il y a soixante-dix ans au cœur de l’Europe chrétienne et civilisée.

Une histoire récente

Si vous ne croyez pas ce que je vous raconte sur la brutale répression des chrétiens manichéens, lisez donc ce passage qui lui est consacré dans l’encyclopédie catholique (une publication qui «chronique les accomplissements des artistes, éducateurs, poètes, scientifiques et hommes d’action catholiques dans leurs différentes provinces»). L’Église chrétienne s’est montrée impitoyable avec les personnes dont la foi déviait du canon religieux, torturant et immolant les hérétiques par le feu.

Lorsque Martin Luther eut l’idée d’afficher ses thèses sur la porte d’une église, donnant involontairement naissance à une nouvelle forme de christianisme, il en résulta des centaines d’années de guerre ouverte ou larvée entre chrétiens, chacun répandant sans compter le sang des autres en étant fermement convaincu d’être les plus fidèles à la parole du Christ. Il ne s’agit pas d’une histoire ancienne: les violences entre protestants et catholiques ont continué d’ensanglanter l’Irlande chrétienne jusqu’à la fin du XXe siècle.

«L’islam radical est anti-femme, anti-gay et anti-Américain, a déclaré Donald Trump le 13 juin dernier. Je refuse de laisser l’Amérique devenir un endroit où les gays, les chrétiens et les juifs sont la cible des persécutions et des intimidations de la part d’islamistes radicaux qui prêchent la haine et la violence.»

Trump tente ainsi de démontrer que les adeptes de l’islam radical (quels qu’ils soient) seraient si mal à l’aise face à ceux qui ne partagent pas leur foi qu’ils ne pourraient pas faire autrement que de se montrer violent contre eux. L’islam radical peut, en effet, ressembler à cela, et même davantage, mais le bilan du christianisme n’est pas meilleur.

Persécutions et intimidiation

Prenons par exemple l’inquiétude formulée par Trump de voir les juifs «devenir la cible de persécutions et d’intimidation». Voilà qui est fort émouvant, mais au cours des 2.000 dernières années, avant que des pays musulmans ne se mettent à expulser leurs populations juives en 1948, les juifs ont été les cibles constantes de persécutions et intimidations –pour le dire gentiment– de la part des chrétiens.

Dans les pays musulmans, la vie quotidienne des juifs, qui faisaient certes face à de nombreuses restrictions, devaient porter des vêtements particuliers et faisaient face à des flambées sporadiques de violence, était bien moins sanglante que dans l’Occident chrétien civilisé. Il y a tant d’exemples que le pourrais mentionner –des chrétiens massacrant des juifs accusés d’être responsables de la peste; le fait que le mot ghetto vienne des quartiers fermés dans lesquels les juifs étaient contraints de vivre à Venise au Moyen-Âge; les pogroms durant lesquels l’Église Orthodoxe russe encourageait ses ouailles à massacrer les juifs incroyants.

Je pourrais vous parler des phénomènes modernes, comme ce troll pro Trump, qui me désigne régulièrement comme «assassin du Christ»

Et si, à votre goût, nous remontons un peu trop loin dans l’histoire, pensez donc au mois de juillet 1988, millénaire de la conversion de la Russie: Moscou bruissait de rumeurs évoquant la possibilité d’un pogrom pour célébrer l’avènement du christianisme en Russie et que la police donnait les adresses des Juifs. (C’est cette année-là que ma famille a décidé de fuir la Sainte Russie.)

Et si vous voulez la liste des pays chrétiens ayant expulsé les juifs, soyez sans crainte de vous couvrir de poussière en fouillant pour la trouver: elle est régulièrement diffusée par ses supporters de Trump sur Twitter et ceux-ci me l’adressent pour me montrer que les juifs ont manifestement bien mérité la violence dont ils font l’objet depuis des siècle –puisque tant de pays les ont expulsés.

Je pourrais vous parler des phénomènes modernes, comme ce troll pro Trump, qui me désigne régulièrement comme «assassin du Christ» et comme une personne qui mérite l’antisémitisme dont elle est l’objet car elle «tourne le Livre Saint en dérision». Le tout ponctué d’exhortations à rentrer dans un four – sans parler des gens qui prennent soin de commander des cercueils pour mon propre compte.

Le camp de la peur

Et si Trump s’inquiète de voir les Juifs victimes de persécutions de la part de «prêcheurs islamistes radicaux», ce n’est pas des musulmans radicaux que j’ai peur aux États-Unis, en tant que juive. Certes, le monde musulman peut déborder de haine et d’antisémitisme, mais la haine et l’antisémitisme que je subis quotidiennement ne vient pas des musulmans. Ils viennent des supporters blancs et chrétiens de Trump.

Je souhaiterais donc plutôt le voir se préoccuper de la persécution de journalistes juifs par ses propres soutiens, dont certains mélangent sans complexes les symboles chrétiens, les références au white power et des menaces violentes dans leurs communications. Mais Trump ne règle pas ce problème, et ne les désavoue certainement pas. Il a même affirmé n’avoir «aucun message» à leur adresser. Il ne s’intéresse qu’aux musulmans radicaux.

Regarder Trump et la droite chrétienne montrer du doigt l’homophobie de l’Islam est proprement renversant. Si une communauté de ce pays a démontré son opposition aux gays, c’est bien celle des chrétiens conservateurs qui, depuis des décennies, diffusent leur haine des gays, comparent l’homosexualité à la pédophilie et à de la bestialité, affirment que le sida est une punition divine, demandent que des «traitements» soient mis en place contre l’homosexualité et bloquent non seulement les lois qui pourraient permettre aux gays de se marier, mais également celles qui feraient tomber les discriminations dont ils font encore l’objet.

L'appel à la haine

Un pasteur chrétien que l’on a beaucoup vu aux côtés de Bobby Jindal, Mike Huckabee et Ted Cruz a ainsi déclarérécemment que, selon la Bible, les homosexuels «méritent la peine capitale». Et à présent, ces mêmes personnes qui, il y a encore un mois, comparaient les trans à des prédateurs qui utiliseraient à dessein les mauvaises toilettes publiques pour se mettre en chasse de jeunes enfants se rangent aux côté des défenseurs des droits des gays contre l’islam radical.

Et pourtant, juste après le massacre d’Orlando, certains Chrétiens ont pris soin de nous dire ce qu’ils pensaient de ces gays tués au Pulse. Un prêcheur chrétien a ainsi posté un sermon vidéo dans lequel il s’est réjoui du massacre d’Orlando en déclarant notamment que «la bonne nouvelle, ce que l’on compte désormais 50 pédophiles de moins dans ce monde car, vous savez, ces homosexuels sont une bande de pervers abjects et de pédophiles».

Nous avons également eu droit aux très ardents American Christians qui tracent un lien explicite entre christianisme et armes à feu, qui s’achètent des armes sans compter tout en vouant une immense admiration aux belliqueux sarrasins. Dans les faits, la violence et l’intolérance dont les chrétiens conservateurs font preuve, non seulement à l’égard des éléments les plus radicaux, mais à l’encontre de tous les adeptes d’une religion, ressemble aussi étrangement que fortement au type de violence et d’intolérance dont ils accusent les Musulmans de faire preuve.

Mi-juin, nous avons «fêté» le triste anniversaire du massacre commis par Dylann Roof, qui massacrait neuf personnes au milieu d’un cours d’étude de la Bible à Charleston, en Caroline du Sud. Avant qu’il ne commette son crime, il avait rédigé un manifeste déclarant son allégeance à la cause des suprémacistes blancs et désigné le Council of Conservative Citizens, qui affirme adhérer aux «valeurs et croyances chrétiennes»comme une source majeure d’inspiration et d’information. Selon certains, Roof venait d’une famille qui se rendait régulièrement à l’Église et se rendait dans des camps d’été chrétiens. Roof a-t-il tué ses coreligionnaires parce qu’il était dérangé ou parce que le Christianisme est violent?

La réponse est, ni l’un, ni l’autre. Il n’y a pas d’exceptions, et rien n’indique qu’il existe une violence inhérente dans le christianisme. Parce que je n’entends pas démontrer que le christianisme, c’est le mal. Le christianisme n’est pas le mal. Mais il n’est pas davantage intrinsèquement aimant et pacifique. Pas plus que l’islam. Ni que le judaïsme, l’hindouisme ou le bouddhisme.

Une question de pratique

Aucune religion n’est intrinsèquement violente ou pacifique, elle n’est jamais rien d’autre que ce que ses fidèles en font.  Les gens sont violents, et ils peuvent donc habiller leur violence d’oripeaux qui la justifient et leur permettant de se dédouaner de leur responsabilité personnelle car la religion ou la cause, qu’il s’agisse du communisme, du catholicisme ou de l’islam, les dépasse. C’est très pratique pour l’auteur la violence et pour celui qui l’en accuse, mais totalement inutile: On peut en effet faire quelque chose face à quelqu’un qui transgresse les lois, mais que faire face à un concept amorphe?

Source :

https://www.google.dz/amp/s/www.slate.fr/story/119909/islam-christianisme-memes-combats%3famp#ampshare=http://www.slate.fr/story/119909/islam-christianisme-memes-combats

PERSÉCUTION DES CHRÉTIENS PAR LES JUIFS EN ISRAËL

MON GRAIN DE SEL:

Si les Chrétiens d’Europe voyaient le vrai visage des juifs en Israël. Dans le traitement de leurs frères de religion en Israël. Ils cesseraient immédiatement de les soutenir aveuglement.

Voici une série de vidéos pour en avoir un aperçu.

Publié par  :  KAM.

=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=

Nous Avons Tué Jésus, et Nous en Sommes Fiers

 

Les chrétiens de Jérusalem menacés par des juifs radicaux – 23/05

La Persécution des Chrétiens en Israël

La mafia juive: même les chrétiens sont persécutés en Israel. C’est le Talmud qui l’exige.

Jésus VU par les Juifs Israelien (micro-trottoir) 2000 ANS APRES…

Jérusalem : nouvel acte de vandalisme contre un lieu de culte chrétien

Pourquoi j’ai abandonné le Judaïsme (Brother Nathanael)

 

Source :

https://www.google.dz/amp/s/blideodz.wordpress.com/2017/01/19/persecution-des-chretiens-par-les-juifs-en-israel/amp/#ampshare=https://blideodz.wordpress.com/2017/01/19/persecution-des-chretiens-par-les-juifs-en-israel/

 

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L'histoire de Jésus avec les Juifs selon les académiciens

Publié le par Ahmed Miloud

Mot à dire :

L'histoire des élites juives montre qu'ils ont toujours été contre leurs Prophètes. Ils reniaient les uns et tuaient les autres. Jésus n'a pas fait exception.Ils avaient ourdi (comme toujours) un complot pour le faire tuer par les Romains,mais au moment fatidique, Dieu l'éleva vers Lui et fit condamner un autre à sa place.

Ahmed Miloud

 

"Depuis deux siècles, les historiens académiques interprètent l’histoire tragique de Jésus comme un épisode de l’affrontement entre les juifs et les Romains. Mais leur exégèse critique des Évangiles focalisée sur la judéité de Jésus et sur la culpabilité des Romains ne peut occulter le fait que les quatre évangélistes présentent les juifs (Pharisiens, Sadducéens, Hérodiens, et Judéens en général), et non les Romains, comme les ennemis mortels de Jésus.

 

 

Leur version des faits est sans ambiguïté : les élites représentatives juives ont livré Jésus aux autorités romaines en le dénonçant comme un dangereux séditieux fomentant la révolution pour s’instaurer « roi des Juifs ». Ponce Pilate ne trouve aucun fondement à cette accusation ; bien que notoirement peu porté à la clémence, il est réticent à condamner Jésus, car « Il se rendait bien compte que c’était par jalousie que les grands prêtres l’avaient livré » (Mc 15.10). Lorsque Pilate s’adresse directement à « la foule » pour proposer de relâcher Jésus, ce sont « les grands prêtres » (une élite composée de quelques grandes familles sacerdotales) qui « excitèrent la foule à demander qu’il leur relâchât plutôt Barabbas » (15.11). En résumé, c’est bien Pilate qui « après avoir fait flageller Jésus, le livra pour être crucifié » (15.15), mais le récit évangélique établit clairement l’ordre des responsabilités : les élites juives veulent la mort de Jésus mais, n’ayant pas juridiction pour cela, montent la foule contre lui et forcent la main à Pilate. Cela justifie le raccourci qu’emploie Paul lorsqu’il écrit aux Thessaloniciens que les juifs « ont tué le Seigneur Jésus » (1Th 2.15), ou encore Pierre évoquant, devant le Sanhédrin, « Jésus Christ le Nazaréen, celui que vous, vous avez crucifié » (Ac 13.26).

Ce récit évangélique confirmé par Paul a été battu en brèche par la critique historique moderne. Les évangélistes, nous dit-on, auraient chargé les juifs pour plaire à Rome, en présentant leur Christ comme un ami de Rome, innocent des charges pour lesquelles il fut crucifié ; pour la même raison, les évangélistes auraient également innocenté Pilate de cette erreur judiciaire en inventant la scène où il s’adresse à « la foule », une scène que les historiens jugent peu crédible. Les évangélistes, et Paul davantage encore, auraient ainsi fondé sur un mensonge l’antisémitisme chrétien. Dans Who Killed Jesus ? par exemple, John Dominic Crossan entend « dévoiler les racines de l’antisémitisme dans le récit évangélique de la mort de Jésus [1] ».

La thèse n’est pas sans argument : il est indéniable que le récit évangélique blanchit Jésus de toute sédition contre Rome, et il est certain que, ce faisant, il blanchit un peu trop Pilate de toute hostilité envers Jésus (une tradition apocryphe s’appuyant sur Mt 27.19 lui donnera comme épouse « sainte Procula » et prétendra que Pilate lui-même se serait converti). Tout ce que l’on sait de Pilate et de son administration contredit ce portrait : usant sans ménagement de la crucifixion, il fut démis par son supérieur le légat de Syrie Vitellius, et convoqué devant l’empereur Tibère pour répondre des accusations des juifs et des Samaritains contre son gouvernement tyrannique.

La scène où Pilate offre à la foule le choix entre Jésus et Barabbas est peu crédible, et il est tentant de l’expliquer par la récriture d’un récit originel dans lequel Jésus et Barabbas ne faisaient qu’un ; en effet, Barabbas signifie en araméen « fils du Père » (Abba est la façon dont Jésus s’adressait à Dieu, par exemple en Mc 14.36, pour le supplier de lui « épargner cette coupe ») et, de surcroît, certains manuscrits le désignent comme « Jésus Barabbas », soit Jésus fils de Dieu [2] ; selon cette hypothèse, la foule aurait réclamé en vain la libération de Jésus, mais Marc, suivi par Matthieu et Luc, aurait transformé la scène à l’avantage de Pilate. Mais il faut alors noter qu’il préserve l’irresponsabilité de « la foule » en déclarant qu’elle a été manipulée par les « grands prêtres ». Dans un cas comme dans l’autre, la responsabilité de la mort de Jésus est imputée aux élites sacerdotales de Jérusalem.

 

 

L’analyse historico-critique des Évangiles est un domaine parfaitement légitime de la science historique, qui soumet ces textes aux mêmes tests que toute autre source historique, et qui bénéficie dans ce cas précis de l’avantage considérable d’avoir quatre versions interdépendantes (trois si l’on se contente des Évangiles dits « synoptiques ») ; cela permet de faire des hypothèses assez solides sur les couches rédactionnelles successives [3]. On ne peut donc raisonnablement rejeter en bloc tout questionnement sur la fiabilité historique des Évangiles. La question, ici, est de savoir si le récit évangélique est foncièrement mensonger, ou simplement schématique, s’il inverse la réalité ou l’exagère simplement. Y a-t-il des raisons objectives de mettre en doute la thèse évangélique du complot des élites judaïques ? Cela reviendrait à adopter la thèse des élites juives décrites dans l’Évangile, selon laquelle Jésus était bel et bien un séditieux antiromain, un prétendant à la royauté. Nous sommes bel et bien ici dans la situation de choisir entre deux thèses : une thèse complotiste et réputée antisémite défendue par les évangélistes (qui sont juifs, rappelons-le), et la thèse politiquement correcte s’en tenant à la responsabilité matérielle des Romains dans l’exécution par crucifixion.

D’un point de vue historique, le récit évangélique me semble parfaitement plausible dans ses grandes lignes. Rien, sinon le « politiquement correct », ne justifie de le récrire à l’envers. Il est d’autant plus crédible qu’il correspond à une situation qui se reproduisit souvent dans les deux premiers siècles de notre ère. Tertullien, Justin, Origène et Eusèbe affirment que les juifs incitent à la persécution des chrétiens et les dénoncent aux autorités sous des accusations calomnieuses, comme celle de manger des enfants égorgés dans des réunions nocturnes ; « les Juifs étaient derrière toutes les persécutions des chrétiens », affirme saint Justin (vers 116) [4]. Que Jésus ait été victime des mêmes méthodes est donc assez vraisemblable.

De plus, supposer que les évangélistes ont falsifié cette partie de l’histoire oblige à supposer qu’ils ont totalement dénaturé le sens du ministère de Jésus. Car jamais, selon le récit évangélique, Jésus ne s’en est pris aux Romains ou à l’autorité de Rome. Lorsque des pharisiens et des hérodiens le questionnent, avec l’intention de le piéger, sur ce qu’il pense de l’impôt exigé par Rome, Jésus répond en exhibant le portrait de l’empereur sur une pièce romaine : « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu » (Mc 12.17), ce qui est une façon claire de prendre ses distances par rapport aux mouvements de révolte contre l’autorité et la fiscalité romaines. Dans cette scène, ce sont bien les autorités juives qui complotent contre Jésus en cherchant un moyen de le dénoncer aux Romains. La scène est parfaitement crédible, et le caractère mémorable de l’esquive de Jésus évident.

 

 

Il convient de comparer cet épisode à un autre ayant également l’argent pour thème central : celui où Jésus renverse les étales des changeurs et marchands du Temple, les accusant de transformer le temple en « un repaire de brigands » (Mc 11.17). L’activité principale des changeurs consistait à changer les pièces de monnaie variées légalement en cours, en la seule monnaie autorisée pour acheter les animaux du sacrifice et s’acquitter de l’impôt religieux : le demi-shekel. Ce trafic financier fort lucratif relevait du commerce de l’argent au même titre que l’usure, et donnait lieu à de nombreux abus. Ainsi, la seule violence à laquelle Jésus s’est laissé emporter ne fut pas contre les Romains, mais contre les institutions du Temple ; non pas contre l’impôt à Rome, mais contre les pratiques financières des juifs. Et c’est encore « les grands prêtres et les scribes » qui, voyant cela, « cherchaient comment le faire périr ; car ils le craignaient, parce que tout le peuple était ravi de son enseignement » (Mc 11.17-18).

Pour contextualiser cet épisode, il faut savoir que les premières banques de dépôt furent les temples, car c’étaient des lieux sûrs bien gardés. Le contemporain de Jésus Philon d’Alexandrie, philosophe juif dont le frère Alexandre est directeur des douanes (alabarque) et banquier du roi de Judée Agrippa Ier, évoque un tel « dépôt au temple » dans son livre Contre Flaccus [5]. La vocation du Temple de Jérusalem à amasser les richesses est particulièrement marquée, et le Yahvé biblique a quelque chose de l’oncle Picsou lorsqu’il s’exclame, à travers le prophète Aggée (2.7-8) : « J’ébranlerai toutes les nations, alors afflueront les trésors des toutes les nations et j’emplirai de gloire ce Temple, dit Yahvé. À moi l’argent ! À moi l’or ! Oracle de Yahvé Sabaot (Yahvé des Armées) ! » Ou encore, en Josué 6, 19 : « Tout l’argent et tout l’or, tous les objets d’airain et de fer, seront consacrés à l’Éternel, et entreront dans le trésor de l’Éternel. » D’une certaine manière, c’est autant la Banque que le Temple que détruit symboliquement Jésus.

Son message est très souvent dirigé directement contre l’amour de l’argent qui gangrène la société juive de son temps : « Comme il sera difficile à ceux qui ont des richesses d’entrer dans le Royaume de Dieu » (Mc 10.23) ; « amassez-vous des trésors dans le ciel […] Car où est ton trésor, là sera aussi ton cœur » (Mt 6.20-21). Il est aussi dirigé contre le légalisme obsessionnel des pharisiens, qui bientôt donnera naissance au judaïsme rabbinique. La vision de Jésus du règne de Dieu parmi les hommes est à l’opposé, tant du règne de l’argent que du règne de la loi ; c’est le règne de l’Esprit descendu parmi les hommes, et accueilli par eux inconditionnellement. Ses disciples expliqueront plus tard que sa mort était nécessaire pour qu’il envoie l’Esprit saint (Paraclet), dès lors plus ou moins confondu avec le Christ ressuscité devenu « esprit vivifiant » (1Co 15.45). Mais il est peu probable que Jésus fît reposer cet espoir sur son propre sacrifice. L’Esprit saint est pour lui une réalité qui éclot dans le cœur des hommes pour se réaliser socialement, dans une convivialité qui brise les barrières érigées par la loi au nom de la pureté : « ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme ; mais ce qui sort de sa bouche, voilà ce qui souille l’homme » (Mt 15.11).

Rien n’exprime mieux la progressive maturation du Règne que les paraboles « organiques » de Jésus selon Marc, reconnues comme parmi les plus certainement authentiques des logia : « Le Règne des Cieux est semblable à un grain de sénevé qu’un homme a pris et semé dans son champ. C’est bien la plus petite de toutes les graines, mais, quand il a poussé, c’est la plus grande des plantes potagères, qui devient même un arbre, au point que les oiseaux du ciel viennent s’abriter dans ses branches » (Mc 4.30-32). Il n’y a aucune place pour la lutte armée contre Rome dans ce programme.

L’ennemi numéro un du Christ est bien le judaïsme, dans ses composantes sacerdotale-financière, pharisienne-puritaine et zélote-antiromaine (dans l’ordre). Et tout concourt à confirmer que Jésus fut victime d’un complot des élites juives de Jérusalem, qui se sont arrangées, par des « faux témoignages » et des citations sorties de leurs contextes (Mt 26.59-61), pour faire éliminer par les Romains un pacifiste opposé à leur chauvinisme antiromain (et antisamaritain, voir Lu 10.29-37). En le dénonçant comme un ennemi de Rome, ces élites juives ont de surcroît voulu donner des gages de leur loyauté aux autorités romaines, avec une hypocrisie machiavélique. Mais en même temps, faire crucifier par les Romains un prophète aimé du peuple signifiait exacerber le sentiment antiromain que Jésus avait au contraire tenté d’apaiser. Dans leur arrogante confiance en Yahvé, ils attireront finalement sur eux la destruction que Jésus voyait venir. Deux siècles de critique historique biaisée ne pourront effacer cette vérité évangélique."

Notes

[1] John Dominic Crossan, Who Killed Jesus ? Exposing the Roots of Anti-Semitism in the Gospel Story of the Death of Jesus, HarperSanFrancisco, 1995.

[2] Keith Elliott et Ian Moir, Manuscripts and the Text of the New Testament, T&T Clark, 1995, p. 65.

[3] Voir par exemple Marie-Émile Boismard, L’Évangile de Marc, sa préhistoire, Gabalda, 1994.

[4] Martin Peltier, L’Antichristianisme juif. L’enseignement de la haine, Diffusion Internationale Édition, 2014, p. 38-49 ; Michael Jones, The Jewish Revolutionary Spirit and its Impact on World History, Fidelity Press, 2008, p. 68.

[5] Joseph Mélèze-Modrzejewski, Les Juifs d’Égypte de Ramsès II à Hadrien, PUF, 1997, p. 232.

Source :

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Qui-a-tue-Jesus-32147.html

Publié dans Islam, Christianisme, Issa, Jésus, Juifs

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L'histoire des juifs selon le Coran et d'autres sources

Publié le par Ahmed Miloud

Histoire des Juifs selon les textes sacrés et autres

Mot à dire:

Il a été établi tant par la Torah que l’Évangile, le Coran et l’histoire elle-même que la majorité des Juifs sont les plus grands disputeurs des Prophètes et les plus rebelles aux Commandements de Dieu.

Ils ne respectent ni parole donnée, ni traité, ni convention, ni alliance.Ils avouent eux-mêmes qui'ils sont des éléments de destruction et des agents du mal;  sans le mal, il n’y aurait pas de bien(1). Dieu les a punis en leur intimant l'ordre de vivre  parmi les nations du monde en respectant leurs lois et de ne pas fonder un état typiquement juif (2) .Une infime partie parmi eux observait encore ce commandement à l’inverse des juifs sionistes qui perpétuent leur rébellion aux enseignements de leur livre sacré.Les versets du Coran qui suivent résument à eux-seuls leurs comportements en tous temps et en tous lieux.

" 83.Rappelle-toi], lorsque Nous avons pris l’engagement des enfants d’Israël de n’adorer qu’Allah, de faire le bien envers les pères, les mères, les proches parents, les orphelins et les nécessiteux, d’avoir de bonnes paroles avec les gens; d’accomplir régulièrement la prière et d’acquitter l'aumône (obligatoire)! - Mais à l’exception d’un petit nombre de vous, vous manquiez à vos engagements en vous détournant de Nos commandements.

84. Et rappelez-vous, lorsque Nous obtînmes de vous l’engagement de ne pas vous verser le sang, [par le meurtre] de ne pas vous expulser les uns les autres de vos maisons. Puis vous y avez souscrit avec votre propre témoignage.

85. Quoique ainsi engagés, voilà que vous vous entretuez, que vous expulsez de leurs maisons une partie d’entre vous contre qui vous prêtez main forte par péché et agression. Si vos coreligionnaires vous viennent captifs vous les rançonnez alors qu’il vous était interdit de les expulser (de chez eux). Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste? Ceux d’entre vous qui agissent de la sorte ne méritent que l’ignominie dans cette vie, et au Jour de la Résurrection ils seront refoulés au plus dur châtiment, et Allah n’est pas inattentif à ce que vous faites.

86. Voilà ceux qui échangent la vie présente contre la vie future. Eh bien, leur châtiment ne sera pas diminué. Et ils ne seront point secourus.

87. Certes, Nous avons donné le Livre à Moïse; Nous avons envoyé après lui des prophètes successifs. Et Nous avons donné des preuves à Jésus fils de Marie, et Nous l’avons renforcé du Saint-Esprit. Est-ce qu’à chaque fois, qu’un Messager vous apportait des vérités contraires à vos souhaits vous vous enfliez d’orgueil? Vous traitiez les uns d’imposteurs et vous tuiez les autres.

88. Et ils dirent: «Nos cœurs sont enveloppés et impénétrables» - Non mais Allah les a maudits à cause de leur infidélité, leur foi est donc médiocre.

89. Et quand leur vint d’Allah un Livre confirmant celui qu’ils avaient déjà, - alors qu’auparavant ils cherchaient la suprématie sur les mécréants, - quand donc leur vint cela même qu’ils reconnaissaient, ils refusèrent d’y croire. Que la malédiction d’Allah soit sur les mécréants!

90. Comme est vil ce contre quoi ils ont troqué leurs âmes! Ils ne croient pas en ce qu’Allah a fait descendre, révoltés à l’idée qu’Allah, de par Sa grâce, fasse descendre la révélation sur ceux de Ses serviteurs qu’Il veut. Ils ont donc acquis colère sur colère, car un châtiment avilissant attend les infidèles!

91. Et quand on leur dit: «Croyez à ce qu’Allah a fait descendre», ils disent: «Nous croyons à ce qu’on a fait descendre à nous». Et ils rejettent le reste, alors qu’il est la vérité confirmant ce qu’il y avait déjà avec eux. - Dis: «Pourquoi donc avez-vous tué auparavant les prophètes d’Allah, si vous étiez croyants?».

92. Et en effet Moïse vous est venu avec les preuves. Malgré cela, une fois absent, vous avez pris le Veau pour idole, alors que vous étiez injustes.

93. Et rappelez-vous, lorsque Nous avons pris l’engagement de vous, et brandi au-dessus de vous Aṭ-Ṭūr (le Mont Sinaï) en vous disant: «Tenez ferme à ce que Nous vous avons donné, et écoutez!». Ils dirent: «Nous avons écouté et désobéi». Dans leur impiété, leurs cœurs étaient passionnément épris du Veau (objet de leur culte). Dis-[leur]: «Quelles mauvaises prescriptions ordonnées par votre foi, si vous êtes croyants.

94. - Dis: «Si l’Ultime demeure auprès d’Allah est pour vous seuls, à l’exclusion des autres gens, souhaitez donc la mort [immédiate] si vous êtes véridiques!»

95. Or, ils ne la souhaiteront jamais, sachant tout le mal qu’ils ont perpétré de leurs mains. Et Allah connait bien les injustes.

96. Et certes tu les trouveras les plus attachés à la vie [d’ici-bas], pire en cela que les Associateurs. Tel d’entre eux aimerait vivre mille ans. Mais une pareille longévité ne le sauvera pas du châtiment! Et Allah voit bien leurs actions." (Coran,Sourate La Vache,versets 83 à 96)

(1) D’après la Kabbale, qui est la doctrine secrète du Judaïsme : " le mal et les catastrophes sont des facteurs endémiques du processus de création. Sans mal il ne peut y avoir de bien, sans destruction, la création ne peut pas s’accomplir. "(La Kabbale : Une introduction au mysticisme Juif, par Byron L. Sherwin, p.72)

(2) "Notre Torah, dans son Traité Ksubos, folio 111, spécifie que le Créateur, qu'Il soit béni, a fait jurer aux juifs de ne pas occuper la Terre Sainte par la force, même s'il semble qu'ils aient la force suffisante pour ce faire, et de ne pas se rebeller contre les Nations. Et le Créateur a averti que si Son jurement était violé, la chair juive serait du « gibier licite pour tout le monde », comme les animaux sauvages dans la forêt ! Tels sont les termes mêmes de notre Torah ; et ces concepts ont été cités dans les traités « Igeres Teimon », « Be'er HaGola », « Ahavas Yehonosson » de Maïmonide, ainsi que dans le « Toras Moshe » de Chasam Sofer.Tout le monde sait que tous les sages et tous les saints, en Europe, à l'époque de l'ascension d'Hitler vers le pouvoir, déclaraient qu'il était un message de la colère divine, envoyé afin de châtier les juifs en raison de l'atroce apostasie du sionisme contre la croyance en une rédemption messianique eschatologique."

Source : http://m.alterinfo.net/Dix-questions-qui-tuent-a-poser-aux-sionistes-par-le-rabbin-Michael-Dov-Weissmandl_a14950.html

 

Voir aussi :

https://henrymakow.wordpress.com/2014/02/07/un-banquier-illuminati-nous-dissoudrons-toutes-les-nations/

Ahmed Miloud

 

L'histoire des Fils d'Israël selon le Coran

 

Louange à Allah

Allah a fait une révélation à Moïse fils de Imran (psl) et l’a envoyé aux fils d’Israël afin qu’il les invite à adorer Allah seul. C’est à ce propos que le Transcendant a dit : «Nous avons certes, envoyé Moïse avec Nos miracles (en lui disant): "Fais sortir ton peuple des ténèbres vers la lumière, et rappelle- leur les jours d' Allah", (Ses bienfaits). Dans tout cela il y a des signes pour tout homme plein d' endurance et de reconnaissance. » (Coran, 14 : 5).

Haroun (psl) était le frère de Moïse envoyé par Allah sur la demande de celui-ci pour renforcer Moïse dépêché auprès de Pharaon afin de l’inviter à adorer Allah : «Et par Notre miséricorde, Nous lui donnâmes Aaron son frère comme prophète. » (Coran, 19 : 53). Les fils d’Israël étaient alors en Egypte sous le gouvernement du Pharaon. Celui-ci les réduisit en  esclavage et ne laissait survivre que leurs filles : «Pharaon était hautain sur terre; il répartit en clans ses habitants, afin d' abuser de la faiblesse de l' un d' eux: Il égorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il était vraiment parmi les fauteurs de désordre. » (Coran, 28 :4).

Moïse naquit en Egypte et Allah voulut qu’il fût éduqué dans le palais du Pharaon. Sa mère le mit dans une cage   et le jeta dans le fleuve. Et puis des membres de la famille du Pharaon le repêcha et Assia, la femme de ce dernier, s’en réjouisit et leur interdit de le tuer.

Devenu majeur, Allah le dota de sagesse et de science … Un jour, un homme issu des Fils d’Israël sollicita le secours de Moïse contre son ennemi. Moïse lui asséna un coup de poing fatal. Et puis il regretta son geste, sollicita et obtint le pardon de son Maître. Au lendemain, il fut pris de peur et resta vigilant. Au surlendemain, Moïse retrouva le même homme (qu’il avait secouru) entrain de se battre contre un autre ennemi. L’homme sollicita encore son soutien. Ce qui suscita la colère de Moïse, et, son interlocuteur croyant qu’il allait le tuer, dit : « Ô Moïse, veux- tu me tuer comme tu as tué un homme hier? Tu ne veux être qu' un tyran sur terre; et tu ne veux pas être parmi les bienfaiteurs".» (Coran, 28 : 19). Le précité ennemi révéla l’affaire au peuple du Pharaon et ceux-ci se mirent à la recherche de Moïse pour le tuer. Un homme pieux vint informer Moïse de ce qu’on lui voulait et lui conseilla de quitter l’Egypte : « Et c' est alors qu' un homme vint du bout de la ville en courant et dit: "Ô Moïse, les notables sont en train de se concerter à ton sujet pour te tuer. Quitte (la ville). C' est le conseil que je te donne".» (Coran, 28 : 20).

Moïse s’en alla à Madyan et y épousa la fille d’un noble patriarche en contrepartie de services à rendre par lui durant huit ans. Une fois le délai terminé, il allait rentrer en Egypte en compagnie de sa femme. Arrivé à Tor, Allah voulut le privilégier en l’honorant par la prophétie et en lui adressant la parole. Peu avant, Moïse s’était égaré lorsqu’il aperçu du feu : «Lorsqu' il vit du feu, il dit à sa famille: "Restez ici! Je vois du feu de loin; peut-être vous en apporterai- je un tison, ou trouverai- je auprès du feu de quoi me guider".Puis, lorsqu' il y arriva, il fut interpellé: "Moïse! Je suis ton Seigneur. Enlève tes sandales: car tu es dans la vallée sacrée, Touwâ. Moi, je t' ai choisi. Écoute donc ce qui va être révélé. Certes, c' est Moi Allah: point de divinité que Moi. Adore- Moi donc et accomplis la Salâ pour te souvenir de Moi. L' Heure va certes arriver. Je la cache à peine, pour que chaque âme soit rétribuée selon ses efforts. » (Coran, 20 : 10-15).

Allah lui fit voir certains miracles et lui donna l’ordre de jeter son bâton par terre, et le bâton se transforma en serpent. Allah lui ordonna encore d’introduire sa main dans la fente de son manteau et la main devint blanche. Allah lui dit ensuite de s’adresser au Pharaon muni de ces deux miracles dans l’espoir qu’il allait se souvenir ou craindre (Allah). En effet, sa tyrannie et sa corruption avaient atteint leur maximum, conformément à ces propos du Très Haut : « Allez vers Pharaon: il s' est vraiment rebellé. Puis, parlez- lui gentiment. Peut-être se rappellera- t- il ou (Me) craindra- t- il? Ils dirent: "Ô notre Seigneur, nous craignons qu' il ne nous maltraite indûment, ou qu' il dépasse les limites".Il dit: "Ne craignez rien. Je suis avec vous: J' entends et Je vois. Allez donc chez lui; puis, dites- lui: "Nous sommes tous deux, les messagers de ton Seigneur. Envoie donc les Enfants d' Israël en notre compagnie et ne les châtie plus. Nous sommes venus à toi avec une preuve de la part de ton Seigneur. Et que la paix soit sur quiconque suit le droit chemin!» (Coran, 20 : 43-47).

Moïse et Aaron se rendirent auprès du Pharaon et lui transmirent le message. Ce dernier interrogea Moïse en ces termes : « "Et qu' est- ce que le Seigneur de l' univers?" dit Pharaon.» (Coran, 26 : 23). Et puis il lui demanda de fournir la preuve de la véracité de sa prophétie : « "Si tu es venu avec un miracle, dit (Pharaon), apporte- le donc, si tu es du nombre des véridiques." Il jeta son bâton et voilà que c' était un serpent évident. Et il sortit sa main et voilà qu' elle était blanche (éclatante), pour ceux qui regardaient.» (Coran, 7 : 106-108).

Constatant ce qui venait de se passer, Pharaon et son entourage accusèrent Moïse d’avoir fait usage de la magie. Et puis ils rassemblèrent leurs magiciens, les rétribuèrent généreusement et convoquèrent les gens à la journée de Décoration. Les magiciens jetèrent leurs cordes et bâtons : «"Jetez" dit- il. Puis lorsqu'ils eurent jeté, ils ensorcelèrent les yeux des gens et les épouvantèrent, et vinrent avec une puissante magie. » (Coran, 7 : 116).

Au bout du compte, Allah permit à Moïse de triompher des magiciens et ceux-ci crurent au Maître des Univers : «Et Nous révélâmes à Moïse: "Jette ton bâton". Et voilà que celui-ci se mit à engloutir ce qu' ils avaient fabriqué. Ainsi la vérité se manifesta et ce qu' ils firent fût vain. Ainsi ils furent battus et se trouvèrent humiliés. Et les magiciens se jetèrent prosternés. Ils dirent: "Nous croyons au Seigneur de l' Univers, au Seigneur de Moïse et d' Aaron." » (Coran, 7 : 117-122). Cette déclaration des magiciens poussa Pharaon à leur couper les mains et les pieds de façon croisée (avant de les crucifier. Ils persévérèrent et firent peu de cas des menaces du Pharaon. Aussi rencontrèrent-ils Allah croyants.

C’est à ce moment que les nobles suggérèrent au Pharaon d’exécuter Moïse et son peuple pour les empêcher de répandre « la corruption sur terre ». Ils tuèrent les garçons et épargnèrent les filles. Moïse recommanda aux fils d’Israël de rester ferme. Et puis, exaspéré, Pharaon et son peuple se mit d’accord pour décimer Moïse et son peuple : «Et Pharaon dit: "Laissez- moi tuer Moïse. Et qu' il appelle son Seigneur! Je crains qu' il ne change votre religion ou qu' il ne fasse apparaître la corruption sur terre". » (Coran, 40 : 26).

Mais au moment où ils se concertèrent pour tuer Moïse, un homme croyant issu de la famille du Pharaon, mais qui veillait à tenir sa conversion secrète, fut poussé par la noblesse de caractère à défendre Moïse, en disant : « s’il est un menteur, son mensonge se retournera contre lui. En revanche, s’il dit la vérité, une partie de ses menaces se concrétisera… » L’homme continua d’adresser ses conseils au Pharaon et à son peuple, mais ils ne les acceptèrent pas. «"Ô mon peuple, triomphant sur la terre, vous avez la royauté aujourd'hui. Mais qui nous secourra de la rigueur d' Allah si elle nous vient?" Pharaon dit: "Je ne vous indique que ce que je considère bon. Je ne vous guide qu' au sentier de la droiture".» (Coran, 40 : 29).

Moïse continua d’appeler Pharaon et son peuple à sa religion à l’aide de belles paroles. Ce qui ne les rendit que plus enracinés dans leur attitude marquée par la tyrannie, par l’orgueil et par des sévices infligés aux croyants. C’est alors que Moïse invoqua Allah contre eux, et ce dernier les châtia à l’aide de la disette, de la sécheresse et d’un manque de récolte, dans l’espoir de les amener à se souvenir. Mais ils ne se soumirent pas. Bien au contraire, ils persistèrent dans leurs crimes et leur tyrannie. C’est pourquoi Allah déversa sur eux toutes sortes d’épreuves dans l’espoir d’obtenir leur retour : « Et ils dirent: "Quel que soit le miracle que tu nous apportes pour nous fasciner, nous ne croirons pas en toi".Et Nous avons alors envoyé sur eux l' inondation, les sauterelles, les poux (ou la calandre), les grenouilles et le sang, comme signes explicites. Mais ils s' enflèrent d' orgueil et demeurèrent un peuple criminel.» (Coran, 7 : 132-133).

Devant l’ampleur de la tyrannie du Pharaon, Allah émit un ordre qui apporta le soulagement ; Il donna à Moïse l’ordre de faire sortir les fils d’Israël de l’Egypte secrètement. Mis au courant, Pharaon mobilisa une grande armée afin de rattraper Moïse et son peuple avant qu’ils ne regagnent la Palestine. Aussi Pharaon sortit-il à la tête de ses soldats, laissèrent derrière eux leurs champs et jardins et d’autres biens, et ils rejoignirent Moïse et son peuple sur la côte de la mer rouge au lever du soleil. Là, Allah sauva Moïse et son peuple et laissa se noyer Pharaon et ses soldats. C’est à ce propos que la Très Haut dit ceci : « Et Nous révélâmes à Moïse (ceci): "Pars de nuit avec Mes serviteurs, car vous serez poursuivis".Puis, Pharaon envoya des rassembleurs (dire) dans les villes: "Ce sont, en fait, une bande peu nombreuse, mais ils nous irritent, tandis que nous sommes tous vigilants".Ainsi, Nous les fîmes donc sortir des jardins, des sources, des trésors et d' un lieu de séjour agréable. Il en fut ainsi! Et Nous les donnâmes en héritage aux enfants d'Israël. Au lever du soleil, ils les poursuivirent. Puis, quand les deux partis se virent, les compagnons de Moïse dirent: "Nous allons être rejoints".Il dit: "Jamais, car j' ai avec moi mon Seigneur qui va me guider".Alors Nous révélâmes à Moïse: "Frappe la mer de ton bâton". Elle se fendit alors, et chaque versant fut comme une énorme montagne. Nous fîmes approcher les autres (Pharaon et son peuple). Et Nous sauvâmes Moïse et tous ceux qui étaient avec lui; ensuite Nous noyâmes les autres. Voilà bien là un prodige, mais la plupart d' entre eux ne croient pas. Et ton Seigneur, c' est en vérité Lui le Tout Puissant, le Très Miséricordieux.» (Coran, 26 : 52-68).

C’est ainsi que Pharaon et ses soldats périrent. Sachant qu’il allait se noyer, Pharaon crut (en Allah), mais il n’en tira aucun profit. Allah sauva son corps afin qu’il serve de source de méditation pour les générations postérieures. Les partisans du Pharaon furent châtiés ici-bas par la noyade dans la mer et dans l’au-delà par un châtiment très intense : «le Feu, auquel ils sont exposés matin et soir. Et le jour où l' Heure arrivera (il sera dit): "Faites entrer les gens de Pharaon au plus dur du châtiment".Et quand ils se disputeront dans le Feu, les faibles diront à ceux qui s' enflaient d' orgueil: "Nous vous avions suivis: pourriez- vous nous préserver d' une partie du feu?" » (Coran, 40 : 46-47).

Les fils d’Israël constatèrent les miracles de Moïse dont le dernier fut leur sauvetage et la noyade de leurs ennemis. Ces miracles étaient censés assez forts pour extirper les racines de l’idolâtrie de leurs cœurs. Cependant, l’idolâtrie rebondissait en leur sein d’une période à l’autre. Moïse affronta des terreurs dans le cadre de son effort pour les ramener au culte d’Allah, l’Unique. Parmi les moments terrifiants, citons ceux-ci :

Après avoir traversé la mer, ils arrivèrent chez des idolâtries et les compagnons de Moïse lui demandèrent de leur trouver une idole pour qu’ils puissent l’adorer à l’instar des idolâtres d’en face. Moïse leur dit : «Et Nous avons fait traverser la Mer aux Enfants d' Israël. Ils passèrent auprès d' un peuple attaché à ses idoles et dirent: "Ô Moïse, désigne- nous une divinité semblable à leurs dieux." Il dit: "Vous êtes certes des gens ignorants. Le culte, auquel ceux-là s' adonnent, est caduc; et tout ce qu' ils font est nul et sans valeur." Il dit: "Chercherai- je pour vous une autre divinité qu' Allah, alors que c' est Lui qui vous a préférés à toutes les créatures (de leur époque)?" » (Coran, 7 : 138-140).

Les fils d’Israël se dirigèrent ensuite vers la Terre sainte, éprouvèrent de la soif au cours de leur marche et s’en plaignirent auprès de Moïse qui implora son Maître pour leur donner à boire : «Nous les répartîmes en douze tribus, (en douze) communautés. Et Nous révélâmes à Moïse, lorsque son peuple lui demanda de l' eau: "Frappe le rocher avec ton bâton." Et voilà qu' en jaillirent douze sources. Chaque tribu sut son abreuvoir. Nous les couvrîmes de l' ombre du nuage, et fîmes descendre sur eux la manne et les cailles: "Mangez des bonnes choses que Nous vous avons attribuées." Et ce n' est pas à Nous qu' ils ont fait du tort, mais c' est à eux-mêmes qu' ils en faisaient. » (Coran, 7 : 160). Ils se plaignirent encore de l’intensité de la chaleur du soleil et de la rareté de la nourriture. Moïse sollicita encore son Maître. Celui-ci envoya un nuage pour leur donner de l’ombre, et Il leur pourvut de bonnes subsistances.

Loin de se montrer reconnaissants, ils se mirent à multiplier les demandes : «Nous les répartîmes en douze tribus, (en douze) communautés. Et Nous révélâmes à Moïse, lorsque son peuple lui demanda de l' eau: "Frappe le rocher avec ton bâton." Et voilà qu' en jaillirent douze sources. Chaque tribu sut son abreuvoir. Nous les couvrîmes de l' ombre du nuage, et fîmes descendre sur eux la manne et les cailles: "Mangez des bonnes choses que Nous vous avons attribuées." Et ce n' est pas à Nous qu' ils ont fait du tort, mais c' est à eux-mêmes qu' ils en faisaient. » (Coran, 7 : 160). Ils exprimèrent leur plainte en ces termes : « Et (rappelez- vous) quand vous dîtes: "Ô Moïse, nous ne pouvons plus tolérer une seule nourriture. Prie donc ton Seigneur pour qu' Il nous fasse sortir de la terre ce qu' elle fait pousser, de ses légumes, ses concombres, son ail (ou blé), ses lentilles et ses oignons!" - Il vous répondit: "voulez- vous échanger le meilleur pour le moins bon? Descendez donc à n' importe quelle ville; vous y trouverez certainement ce que vous demandez!". L' avilissement et la misère s' abattirent sur eux; ils encoururent la colère d' Allah. Cela est parce qu' ils reniaient les révélations d' Allah, et qu' ils tuaient sans droit les prophètes. Cela parce qu' ils désobéissaient et transgressaient.» (Coran, 2 : 61).

Allah avait promis à Moïse de lui révéler un livre contenant des prescriptions et des proscriptions destinées aux fils d’Israël. après la mort du Pharaon, Moïse demanda à son Maître de lui remettre le livre. Ce dernier lui donna l’ordre de jeûner quarante jours. Ce faisant, il se fit remplacer auprès de son peuple par son frère Aaron. Et puis Allah lui révéla la Thora près du Mont Tor. Ce livre contient des sermons et traite de tout.

Rentré auprès de son peuple, Moïse découvrit qu’ils adoraient un veau fabriqué à partir de bijoux par le Samaritain qui leur avait dit : « ceci est votre dieu et celui de Moïse » : «Puis il en a fait sortir, pour eux un veau, un corps à mugissement. Et ils ont dit: "C' est votre divinité et la divinité de Moïse; il a donc oublié"!Quoi! Ne voyaient- ils pas qu' il (le veau) ne leur rendait aucune parole et qu' il ne possédait aucun moyen de leur nuire ou de leur faire du bien? Certes, Aaron leur avait bien dit auparavant: "Ô mon peuple, vous êtes tombés dans la tentation (à cause du veau). Or, c' est le Tout Miséricordieux qui est vraiment votre Seigneur. Suivez- moi donc et obéissez à mon commandement". » (Coran, 20 : 88-91). Ceci suscita la colère de Moïse et il les blâma, leur expliqua la vérité, brûla le veau, le jeta dans la mer et infligea au Samaritain un châtiment qui fit qu’il ressentait de la douleur au contact de n’importe quoi.

Les fils d’Israël  regrettèrent d’avoir adoré le veau. Par la suite, Moïse choisit parmi eux soixante dix hommes et se rendit en leur compagnie au mont Tor afin qu’ils y obéissent à Allah et expriment leur regret de ce qu’ils avaient fait. C’est là qu’Allah a réellement adressé la parole à Moïse. Mais certains des compagnons de ce dernier ne crurent pas que c’est Allah qui lui avait parlé. Par conséquent, ils lui désobéirent et lui dirent : montre-nous Allah ouvertement : «Et (rappelez- vous) lorsque vous dites: "Ô Moïse, nous ne te croirons qu' après avoir vu Allah clairement"!... Alors la foudre vous saisit tandis que vous regardiez. Puis Nous vous ressuscitâmes après votre mort afin que vous soyez reconnaissants. » (Coran, 2 : 55-56).

Quand Moïse retourna auprès de son peuple porteur de la Thora, ils refusèrent d’en adopter le contenu et désapprouvèrent ses dispositions. Mais il les menaça de sorte à les amener à les accepter. A ce propos le Très Haut a dit : « (Et rappelez- vous) quand Nous avons contracté un engagement avec vous et brandi sur vous le Mont -: "Tenez ferme ce que Nous vous avons donné et souvenez- vous de ce qui s' y trouve afin que vous soyez pieux!" Puis vous vous en détournâtes après vos engagements, n' eût été donc la grâce d' Allah et Sa miséricorde, vous seriez certes parmi les perdants.» (Coran, 2 : 63-64).

Et puis Moïse donna aux fils d’Israël l’ordre de l’accompagner en terre sainte de Palestine. Ils le suivirent puis éprouvèrent de la crainte à cause des redoutables habitants de ce pays. Ce qui les conduisit à désobéir à Moïse et à se révolter contre lui : «Ils dirent: "Moïse! Nous n' y entrerons jamais, aussi longtemps qu' ils y seront. Va donc, toi et ton Seigneur, et combattez tous deux. Nous restons là où nous sommes". » (Coran, 5 : 24). Moïse invoqua Allah contre eux et Allah exauça sa prière et l’informa que l’accès de la Terre sainte leur était interdit et qu’ils erreraient durant quarante ans et qu’ils n’avait à s’attrister pour leur sort : «Il dit: "Seigneur! Je n' ai de pouvoir, vraiment, que sur moi-même et sur mon frère: sépare- nous donc de ce peuple pervers".Il (Allah) dit: "Eh bien, ce pays leur sera interdit pendant quarante ans, durant lesquels ils erreront sur la terre. Ne te tourmente donc pas pour ce peuple pervers".» (Coran, 5 : 25-26).

Moïse endura ainsi les nombreuses griefs et plaintes formulées par les fils d’Israël. Pendant les années d’errance, Moïse, Aaron et la plupart de leurs compagnons moururent. Au bout de l’errance, ils entrèrent en Terre sainte sous la conduite de Youchou ‘Ibn Noun. Auparavant, ce dernier avait assiégé et conquis ladite terre. Il leur avait donné l’ordre d’y entrer prosternés, mais ils avaient refusé et avaient fini par accepter de faire leur entrée en rampant sur leur derrière.

Allah avait procuré aux fils d’Israël de nombreux bienfaits. Il les avait sauvé du Pharaon, leur avait procuré de bonnes subsistances, désigné des prophètes  et des rois en leur sein et les avait préférés à tous les humains. Mais ils étaient restés ingrats devant ces bienfaits et ne s’étaient jamais montrés reconnaissants : «(Souvenez- vous) Lorsque Moïse dit à son peuple: "Ô mon peuple! Rappelez- vous le bienfait d' Allah sur vous, lorsqu' Il a désigné parmi vous des prophètes. Et Il a fait de vous des rois. Et Il vous a donné ce qu' Il n' avait donné à nul autre aux mondes. » (Coran, 5 : 20).

Les Juifs ont proféré de mauvais propos et perpétré des actes ignobles à cause desquels Allah les a maudits et s’est montré exacerbé à cause d’eux. En effet, ils ont accusé Allah d’avarice : «Et les Juifs disent: "La main d' Allah est fermée!" Que leurs propres mains soient fermées, et maudits soient- ils pour l' avoir dit. Au contraire, Ses deux mains sont largement ouvertes: Il distribue Ses dons comme Il veut.» (Coran, 5 : 64). Ils sont devenus mécréants à cause de cette ignoble mensonge : « Allah a certainement entendu la parole de ceux qui ont dit: "Allah est pauvre et nous sommes riches." Nous enregistrons leur parole, ainsi que leur meurtre, sans droit, des prophètes. Et Nous leur dirons: "Goûtez au châtiment de la fournaise.» (Coran, 3 : 181). Ils ont attribué à Allah un fils – Puisse Allah les combattre ! Quel mensonge ont-ils proféré ? ! : «Les Juifs disent: "`Ouzayr est fils d' Allah" et les Chrétiens disent: "Le Christ est fils d' Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu' Allah les anéantisse! Comment s' écartent- ils (de la vérité)? » (Coran, 9 : 30).

Quand la Thora leur a été apportée, ils ont renié bon nombre de ses dispositions, détourné les gens du chemin d’Allah et se sont permis de commettre des actes d’injustice. C’est à cause de leurs péchés que voilà qu’Allah les a châtiés. A ce propos le Très Haut dit : «Et lorsqu' on leur dit: "Venez vers ce qu' Allah a fait descendre et vers le Messager", tu vois les hypocrites s' écarter loin de toi. » (Coran, 4 : 61).

Fait partie de leurs affirmations mensongères leur prétention selon laquelle ils sont les fils et amis d’Allah : «Et ils ont dit: "Nul n' entrera au Paradis que Juifs ou Chrétiens". Voilà leurs chimères. - Dis: "Donnez votre preuve, si vous êtes véridiques". » (Coran, 2 : 111).

On relève encore parmi leurs inventions mensongères ceci : «Et ils ont dit: "Le Feu ne nous touchera que pour quelques jours Dis: "Auriez- vous pris un engagement avec Allah - car Allah ne manque jamais à Son engagement; - non, mais vous dites sur Allah ce que vous ne savez pas".Et ils ont dit: "Le Feu ne nous touchera que pour quelques jours Dis: "Auriez- vous pris un engagement avec Allah - car Allah ne manque jamais à Son engagement; - non, mais vous dites sur Allah ce que vous ne savez pas". » (Coran, 2 : 80).

En parfait traîtres, bien rusés, ils ont pris l’habitude d’altérer leur livre : la Thora : «Il en est parmi les Juifs qui détournent les mots de leur sens, et disent: "Nous avions entendu, mais nous avons désobéi",»  (Coran, 4 : 46).

Parmi leurs crimes figurait celui qui consistait à rejeter les versets d’Allah et à tuer les prophètes injustement. Allah leur infligea un châtiment à cause de leurs péchés. A ce propos le Très Haut a dit : « Et (rappelez- vous) quand vous dîtes: "Ô Moïse, nous ne pouvons plus tolérer une seule nourriture. Prie donc ton Seigneur pour qu' Il nous fasse sortir de la terre ce qu' elle fait pousser, de ses légumes, ses concombres, son ail (ou blé), ses lentilles et ses oignons!" - Il vous répondit: "voulez- vous échanger le meilleur pour le moins bon? Descendez donc à n' importe quelle ville; vous y trouverez certainement ce que vous demandez!". L' avilissement et la misère s' abattirent sur eux; ils encoururent la colère d' Allah. Cela est parce qu' ils reniaient les révélations d' Allah, et qu' ils tuaient sans droit les prophètes. Cela parce qu' ils désobéissaient et transgressaient.» (Coran,  2 : 61).

Leurs pratiques injustes, leurs mensonges, leurs mauvaises actions et la corruption qu’ils ont propagée sur terre ont fait qu’Allah leur a inculqué la haine et l’inimitié, de sorte qu’ils ne posséderont une entité durable jusqu’au jour de la Résurrection : «Si les gens du Livre avaient la foi et la piété, Nous leur aurions certainement effacé leurs méfaits et les aurions certainement introduits dans les Jardins du délice. » (Coran, 5 : 64).

Les Juifs sont psychologiquement faibles ; ils sont désunis en raison de la diversité de leurs obéissance : « Tous ne vous combattront que retranchés dans des cités fortifiées ou de derrière des murailles. Leurs dissensions internes sont extrêmes. Tu les croirait unis, alors que leurs cœurs sont divisés. C' est qu' ils sont des gens qui ne raisonnent pas.» (Coran, 59 : 14).

Les Juifs sont ceux qui vouent la plus grande inimitié aux croyants. En raison de leur tyrannie et de leur corruption, ils détestent la mort et cherchent à échapper à ce qui arrive après la mort. A ce propos, le Très Haut a dit : «Dis: "Ô vous qui pratiquez le judaïsme! Si vous prétendez être les bien-aimés d' Allah à l' exclusion des autres, souhaitez, donc la mort, si vous êtes véridiques".Or, ils ne la souhaiteront jamais, à cause de ce que leurs mains ont préparé. Allah cependant connaît bien les injustes. » (Coran, 62 : 6-7).

Les Juifs ont persisté dans leur corruption, leur tyrannie et leur altération (des textes). C’est pourquoi Allah envoya aux fils d’Israël beaucoup de prophètes et de messagers pour les ramener au chemin droit. Certains les ont cru et d’autres les ont mécru.  Par la suite Allah leur envoya Jésus fils de Marie (psl).

Source :

https://islamqa.info/fr/10242

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L'histoire d'Al Qods/Jérusalem

Publié le par Ahmed Miloud

 Les musulmans considèrent l'esplanade où se trouvent les mosquées al-Aqsa et du Dôme du Rocher comme étant un de leurs lieux sacrés, notamment parce qu'ils perçoivent non seulement Muhammad, salla Allah aleyh wa sallama,mais aussi Abraham, Isaac, Jacob, Moïse, David, Salomon, et tous les autres prophètes bibliques comme des croyants en la même foi que celle qu'ils ont en Dieu. Le lieu de culte que certains de ces personnages ont bâti est donc sacré pour les musulmans parce que Muhammad est le successeur des prophètes bibliques. Mais les juifs, pour leur part, considèrent ces personnages bibliques comme étant juifs, ce qui fait qu'ils considèrent l'esplanade comme étant leur lieu sacré à eux. Ce que vous musulmans nommez "al-Aqsa", les juifs le nomment "Temple". Voilà le nœud du problème : deux communautés religieuses différentes, les musulmans et les juifs, considèrent le même lieu comme étant le leur.
. Le débat prend sa source dans la question de savoir si la fonction du prophétat, avec mission de guider les hommes vers Dieu, ne peut prendre place, après Abraham, que dans sa descendance issue de son petit-fils Jacob, ou bien si ce prophétat peut venir ailleurs aussi (cliquez ici, ici et ici pour en savoir plus).

Ici je me contenterai de dire deux choses...

1) Quand, en 636 de l'ère chrétienne, Omar, Compagnon du Prophète et second calife, vient signer le traité concernant Jérusalem avec le patriarche Sophronius, il fait une prière sur l'esplanade. Les musulmans construiront un peu plus tard les deux édifices cultuels bien connus sur cette esplanade. [Les historiens musulmans relatent que le Patriarche Sophronius lui propose de faire une prière dans l'Eglise du Saint-Sépulcre, mais il refuse en disant : "Si je prie ici, des musulmans pourraient venir ensuite prier ici, puis revendiquer ce lieu et en chasser les chrétiens".] Or, quand Omar prie sur l'esplanade, ce que vous ne savez apparemment pas c'est qu'à ce moment-là, il ne s'y trouve plus aucun édifice religieux. En effet, c'est en l'an 70 de l'ère chrétienne que les Romains, conduits par Titus, ont incendié et détruit le lieu de culte monothéiste que nous musulmans appelons effectivement "al-masjid al-aqsâ". En 134, les Romains, sous la conduite cette fois de Hadrien, mâtent une révolte juive conduite par Bar Kosheba. En 135, les vestiges de ce lieu de culte sont rasés. Sur l'esplanade est dressée la statue de Hadrien. Jérusalem est interdite d'accès aux juifs. Le nom même de Jérusalem est changé en Aelia Capitolana, d'après le nom de Aelius Hadrien. [Au VIIème siècle encore, à l'époque du Prophète, les Arabes appelleront toujours Jérusalem "Aelia", comme en témoignent les récits présents dans les recueils de Sunna : Sahîh de al-Bukhârî, de Muslim, etc.]
C'est sous Constantin, empereur romain du IVème siècle converti au christianisme, que l'esplanade sera débarrassée des idoles qui y avaient été installées. En ce IVème siècle, une présence juive semble être attestée à Jérusalem. Plus tard, Julien l'Apostat propose aux juifs de reconstruire l'édifice religieux sur l'esplanade, mais devant l'apparition de boules de feu – apparemment des poches de gaz prisonnières des ruines et s'enflammant au contact de l'air – les travailleurs juifs abandonnent les travaux.
Au VIIème siècle, quand Chosroes, l'empereur perse, a conquis Jérusalem sur les Byzantins, il en chasse les juifs, devenus des alliés trop encombrants. Puis Héraclius reconquiert Jérusalem sur les Perses. Toujours en ce VIIème siècle, c'est en 636 que Omar entre à Jérusalem, comme nous l'avons dit. Et quand Omar vient prier sur l'esplanade, il ne s'y trouve depuis longtemps plus aucun édifice religieux, ni monothéiste ni païen. Jean Lartéguy écrit à propos de l'entrée de Omar sur l'esplanade : "Quand la petite troupe arrive par la porte sud-ouest, l'entrée est obstruée par les décombres : il lui faut se frayer un passage parmi les ordures qui y ont été déversées". (A part les deux passages relatés entre crochets, les autres éléments de ce paragraphe sont extraits de Mourir pour Jérusalem, par Jean Lartéguy.)

2) Il arrive aussi que certaines gens perçoivent les Palestiniens comme des conquérants ayant – lors de la conquête arabe ou même bien avant, des siècles avant le début de l'ère chrétienne –, pris par la force la région de la Palestine à ses habitants originels, les Hébreux. A ce sujet, voici ci-après un dialogue qui a eu lieu dans les années 20 du XXème siècle – donc pendant que la colonisation de la Palestine se poursuit, et bien avant la proclamation de l'Etat d'Israël – entre deux descendants des Fils d'Israël, Leopold Weiss et Chaïm Weizmann. Leopold Weiss relate :
"Je me souviens toujours d'une brève discussion que j'eus à ce sujet avec le Dr Chaïm Weizmann, leader incontesté du mouvement sioniste. Il était venu faire l'une de ses visites périodiques en Palestine (sa résidence permanente était, je crois, à Londres) et je le rencontrai dans la maison d'un ami juif. On ne pouvait manquer d'être impressionné par l'énergie sans bornes de cet homme, énergie qui se manifestait même dans les mouvements de son corps et dans ses longues et souples enjambées lorsqu'il arpentait la pièce de long en large, ainsi que par son pouvoir intellectuel que révélaient son large front et l'éclat pénétrant de ses yeux. Il parlait des difficultés financières auxquelles se heurtait la réalisation du rêve d'un foyer national juif et de l'aide insuffisante qu'il trouvait à l'étranger pour la réalisation de ce rêve. Et j'avais la désagréable impression que lui-même, comme la plupart des autres sionistes, avait tendance à transférer la responsabilité morale de tout ce qui se passait en Palestine sur le "monde extérieur". Cela me poussa à rompre le silence déférent dans lequel tous les autres assistants l'écoutaient et je lui demandai : "Et les Arabes ? Comment pouvez-vous espérer faire de la Palestine votre patrie face à l'opposition véhémente des Arabes qui, après tout, sont en majorité dans ce pays ?" Le leader sioniste haussa les épaules et répondit sèchement : "Nous escomptons qu'ils ne seront plus en majorité au bout de quelques années.
– Peut-être en sera-t-il ainsi. Vous vous occupez de ce problème depuis des années et devez connaître la situation mieux que moi. Mais outre les difficultés politiques que l'opposition des Arabes peut, ou ne peut pas, semer sur votre chemin, l'aspect moral de la question ne vous préoccupe-t-il pas ? N'estimez-vous pas injuste de supplanter des gens qui ont toujours vécu dans ce pays ?
– Mais c'est notre pays, répondit le Dr Weizmann en soulevant les sourcils. Nous ne faisons rien d'autre que de récupérer ce qui nous avait été injustement enlevé.
– Mas nos ancêtres n'ont pas dominé la Palestine pendant près de deux mille ans ! Auparavant, ils avaient dominé ce pays, et même seulement en partie, pendant cinq cents ans. Ne pensez-vous pas que les Arabes auraient autant de droit de revendiquer l'Espagne ? Car, après tout, ils y ont exercé le pouvoir pendant près de sept cents ans et ne l'ont tout à fait quitté que depuis cinq cents ans."
Le Dr Weizmann devenait impatient : "Non-sens. Les Arabes avaient seulement conquis l'Espagne qui ne fut jamais leur véritable patrie. Aussi ce ne fut que justice s'ils en furent finalement chassés par les Espagnols.
– Excusez-moi, répondis-je. Mais il me semble qu'il y a là une omission historique. Après tout les Hébreux étaient aussi des conquérants lorsqu'ils sont venus en Palestine. D'autres tribus sémitiques et non-sémitiques y étaient établies longtemps avant eux : Amorrites, Edomites, Philistins, Moabites, Hittites. Ces tribus ont continué à vivre là encore à l'époque des royaumes d'Israël et de Juda [qui succédèrent à l'unification réalisée par Saül, David et Salomon, et existèrent avant l'ère chrétienne du XIème siècle jusqu'au VIIIème siècle pour Israël et jusqu'au VIème siècle pour Juda]. Elles y vécurent toujours après que les Romains eurent chassé nos ancêtres [en 135 de l'ère chrétienne]. Et elles y vivent encore aujourd'hui. Les Arabes qui vinrent d'Arabie et s'installèrent en Syrie et en Palestine après les avoir conquises au VIIème siècle [de l'ère chrétienne] ne furent jamais qu'une petite minorité de la population. Les autres, que nous appelons aujourd'hui les "Arabes" palestiniens ou syriens, ne sont en réalité que les habitants originels du pays, qui furent arabisés. Certains d'entre eux devinrent musulmans au cours des siècles et d'autres restèrent chrétiens. Il y eut naturellement des mariages entre ces musulmans et leurs coreligionnaires d'Arabie. Mais pouvez-vous nier que la masse des habitants, musulmans ou chrétiens, de la Palestine, qui parlent arabe, sont les descendants en ligne directe des habitants originels, originels en ce sens qu'ils vivaient dans ce pays avant l'arrivée des Hébreux ?"
Le Dr Weizmann accueillit mes propos avec un sourire poli et parla d'autre chose" (D'après Le Chemin de La Mecque, Fayard, 1976, pp. 91-92, par Leopold Weiss (1900-1992), autrichien d'origine juive s'étant converti ensuite à l'islam et ayant pris le nom de Muhammad Asad).

Sans remonter aux origines des composants du peuple qu'on appelle "Palestinien", l'historien anglais Arnold Toynbee a émis le même avis que Leopold Weiss. Voici ce que Jean Lartéguy relate : "Pour l'historien anglais Arnold Toynbee, Jérusalem, capitale de la Palestine, ne pouvait être que palestinienne, c'est-à-dire musulmane et arabe. Il écrit : "Le temps qui s'est écoulé entre la guerre romaine [en l'an 135] et la création de l'actuel Etat d'Israël est si large que nous devons pencher sans hésiter en faveur des autochtones, les Palestiniens, vivant dans ce pays depuis mille trois cents ans" (Mourir pour Jérusalem, p. 16). Mille trois cents ans, c'est la période de l'histoire qui va de la fin de la présence romaine en Palestine (qui correspond au début de la présence arabe) au moment où il écrit ses propos. C'est sur cette donnée que Toynbee fonde son propos. Et quand on comprend qu'on ait refusé – à juste titre – l'invasion du Koweït par l'Irak, voulue par le dictateur de Bagdad sous prétexte qu'il s'agissait 40 ans auparavant d'une province de son pays, on ne peut que comprendre le propos de Toynbee.

L'écrivain britannique Arthur Koestler écrit pour sa part : "La déclaration Balfour constitue un des documents politiques les plus improbables de tous les temps. C'est un document par lequel une première nation promettait solennellement à une seconde nation le pays d'une troisième nation. Aucun plaidoyer ne saurait en rien diminuer l'originalité du procédé. Il est vrai que les Arabes vivaient en Palestine sous la domination turque, mais ils y vivaient depuis des siècles et il ne fait pas de doute que ce pays était le leur, au sens généralement admis du mot. Il est vrai que les Arabes disposaient d'immenses territoires mal peuplés et que les juifs n'en avaient aucun ; que les Arabes étaient un peuple arriéré [sur le plan matériel] et les juifs un peuple avancé [sur le même plan], et que ceux-ci prétendaient avoir reçu le pays en partage trois mille ans plus tôt, de la main même de Dieu, qui ne le leur avait retiré que temporairement. Mais jamais auparavant dans l'histoire, des arguments de cette nature n'avaient amené une grande puissance à une initiative aussi extravagante" (Analyse d'un miracle, Arthur Koestler, cité dans Mourir pour Jérusalem, André Larteguy, p. 366).

Malgré toutes ces vérités, malgré la colonisation de leur pays, les Palestiniens étaient prêts en 1947 à accorder la concitoyenneté à ceux dont la présence massive leur avait été imposée. Elias Sanbar, rédacteur en chef de la Revue d'études palestiniennes, écrivait en 1997 : "Les Palestiniens, dit-on aujourd'hui a posteriori, n'ont obtenu, après trois ans de négociations, que 2% de ce qui fut leur patrie, alors qu'en 1947 on leur en avait proposé 45% et qu'ils ont refusé. Regardez, leur dit-on, où vous a conduit votre intransigeance. Il faut dire trois choses à ce sujet : au moment de refuser les 45% de la Palestine qu'on leur propose, les Palestiniens ont une patrie entière. Ils sont 1 400 000 personnes face à une communauté juive de 600 000 personnes, composée à 95% d'immigrants venus d'Europe. Ils sont dans leur pays et ils ne comprennent pas pourquoi ils devraient en abandonner plus de la moitié. Second point : lors des débats à l'ONU, les Palestiniens ne se cantonnent pas dans leur refus du plan de partage. Ils réclament l'indépendance et proposent la citoyenneté pour l'ensemble des habitants de la Palestine, y compris les 600 000 juifs" (Le Monde, Le partage de la Palestine, 30 novembre-1er décembre 1997, p. 14).

Source :

http://www.maison-islam.com/articles/?p=260

Al Qods,Palestine
Al Qods,Palestine
Histoire de Jérusalemhabitant du quartier juif de la vieille ville

 (-3150 ; -1200) L'époque cananéenne

De cette époque, on a peu de traces, si ce n'est que le nom de Jérusalem apparaît sur des anciennes statues d'argile égyptiennes. Les jébuséens, premiers habitants de Jérusalem lui donnèrent leur nom.

 (-1000 ; -586) La monarchie, le premier Temple

La ville acquiert son statut national et religieux après sa conquête par le roi David. C'est son fils Salomon qui fait construire un temple pour y installer l'arche d'alliance et qui lui donne sa prospérité. A la mort de Salomon, le royaume d'Israël est divisé entre ses héritiers. Jérusalem n'est plus que la capitale du royaume de Judée. En -586, le roi de Babylone Nabuchodonosor occupe la ville et exile la plupart des habitants.

 (-536 ; -333) Le retour et le deuxième Temple

Le roi Cyrus de Perse autorise les exilés à revenir. C'est le scribe Esdras qui obtiendra la reconstruction des murs de la ville et obtiendra un retour aux préceptes religieux du judaïsme.

 (-333 ; -37) L'époque hellenistique et Asmonéenne

Alexandre le Grand envahit tout l'empire perse en 333. Son descendant, Antiochus IV Épiphane entreprend d'helléniser la ville. Mais lorsqu'il veut instaurer le culte de jupiter, il provoque la révolte des asmonéens sous la conduite de Judas Maccabée qui permet la libération de Jérusalem et la purification du Temple. S'ensuivit une période d'indépendance de 80 ans.

 (-37 ; +70) L'époque hérodienne et la destruction du Temple

Jardin des oliviers avec des arbres de 2000 ans!Jérusalem est prise par les romains en -63 mais c'est Hérode qui est roi de Judée sous contrôle romain. Une deuxième muraille est élevée, plus au nord. C'est évidemment l'époque de la naissance du christianisme autour de Jésus de Nazareth, crucifié sur le rocher du crâne près de Jérusalem, enterré à proximité dans le jardin d'un de ses disciples Joseph d'Arimatie, et selon les chrétiens, ressuscité. Ces événements feront de Jérusalem une ville sainte pour les chrétiens. En attendant, ceux ci quittent en majorité (voir détails) la ville. La révolte des zélotes en l'an 66 conduit au siège de Jérusalem. L'empereur ordonne de raser la ville. Les soldats massacrent les habitants et jettent des torches sur le temple dont les boiseries s'enflamment, la chaleur fait exploser les pierres du Temple qui est détruit. Le judaïsme n'a plus de Temple (lieu unique de la présence de Dieu). La ville est désertée pour 60 ans.

(135 ; 324) L'époque romaine : Aelia Capitolina

L'empereur Hadrien entreprend de fonder une nouvelle ville, païenne, sur les ruines. Il la renomme Aelia Capitolina. Les juifs y sont proscrits et le christianisme n'y est pas toléré.

(324 ; 638) L'époque byzantine

la via dolorosaLe christianisme devenu religion officielle de l'Empire sous Constantin, des églises vont être érigées partout dans Jérusalem qui attire des foules de pèlerins. Sous l'impulsion d'Hélène, mère de l'empereur, l'Église du St Sépulcre sera construite sur les lieux présumés du Calvaire. Une autre église est construite sur le mont Sion pour commémorer la dormition de la Vierge et le site de la Cène. Au Vème siècle l'impératrice Eudoxie vient s'installer à Jérusalem et la ville s'agrandit considérablement. Elle fait construire la basilique St Etienne. Jérusalem devient un patriarcat au même titre que Rome, Constantinople, Antioche, et Alexandrie. Les perses sassanides s'emparèrent de la ville en 614, qui fut reprise en 629 pour finalement tomber aux mains des Arabes en 638.

(638 ; 1099) La première époque Islamique

Le patriarche Sophronius remit les clés de la ville à Omar, le chef des armées arabes et reçut en échange l'assurance que les droits des chrétiens seraient respectés. A la fin du VIIème siècle, Jérusalem devient le troisième lieu saint de l'Islam après la Mecque et Médine. Le mont du Temple et le Rocher furent identifiés comme le lieu d'où le prophète prit son envol pour le paradis. D'où la construction du dôme du rocher dont la splendeur illumine encore Jérusalem. Puis le régime éclairé des Arabes Omeyyades fit place à la dynastie des Turcs Abassides. Ce fut une ère de déclin pour Jérusalem.

(1099 ; 1250) L'époque des croisés et la dynastie Ayyubide

Les croisés conquièrent Jérusalem en 1099 sous prétexte que les chrétiens ne pouvaient plus s'y rendre en pèlerinage. Les habitants juifs et musulmans sont massacrés. Le royaume latin de Jérusalem est instauré. De nombreuses églises sont construites. Saladin reconquiert la ville en 1187. Saladin restaure les fortifications de la ville et les prolonge jusqu'au mont Sion. Les juifs sont autorisés à revenir.

(1250 ; 1517) L'époque Mameluke

Originaires des steppes d'Asie et fraîchement islamisés, les Mameluks conquièrent la ville et y entreprennent de grandes constructions : écoles, institutions de charité, auberges.

(1517 ; 1917) L'époque Ottomane

Porte de Damas un jour de marchéIls sont bientôt renversés par les Turcs Ottomans. Soliman le magnifique porte un grand intérêt à la ville et la restaure puis elle décline. C'est avec l'expulsion des juifs d'Espagne au XV-XVIèmes siècles que la Jérusalem juive renaît. C'est sous le gouverneur d'Égypte Ibrahim Pacha que la ville s'ouvre à nouveau à l'occident. De nombreuses associations religieuses s'y installent. Le chemin de fer arrive à la fin du XIXème. Des chercheurs viennent cartographier Jérusalem et étudier son passé.

(1917 ; 2000) L'époque moderne et la renaissance d'Israël

A la fin de la 1ère guerre mondiale, Jérusalem est prise par les Anglais. Un vaste plan d'urbanisation est lancé, en pierre de Jérusalem (béton et tôle sont proscrits). Les tensions entre juifs, arabes et britanniques se traduisent par des émeutes sanglantes en 1920, 1929, 1936-39. Avant l'échéance du mandat britannique de 1948, des affrontements guerriers entre Juifs et Arabes aboutissent à la prise d'une partie de la ville par ces derniers après un long siège. La ville est coupée en deux. L'état d'Israël, dès sa formation, fait de Jérusalem sa capitale malgré les champs de mine qui séparent la ville. Lors de la guerre des Six Jours en 1967, les Juifs reprennent la ville. Toutes les religions s'y côtoient à nouveau, malgré les tensions.

Source :

http://docfox.free.fr/old_renardweb/jerus/jeru_his.htm

Al Qods est arabe et le sera à jamais

Al Qods dans le Coran et la Sunna

Jérusalem est la ville qui abrite la mosquée Al-Aqsa qu’Allah, exalté soit-Il, a  mentionné dans le Noble Coran, lorsqu’Il dit : « Gloire et Pureté à Celui qui, de nuit, fit voyager Son Serviteur, de la Mosquée Sacrée à la Mosquée Al-Aqsa dont Nous avons béni l’alentour » (Coran : S17/V1).            La mention de la mosquée Al-Aqsa revient souvent dans les hadiths du Prophète -bénédiction et salut soient sur lui- tels que:

 

Lors de son voyage nocturne (al-isrâ wal-mi’râj), le Prophète  -bénédiction et salut soient sur lui- a été conduit d’abord de la Mosquée sacrée de La Mecque jusqu’à la Mosquée Al-Aqsa de Jérusalem (voir verset du Coran plus haut, ainsi que les Hadiths bien connus rapportés par Al-Boukhari et Mouslim).

Après leur émigration à Médine, le Prophète -bénédiction et salut soient sur lui-  et ses Compagnons ont accompli, pendant 16 ou 17 mois, leurs cinq prières quotidiennes le visage tourné dans la direction de la mosquée Al-Aqsa (rapporté par Al-Boukhari et Mouslim).

Le Prophète -bénédiction et salut soient sur lui- a dit : « On ne doit voyager que vers trois mosquées : la Mosquée Sacrée, ma Mosquée que voici, et la Mosquée Al-Aqsa. » (Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim). Ce Hadith souligne qu’à part ces trois mosquées, il n’est pas utile de voyager spécialement pour se rendre dans une mosquée (c’est l’interprétation de certains savants) ou qu’il ne faut entreprendre un voyage à but purement cultuel que vers ces trois mosquées (c’est l’interprétation d’autres savants).

Le Prophète -bénédiction et salut soient sur lui- a dit : « La prière (salât) accomplie dans la Mosquée sacrée [de La Mecque] est égale [sur le plan des récompenses] à cent mille prières faites ailleurs. La prière accomplie dans ma Mosquée [à Médine] est égale [sur le plan des récompenses] à mille prières faites ailleurs. Et la prière accomplie dans la Mosquée Al-Aqsa [de Jérusalem] est égale [sur le plan des récompenses] à cinq cents prières faites ailleurs » (rapporté par Al-Bazzâr, cité par Ibn Hajar qui dit de ce Hadîth qu’il est hassan).

Source :

https://www.google.dz/amp/s/journaldumusulman.fr/la-mosquee-al-aqsa-dans-le-coran-et-la-sunna/amp/#ampshare=https://journaldumusulman.fr/la-mosquee-al-aqsa-dans-le-coran-et-la-sunna/

La ville d'Al-Qods a eu plusieurs noms de baptême à travers sa longue histoire. On peut citer entre autres appellations : Ur-Shalem, Jébus, Al-Madina, Aélia Capitolina, Beit Al -Maqdis, Al-Qods Al- Charîf, Dâr Es-Salam, Al-Qods.

Le nom de la ville fit son apparition pour la première fois dans des textes égyptiens (textes d'exécration) qui datent du 18e siècle et du 19 e siècle avant Jésus-Christ sous une forme pouvant être déchiffrée comme « Rushlimum ». Dans les écrits, en caractères cunéiformes, découverts à Tell Al-Amarna et datants du 14e siècle, le nom d'  »Urusalem » revient assez souvent sous la plume des scribes égyptiens. Au 7 e siècle avant Jésus-Christ, c'est l'appellation « Ursalimu » qui était couramment utilisée dans les écrits de San chérib. Bien avant cette époque, les Hébreux désignaient la ville par le vocable « Yerusalem », alors que opta les Grecs et les Romains l'appelaient « Hierosolima ». L'Occident, quant à lui, opta pour le nom de « Jérusalem ». En l'an 70 de l'ère chrétienne les Romains l'appelèrent « Solimus » et en l'an 175 ils désignèrent sous le nom de « Solima ». Tarn (1974) rapporte qu'à une certaine période de la civilisation hellénique, Al-Qods portait le nom d' « Antaquia » (Antioche).

Selon Ishaq Mûsa Al-Hosseinî, la ville d'Al-Qods était connue dans les ouvrages des historiens et des géographes arabes sous diverses dénominations telles que : Yerusalel, Hieroshalem, Shalem, Salem, Jébus, Sion Moriah, Aélia, Beit Al-Maqdis, Al-Qods, Al-Charîf.

L'Ancien Testament parle de Shalem qui est peut-être une abréviation de « Hieroshlem ». Ce nom est mantionné dans le Livre de Joshué, de même que dans la Genèse à propos de l'arrivée d'Abraham en terre cananéenne lorsqu'il fut reçu par « le Roi de Shalem » le Jébuséen. Le Libre des Juges cite le nom d' « Urshalem », alors que dans le Livre de Samuel II, la ville est appelée « Cité de Daoud » (Ville de David)...

Avec l'avènement de l'Islam, Al-Qods a eu diverses appellations dont Beit Al-Maqdis, Beit Al-Qods, Al-Qods Al-Charif, Al Madina Al-Moqaddasa (la Ville Sainte) et Ilyâ' (Aélia). A ces divers noms Le Strange (1963) ajoute celui d' « Al Balât ».

La ville est également désignée par « La Mosquée Al-Aqsâ » et « Les Oliviers ». Ces appellations figurent dans les versets coraniques suivants:

« Gloire à celui qui fit voyager Son serveur la nuit de la Sainte Mosquée à la Mosquée très éloignée (Al-Aqsâ) dont Nous avons béni les abors afin de lui montrer certains de Nos Signes ».

(Le Voyage Nocturne, 1).
« Par le Mont des Figuiers et des Oliviers.
Par le Mont SINAI
Par ce territoire sûr ».
(Le Mont des Figuiers, 1-2-3).

Ibn 'Asàkir citant Ibn Al 'Abbâs explique: «   Le Mont des Figuiers désigne la Syrie, le Mont des Oliviers c'est Al-Qods, le Mont Sinai c'est la montagne d'où Allah s'est adressé directement à Mûsâ (Moise) et le territoire sûr n'est autre que Makkah (La Mecque) ».

Le nom de « Yerusalem » semble être composé des deux termes d'origine asiatique « Yrw » et »Slm » qui signifient probablement « Cité de Dieu ». Shalem est connu dans les textes mythologiques antiques comme étant - avec Shahar- un Dieu beau et généreux dont le nom suggère la sérénité du crépuscule. Certains historiens expliquent dont le nom de « Yerusalem » par « Cité de la Paix » ou « Terre de la Paix », alors que d'autres lui confèrent un sens métaphorique et devient pour eux « la Ville de la Justice » ou « la Ville de la Vérité...

Source :

http://graal.over-blog.com/article-6850736.html

Si historiquement Jérusalem était bien la ville du roi David, la décision idiote de Trump d’y faire transférer l’ambassade des Etats-Unis ne m’aurait pas irrité outre mesure et je n’aurais pas écrit l’article que vous êtes en train de lire. Mais la vérité est que la Jérusalem moderne n’a jamais été la capitale du royaume de David.

Bien des gens ont pensé que l’idée de construire un mur à la frontière américano-mexicaine fut la promesse électorale la plus stupide de Trump. Mais en fait ça ne l’était pas, transférer l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem le fut. La décision de Trump a ravivé l’idéologie sioniste de l’occupation illégale et d’apartheid et quelques sionistes fanatiques ont perçu l’affaire comme étant “plus grosse que Balfour” et tant pis pour ces analystes qui ont soutenu Trump en le voyant comme le candidat qui allait devenir le président anti-establishment. Ils ne semblaient pas vouloir comprendre que le seul establishment auquel Trump est attaché, c’est le sien.

Bouger l’ambassade vient-il vraiment comme une surprise ? En fait non, car contrairement à ses prédécesseurs, Trump veut être le premier président des Etats-Unis à remplir ses promesses électorales (aussi stupides furent-elles…). Peut-être veut-il que cela soit mémorisé comme son héritage présidentiel.

Mais ceci ne peut pas être le seul but de cette action si mal avisée, car relocaliser l’ambassade des Etats-Unis de Tel Aviv à Jerusalem va sûrement accordé à Trump le soutien (si nécessaire) du lobby juif et de ses organisations pleines de fric ainsi que le droit religieux sionistes et des évangélistes chrétiens (NdT: les plus sionistes de tous les chrétiens…)

Sans mentionner que cette pitrerie d’ambassade servira de diversion car un paquet de scandales sont en train de menacer la présidence de Trump et de transformer la Maison Blanche en un cirque.

Il semble que rien ne peut sauver Trump sauf de rendre Israël “encore plus grand”…

L’action de Trump, bien que stupide, va sans doute soulever de séreuses répercussions politiques et possiblement de la violence (et toujours plus d’extrémisme et de terrorisme) au Moyen-Orient et au-delà. Dans le même temps, peut-être pas, considérant que l’UE et le monde arabo-islamique s’opposent à cette décision scandaleuse.

Mais ce que ne réalise pas vraiment Trump, c’est que sa décision est extraordinairement ignorante du point de vue historique et c’est pourquoi je pense qu’elle est en même temps dangereuse. Ignorante parce que ni lui ni sont entourage de conseillers n’ont été éduqués, informés par des érudits et/ou universitaires impartiaux sur l’histoire ancienne du Proche Orient pour comprendre que Jérusalem n’est pas la ville historique de l’ancien Israël biblique. Décision dangereuse parce que cette décision inconsidérée va aider à consolider ce concept totalement falsifié au sujet de Jérusalem dans l’inconscient collectif des masses non informées dans le monde.

Le narratif/prétexte classique et déformé pour la justification de l’occupation de la ville palestinienne de Jérusalem (ainsi que du reste de la Palestine…) est qu’elle fut la capitale de ce magnifique royaume du roi David et de son fils Salomon.

Ce prétexte apparemment indiscutable parmi les pères du mouvement sioniste est que la Palestine est leur terre historique, terre sur laquelle eut lieu les histoires des patriarches. Ils voient aussi Jérusalem de manière non équivoque comme la ville établie par le roi David au 10ème siècle avant notre ère.

La construction de ce faux prétexte par le mouvement sioniste (aidé en cela par la Grande-Bretagne et les Etats-Unis dans la première moitié du XXème siècle) ont encouragé les Européens convertis au judaïsme de voir la terre arabe de Palestine comme leur ancienne terre perdue qui fut promise à Abraham et ses descendants israélites. Le plus marrant qui a échappé à des milliers de juifs européens qui se sont ensuite installés en Palestine est qu’ils ne sont en rien les descendants d’Abraham ou de sa tribu israélite, mais qu’ils sont les descendants du royaume khazar.

Si les musulmans de Chine et des Philippines ne peuvent affirmer aucun droit historique sur la ville de La Mecque comme étant leur ancienne capitale, il en va ainsi de même pour les juifs européens et la ville de Jérusalem. La même logique s’applique.

La ville sainte de Jérusalem apparaît d’abord dans les descriptions de la bible pendant l’époque d’Abraham (vers 1850 avant notre ère). Ce fut dans cette ville qu’Abraham fut reçu par un mystérieux prêtre/prophète de dieu nominé comme le plus haut gradé Melchizedek (roi honnête dans l’ancienne langue arabe/hébraïque) et qui fut aussi le roi d’Ur-Salem. Salem en arabe veut dire paix et Ur-Salem / Jérusalem signifie la cité de la paix. Voyez-vous, tout le vocabulaire des histoires du patriarche israélite est véritablement arabe.

Un autre détail édifiant que nous donne la bible est qu’avant que David ne conquît la ville biblique de Jérusalem, celle-ci était habitée par une tribu appelée les Jebusites (2 Samuel 5:6-7) et que Jérusalem était sécurisée, placée au sommet d’une montagne, comme une forteresse.

Mais ce qui laisse perplexe, est que durant à la fois le temps d’Abraham (19ème siècle AEC) jusqu’au temps de la conquête de la ville par David (10ème siècle AEC), Jérusalem n’a pas existé comme une entité territoriale sur la carte de l’ancien Proche Orient et spécifiquement du Levant. Simplement la ville n’y existait pas encore.

Il n’y a pas eu de Jérusalem pouvant accommoder l’histoire d’Abraham datant du 19ème siècle AEC ni de David et de son fils Salomon aux 10ème – 9ème siècles avant notre ère.

Sans même mentionner que l’histoire antique de la Palestine n’a jamais été témoin d’un peuple ou d’une tribu répondant au nom des Jebusites et desquels on ne peut trouver de trace historique que dans l’Arabie et le Yémen antiques avec leurs terrains montagneux et leurs villages cadrant parfaitement avec le narratif géographique biblique.

““La montée des états territoriaux au Levant fut le résultat de l’expansion vers l’ouest de l’empire assyrien vers le 9ème siècle avant notre ère. De plus, ni les archives assyriennes, ni les archives égyptiennes ne font une quelconque référence au soi-disant royaume de David et Salomon. En fait, des sources extra-bibliques laissent peu de doute sur le fait que tous les états majeurs de la région comme par exemple Damas, Moab et bien sûr Jérusalem, émergèrent après le 9ème siècle AEC. Il est très difficile de concevoir un royaume unifié israélite qui aurait gouverné depuis Jérusalem plus d’un siècle avant ce processus. Le plus ennuyeux de tout après un siècle de recherches et d’excavations à Jérusalem, la (supposée) capitale de la monarchie unifiée d’Israël si glamour, c’est que celles-ci ont échoué à montrer des preuves de toute construction notoire sur place au 10ème siècle. Il n’y a aucune trace de palais magnifiques ou de grands états, rien ne fut archéologiquement trouvé sur place concernant cette période. Bref, Jérusalem au 10ème siècle AEC, période de David et Salomon n’était rien de plus qu’un village perché et non pas cette capitale exquise et décorée d’un grand empire”, a écrit le professeur Israël Finkelstein, l’archéologue israélien de l’université de Tel Aviv et de l’académie des sciences israélienne dans son livre “The Bible Unearthed” (2001).

Quant à l’endroit de la Jérusalem biblique, d’autres universitaires de l’antiquité nous donnent certaines indications sur là où nous devrions regarder pour la trouver: sur la carte ancienne/antique de l’Arabie et du Yémen. La ville de Jérusalem d’après la Torah est située sur une montagne, c’est pour cela que le site le plus saint du judaïsme est nommé “Le Mont du Temple”. Mais lorsque nous regardons la carte de la Jérusalem actuelle, nous sommes surpris de découvrir qu’elle n’est pas située sur une montagne mais plutôt entre deux collines. N’est-ce pas un peu étrange ?

La mosquée Al-Aqsa et le dôme de la pierre (Le Mont du Temple pour les juifs) sont situés au point le plus bas de la topographie de Jérusalem. La question est: où est la montagne qui est mentionnée dans la bible ? Va t’elle venir avec l’ambassade de Trump ? Aucune intention de sarcasme ici.

Jérusalem pourrait être l’endroit où le temple d’Hérode (37 AEC ~ 70 EC) se situa mais elle n’est définitivement pas la terre du premier temple ou de la ville qui aurait été témoin des histoires des patriarches israélites.

Jérusalem n’est pas la ville historique du roi David ni la capitale de l’Israël biblique. Voilà pourquoi elle ne devrait jamais être reconnue ou acceptée comme la capitale de l’Israël moderne.

L’endroit réel du Mont du Temple et de la totalité de “l’état d’Israël” est basé sur une idéologie, à la fois fausse, mensongère et trompeuse. La décision fondée sur une ignorance crasse de Donald Trump, de transférer l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem ne fait que rendre l’affaire encore plus trompeuse.

Source :

http://http//reseauinternational.net/jerusalem-nest-pas-la-capitale-de-lisrael-biblique/#Iv8QPHyrEvjzKROL.99

 

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Les sionistes génocidaires,usurpateurs de la Palestine

Publié le par Ahmed Miloud

20-11-2012
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Le Courrier des Amis:

« Le Sionisme est une malédiction ! » Rabbin Mordekhaï Gifter

 

 

Le Rabbin Mordekhaï Gifter, Rosh Yeshivah de la Yeshivah de Telshe, dans l'état de l'Ohio, Etats-Unis a déclaré le 16 octobre 2011 :

 

« Nous savons la vérité. La vérité est que le Sionisme est une malédiction, et c'est comme ça. Le Sionisme est meurtrier ! Et c'est ce qu'il est réellement, parce que c'est vrai ! Qui jeta à la mer les Juifs qui désiraient voyager en Erets Yisroel [Israëx, ndlr]en 1941 pour échapper aux Nazis ? Qui a fait couler le bateau « Patria » qui contenait près de 1000 Juifs à son bord ? QUI ? Les Nazis ? NON, les Sionistes l'ont fait ! Oui, les Sionistes ! Comment appelez-vous cela ? N'est-ce pas un meurtre ? Ce sont des meurtriers !!!

 

Donc pour défendre les intérêts du Sionisme (laisser les Juifs mourir en Europe pour avoir un état), il est permis de tuer d'autres Juifs ? Ces Sionistes n'ont-ils pas dit publiquement que les Juifs d'Europe sont les « Korbanot » (sacrifices) que nous devons apporter sur l'autel afin d'avoir un état « Juif » en Erets Yisroel, 'Hass V'Shalom ? L'ont-ils dit, oui ou non ? N'ont-ils pas imprimé cela, noir sur blanc, afin que tous puissent le lire ? Cet homme appelé « Yits'hok Greenbaum » (du Congrès Sioniste International) n'a-t-il pas déclaré à Varsovie que tous les Juifs religieux devaient être jetés dans l'océan ? Et tout cela à cause du Sionisme ! Et il n'eut même pas honte de ses paroles !

 

Je vous pose la question suivante : Est-ce que c'est cela la justice ? Est-ce que c'est cela être bon ? Est-ce que c'est cela être généreux ? C'est du MEURTRE ! Sans aucune excuse, c'est du meurtre ! Dieu vient et nous punit, et Il nous a dit que si nous amenions de tel « Esav » au milieu de nous, c'est à dire des gens opposés à la Torah, à la religion, à tout ce qui est Juif, alors nous tendons la perche aux nations qui, à cause de ces Juifs hérétiques au milieu de nous, commenceront à nous appeler « Racistes », « Assassins », « Terroristes » ! Nous sommes appelés « assassins » par les nations, car ils [les Sionistes] tuent des femmes et des enfants. Les non-Juifs disent cela et cela a un impact sur nous, et à cause de cela, nous pleurons amèrement. C'est TERRIBLE ! Comment les non-Juifs peuvent-ils parler ainsi du peuple Juif ? (Tout cela est de la faute de ces hérétiques. »

 

Source :

 

http://sionazime.over-blog.com/article-le-sionisme-est-une-malediction-rabbin-m-113622463.html

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Jacob Rothschild pointe le rôle de sa famille dans la déclaration Balfour

Banque et sionisme, même combat

Le Times of Israel rapporte que lord Jacob Rothschild a récemment révélé de nouveaux détails sur le rôle décisif qu’ont joué des membres de sa famille pour obtenir la déclaration Balfour, qui a « ouvert la voie à la création d’Israël ».

L’octogénaire Rothschild est le chef actuel de la famille de banquiers et un supporter déterminé d’Israël.

La déclaration Balfour (voir le texte ci-dessous) est une lettre écrite en 1917 par le ministre des Affaires étrangères britannique, lord Balfour, adressée à lord Rothschild, un des dirigeants sionistes de Grande Bretagne à l’époque et l’oncle du lord Rothschild actuel.

Le Times of Israel rapporte qu’au cours d’une interview télévisée, Rothschild a révélé pour la première fois le rôle joué par sa cousine Dorothy de Rothschild. Il a décrit Dorothy, qui était alors adolescente [« in her teens »] comme « fervente partisane d’Israël » et dit : « Ce qu’elle a fait a été décisivement important. » Rothschild dit que Dorothy a mis en rapport le leader sioniste Chaim Weizmann avec l’establishment britannique. Dorothy « a dit à Weizmann comment s’y intégrer, comment s’insérer dans la vie de l’establishment, ce qu’il a appris très vite ». Rothschild dit encore que la manière dont ils se sont procurés la Déclaration a été extraordinaire. « Ce fut une incroyable opération d’opportunisme. »

« [Weizmann] arrive à voir Balfour », raconte Rothschild, « et incroyablement, il persuade Lord Balfour, et Lloyd George, le Premier ministre, et la plupart des ministres, qu’on devrait permettre à cette idée d’un foyer national pour les juifs de se concrétiser. Je veux dire, c’est si… si incroyable ».

Lord Rothschild était interviewé par l’ancien ambassadeur d’Israël au Royaume Uni, Daniel Taub, à l’occasion du Projet Centenaire Balfour. L’interview s’est déroulée à Waddeston Manor, dans le Buckinghamshire, un manoir dont la famille Rothschild a fait don à la nation en 1957 et où la Déclaration est conservée. Selon l’ambassadeur Taub, la Déclaration a « changé le cours de l’histoire pour le Moyen-Orient ».

Selon l’article du Times, Rothschild a dit que sa famille, à l’époque, était divisée sur la question d’Israël, notant que certains de ses membres « ne pensaient pas que c’était une bonne chose que ce foyer national soit établi là ».

Les lettres de Dorothy sont elles aussi conservées à Waddeston. Elles révèlent ses transactions ultérieures avec divers leaders sionistes et ce qu’elle pensait de l’organisation de la Conférence Sioniste, toujours selon le Times.

Rothschild dit que la Déclaration a été remaniée cinq fois, avant qu’une version définitive soit publiée le 2 nombre 2017.

Alison Weir rapporte, dans son livre Against Our Better Judgment : The Hidden History of How the U.S. Was Used to Create Israel [En dépit du bon sens : Comment à l’insu de tous, les États-Unis ont été utilisés pour créer Israël], que des brouillons de la Déclaration ont fait la navette entre les sionistes d’Angleterre et des États-Unis, avant que le document n’ait trouvé sa forme finale. Son principal rédacteur fut le sioniste clandestin Leopold Amery.

Le livre de Weir relate et prouve que la principale incitation offerte aux dirigeants britanniques pour leur faire accepter de publier la déclaration Balfour fut l’assurance donnée par les sionistes qu’ils feraient entrer les États-Unis dans la Première Guerre mondiale aux côtés de la Grande-Bretagne, si les Britanniques s’engageaient à favoriser la colonisation sioniste de la Palestine.

 

Texte de la déclaration Balfour :

Foreign Office 
2 novembre 1917

 

Cher lord Rothschild,

J’ai le plaisir de vous adresser, au nom du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration ci-dessous de sympathie à l’adresse des aspirations juives et sionistes, déclaration soumise au Parlement et approuvée par lui.

Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les Juifs jouissent dans tout autre pays.

Je vous serais reconnaissant de bien vouloir porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste.

Arthur James Balfour

 

L’interview de Jacob Rothschild (en anglais) :

 

 

Un mot à dire d'abord:

La Torah, dans son Traité Ksubos, folio 111, spécifie que  Dieu a fait jurer aux juifs de ne pas occuper la Terre Sainte (la Palestine)par la force, même s’il semble qu’ils aient la force suffisante pour ce faire, et de ne pas se rebeller contre les Nations. Dieu a averti que si Son jurement était violé, la chair juive serait du « gibier licite pour tout le monde », comme les animaux sauvages dans la forêt ! Tels sont les termes mêmes de la Torah ; et ces concepts ont été cités dans les traités « Igeres Teimon », « Be’er HaGola », « Ahavas Yehonosson » de Maïmonide, ainsi que dans le « Toras Moshe » de Chasam Sofer.Les juifs savent que tous leurs sages et tous leurs saints, en Europe, à l’époque de l’ascension d’Hitler vers le pouvoir, déclaraient qu’il était un message de la colère divine, envoyé afin de châtier les juifs en raison de l’atroce apostasie du sionisme contre la croyance en une rédemption messianique eschatologique.Donc, les juifs qui suivent les sionistes dans leur apostasie en s'appropriant de force la Palestine sont contre la volonté de Dieu et méritent Sa colère et Sa punition.
Le Coran mentionne ces faits ainsi dans la  SOURATE 17,le Voyage nocturne,versets 4 à 8 :
 "4. Nous avions décrété pour les Enfants d'Israël, (et annoncé) dans le Livre : "Par deux fois vous sèmerez la corruption sur terre et vous allez transgresser d'une façon excessive".5. Lorsque vint l'accomplissement de la première de ces deux [prédictions,] Nous envoyâmes contre vous certains de Nos serviteurs doués d'une force terrible, qui pénétrèrent à l'intérieur des demeures. Et la prédiction fut accomplie.6. Ensuite, Nous vous donnâmes la revanche sur eux; et Nous vous renforçâmes en biens et en enfants. Et Nous vous fîmes [un peuple] plus nombreux :7. "Si vous faites le bien, vous le faites à vous-mêmes; et si vous faites le mal, vous le faites à vous [aussi]". Puis, quand vint la dernière [prédiction,] ce fut pour qu'ils affligent vos visages et entrent dans la Mosquée comme ils y étaient entrés la première fois, et pour qu'ils détruisent complètement ce dont ils se sont emparés.8. Il se peut que votre Seigneur vous fasse miséricorde. Mais si vous récidivez, Nous récidiverons. Et Nous avons assigné l'Enfer comme camp de détention aux infidèles."

L'overblogueur

Le nettoyage ethnique de la Palestine  par Lilan Pappe
 

A la fin de 1947, la Palestine compte près de 2 millions d’habitants : un tiers de Juifs, deux tiers d’Arabes. La résolution 181 des Nations unies décide sa partition en deux Etats : l’un doit être presque exclusivement peuplé d’Arabes ; dans l’autre, les Juifs seraient légèrement majoritaires.
Un an plus tard, c’est un Etat à très forte majorité juive, Israël, qui occupe 78 % de la Palestine. Plus de 500 villages ont été rasés, de nombreuses villes ont presque entièrement perdu leur population arabe. Et 800 000 Arabes palestiniens originaires des territoires qui font désormais partie d’Israël peuplent des camps de réfugiés hors de ses frontières.
A en croire l’historiographie israélienne traditionnelle, cette situation serait la résultante imprévisible, involontaire, des aléas d’un conflit armé : la « première guerre israélo-arabe ». Mais Ilan Pappe en donne ici une explication bien différente. A l’aide de documents d’archives, de journaux personnels, de témoignages directs, il reconstitue en détail ce qui s’est vraiment passé à la fin de 1947 et en 1948, ville par ville, village par village. Apparaît alors une entreprise délibérée, systématique, d’expulsion et de destruction : un « nettoyage ethnique » de la Palestine.
En quelques mois, forts de leur supériorité militaire, de leur accord secret avec le roi de Jordanie, de la passivité complice des soldats britanniques et de l’impéritie de l’ONU, les dirigeants du mouvement sioniste ont organisé le « transfert », par la violence et l’intimidation, d’une population arabe plutôt pacifique, sans défense, abandonnée de tous.
A la veille du soixantième anniversaire de la création de l’Etat d’Israël, ce livre passionnant vient rappeler que la résolution du problème des réfugiés doit être la pierre angulaire de toute tentative de paix dans la région.

Ilan Pappe est l’un des « nouveaux historiens » israéliens, connu pour sa critique des politiques d’Israël à l’égard des Palestiniens. Parmi ses ouvrages traduits en français : La Guerre de 1948 en Palestine. Aux origines du conflit israélo-arabe (La Fabrique, 2000), et Une terre pour deux peuples. Histoire de la Palestine moderne (Fayard, 2004).

Traduit de l’anglais par Paul Chemla.

http://m.fayard.fr/le-nettoyage-ethnique-de-la-palestine-9782213633961

 

"Aujourd'hui Israël célèbre non pas la naissance de la nation indépendante, mais une campagne de purification ethnique de 60 années d'un peuple innocent et sans défense, justifié par un mensonge vieux de 2000 ans. Plutôt que de fêter, reconnaissons et prenons le deuil du fait que le monde entier a été rendu esclave de cette doctrine judéo-chrétienne de démons et sujets de la synagogue du dieu vengeur et courroucé de Caïn, le meurtrier, qui cherche à nous dépouiller de notre humanité, et prenons la résolution de ne plus tolérer le spectacle public de cruauté dévergondée qu'est l'entité étasunienne et sioniste soutenue par le Royaume Uni, et sa maltraitance et extermination systématiques du peuple palestinien".Source: http://www.alterinfo.net/Judaisme-et-christianisme-2000-ans-de-mensonges-60-ans-de-terrorisme-d-Etat_a28534.html#bjK6tZQDw8jddFdm.99

 

 

 

Qu'est-ce-que que le sionisme ?

Le sionisme est une idéologie raciste et xénophobe se basant sur le judaïsme pour s'approprier la Palestine et les terres arabes du Nil à l'Euphrate.C'est aussi simple que çà.

Le promoteur de cette idéologie, appelé "père du sionisme" ,est le philosophe attitré des juifs laïcs athées Theodor Herzl. 

L'overblogueur

" Theodor Herzl est considéré comme le père du sionisme politique. C’est lui qui favorise réellement le développement du courant nationaliste juif à la fin du XIXe siècle. 
Né en 1860 dans une riche famille juive de Budapest, Herzl semble pourtant peu destiné à devenir le leader du mouvement sionisme. Il représente, en effet, l’exemple même du « juif assimilé ». Sa famille est libérale et peu attachée aux traditions du judaïsme. A dix huit ans, il quitte Budapest pour suivre des études de droit à Vienne mais délaisse rapidement sa carrière de juriste pour se consacrer à la littérature et au journalisme.

Herzl et la question juive

Theodor Herzl, comme une grande majorité de Juifs, est confronté à l’antisémitisme et au problème de l’intégration du peuple juif dans les sociétés européennes de la fin du XIXe siècle. Entre 1881 et 1883, membre de l’association étudiante « Albia », il découvre un certain nombre d’auteurs antisémites tels qu’Eugen Duehring (1833-1921). Devant l’importance des discours anti-juifs, il décide de quitter l’association et s’interroge alors sur d’éventuelles solutions pour combattre cet antisémitisme. Tout au long de sa jeunesse, il est convaincu, comme de nombreux penseurs juifs d’Europe occidentale, que l’assimilation des Juifs dans leur pays d’accueil reste possible et doit se faire de manière progressive. Pour lui, les idéaux de la Révolution française, qui affirme l’égalité des droits de tous les citoyens, triompheront très prochainement et la vague antisémite qui touche le monde européen ne peut être que passagère. Toujours dans cette volonté d’intégration, il envisage même la conversion des juifs au christianisme. Herzl est alors loin d’adhérer aux thèses sionistes et considère l’idée d’un retour en Palestine, terre ancestrale du peuple juif, comme un mythe ridicule.

Le choc de l’affaire Dreyfus en France

C’est véritablement en France que sa vision se transforme catégoriquement. A partir de 1891, Herzl est envoyé à Paris comme correspondant pour le quotidien libéral viennois Neue Freie Presse. Il est chargé de couvrir l’affaire Dreyfus qui bouleverse la société française fin 1894. Le capitaine Dreyfus, juif « assimilé » d’origine alsacienne, est accusé à tord d’espionnage pour le compte de l’Allemagne et est démis de ses fonctions. L’ampleur des campagnes antijuives qui suivent l’affaire le choque profondément et lui font alors prendre conscience que même dans un pays comme la France, qui a été la première à proclamer l’égalité des Juifs, l’assimilation semble irréalisable. Il est alors clair pour Herzl qu’en fin de compte un Juif sera toujours considéré comme un étranger. L’unique solution aux problèmes d’émancipation du peuple juif et de l’antisémitisme est la création d’un état indépendant. En 1896, il publie un ouvrage d’une centaine de pages rassemblant ses idées : L’Etat Juif (Der Judenstaat), puis il publie Altneuland. Herzl devient alors contre toute attente un des principaux leaders sionistes de la fin du XIXe siècle.

L’action de Herzl et le développement du sionisme

Une fois ses ouvrages publiés, Herzl se lance dans une intense activité politique pour mettre en place son projet. Il profite des nombreux contacts que lui apporte son métier de journaliste pour diffuser ses idées et trouver des fonds auprès des milieux financiers juifs. Ces derniers refusent cependant de lui apporter de l’aide, ne croyant pas en la création d’un Etat juif. Il poursuit malgré tout son action et organise, à Bâle, en Suisse, le premier Congrès sioniste mondial du 29 au 31 août 1897. Le congrès donne naissance à l’Organisation sioniste mondiale dont Herzl est élu président. Le but de l’Organisation est l’établissement d’un Etat juif en Palestine. Le mouvement se structure alors très rapidement. Herzl fonde la même année le journal Die Welt, son organe officiel. Il veut créer son mouvement sioniste à l’échelle internationale de façon à mobiliser l’ensemble de la communauté juive.

Le sionisme de Herzl n’a rien de messianique ou de biblique, c’est un sionisme clairement laïc. Il n’envisage pas non plus la langue biblique, l’hébreu, comme langue officielle du futur Etat. La création d’un Etat en Palestine répond pour lui uniquement à un souci de sécurité et d’émancipation du monde juif. On peut noter d’ailleurs, qu’il ne précise pas, dans un premier temps, le lieu du futur Etat juif. Herzl propose bien sûr la Palestine mais également l’Argentine ou l’Afrique orientale.

L’action diplomatique de Herzl

Pour Herzl, il est également inenvisageable de constituer un Etat juif sans obtenir au préalable une garantie et une reconnaissance internationale. Pour lui, l’immigration en Palestine doit absolument se faire de manière officielle. Il craint notamment qu’une infiltration illégale laisse les immigrés à la merci de toutes les répressions et expulsions. Pour mettre en place son projet en Palestine ottomane, il doit tout d’abord obtenir un accord de la Sublime Porte. Il rencontre finalement, après de nombreuses tentatives, le sultan ottoman Abdul Hamid II (1842-1918) en 1901 sans réussir à obtenir de ce dernier une quelconque concession. Il consacre alors le restant de sa vie à une action diplomatique auprès des différents souverains européens tels que l’empereur d’Allemagne Guillaume II, le roi d’Italie, le pape Pie X ou des ministres russes, cherchant à obtenir leur soutien sans grands résultats. Herzl se présente alors comme le représentant du peuple juif, même si l’adhésion aux thèses sionistes est alors loin de faire l’unanimité. Il essaye de faire comprendre l’intérêt que chacun peut trouver en apportant son soutien dans la mise en place d’un foyer national juif en Palestine. A partir de 1902, il concentre son action sur la Grande-Bretagne et réussit à obtenir du ministre britannique des Colonies, Joseph Chamberlain, la possibilité d’établir un foyer juif en Ouganda. Herzl considère alors qu’il vaut mieux un foyer en Ouganda que pas de foyer du tout. L’offre est toutefois majoritairement rejetée lors du VIe Congrès en août 1903 et définitivement oubliée après la mort du leader le 3 juillet 1904 en Autriche. Sa mort met également pour un temps de côté la priorité aux démarches diplomatiques chères à Herzl.

Mais si Herzl n’arrive pas à la fin de sa vie à obtenir l’accord international nécessaire à l’accomplissement de son rêve, il réussit à faire du sionisme un mouvement organisé et reconnu. Herzl écrit dans son Journal au lendemain du premier congrès de Bâle les propos suivant : « A Bâle, j’ai créé l’Etat juif. Si je disais cela aujourd’hui publiquement, un rire universel serait la réponse. Dans cinq ans peut-être, dans cinquante sûrement, tout le monde comprendra ». Theodor Herzl avait vu juste : cinquante ans et neuf mois plus tard, l’Etat juif d’Israël était créé. Il avait souhaité être un jour enterré dans l’Etat indépendant que le peuple juif aurait fondé en Palestine ; ses dépouilles sont transférées au mont Herzl dans le jeune Etat d’Israël le 17 août 1949."

Bibliographie

Michel Abitbol, Juifs et Arabes au XXe siècle, Paris, Editions Perrin, 2006 
Claude Brzozowski, Du Foyer national juif à l’Etat d’Israël, analyse d’une spoliation, Paris, L’Harmattan, 2001
Alain Gresh, Dominique Vidal, Les 100 clés du Proche-Orient, Paris, Hachette Littératures, 2006
Catherine Kaminsky, Simon Kruk, Le Nationalisme arabe et le nationalisme juif,Paris, Presses Universitaires de France, 1983

Source:

http://www.lesclesdumoyenorient.com/Theodor-Herzl-pere-du-sionisme.html

 

 


« Au Moyen-Orient, les faibles ne survivent pas… La force et l’intelligence survivent », a déclaré Netanyahu, le boucher de Gaza, le 4 décembre 2016 à Washington, par vidéoconférence, au public du Forum Saban annuel pour la politique moyen-orientale de la Brookings Institution. Les Juifs savent pourtant bien depuis les Hébreux dans le désert du Sinaï, que les faibles survivent au Moyen-Orient, même en plein désert… Ils savent bien aussi qu’un des piliers du Judaïsme, la tsedaka, recommande comme en islam, d’aider les faibles. Alors question, Netanyahu est-il juif ? Je dirais qu’il est israélite. Nuance. Il y a deux mouvances chez les Juifs, les Israélites et les Judéens. Ces derniers sont attachés au message moral monothéiste de Jacob, quant aux Israélites ils sont attachés à l’idéologie de leur ancêtre : Israël. Car Israël n’est pas Jacob, ce sont deux personnages distincts comme le précise bien le Livre des Nombres. Israël n’est nul autre que Caïn, selon le Coran. Les enfants d’Israël, les israélites sont donc les enfants de Caïn, les héritiers, les partisans de Caïn-Israël. Selon le Talmud et le Zohar, Caïn, le premier assassin de l’humanité, fut le résultat de l’union d’Eve et de Satan. Il y a donc chez les Juifs deux mouvances irréductiblement antagoniques : les Judéens, juifs authentiques, et les Israélites, leurs usurpateurs obstinés. Ces deux mouvances sont comme l’huile et le vinaigre, ou plutôt comme le bon grain et l’ivraie… le royaume de Juda fut toujours en guerre contre le royaume d’Israël, comme l’écrit l’Ancien Testament… Et avec le temps, les Israélites ont phagocyté les Judéens.

Pour comprendre l’idéologie de Caïn-Israël, il faut évidemment comprendre l’idéologie de son père, Satan, le premier ennemi de l’humanité. Et cette idéologie peut se formuler simplement : défier Dieu par la « force, l’intelligence » et la ruse en transgressant ses lois morales pour perdre l’humanité, cette humanité qui fut la cause de la chute de Lucifer-Satan (selon le Coran). La descendance de Caïn-Israël se place donc au-dessus des hommes, des Goyims… qui ne sont là que pour être exploités, pillés, massacrés… Et la vie de Caïn-Israël lui-même incarne cette idéologie. Dans son ouvrage Antiquités judaïques, voici ce que nous dit l’historien juif Flavius Joseph, premier siècle après J. C., au début du deuxième chapitre du premier livre : « Caïn était en tout d’une grande perversité et n’avait d’yeux que pour le lucre ; il est le premier qui ait imaginé de labourer la terre. Caïn (après avoir été maudit par Dieu) traverse beaucoup de pays et s’arrête avec sa femme dans un endroit appelé Naïs, où il fixe sa résidence et où des enfants lui naquirent. Loin de considérer son châtiment comme un avertissement, il n’en devint que plus pervers : il s’adonna à toutes les voluptés corporelles, dût-il maltraiter, pour les satisfaire, ceux qui étaient avec lui ; il augmente sa fortune de quantités de richesses amassées par la rapine et la violence ; il invita au plaisir et au pillage tous ceux qu’il rencontrait et devint leur instructeur en pratiques scélérates. Il détruisit l’insouciance, où vivaient précédemment les hommes, par l’invention des mesures et des poids ; la vie franche et généreuse que l’on menait dans l’ignorance de ces choses, il en fait une vie de fourberie. Le premier, il délimita des propriétés ; il bâtit une ville, la fortifia par des murs et contraignit ses compagnons à s’associer en communauté. (…). Joubal (os), son frère, né de la même mère, s’adonna à la musique et inventa les psaltérions et les cithares. Thobél (os), un des fils de l’autre femme, plus fort que tous les hommes, se distingua dans l’art de la guerre où il trouva de quoi satisfaire aux plaisirs du corps ; il inventa le premier l’art de forger. (…). Encore du vivant d’Adam, les descendants de Caïn en arrivèrent aux plus grands crimes : par les traditions et l’exemple, leurs vices allaient toujours en empirant ; ils faisaient la guerre sans modération et s’empressaient au pillage. Et ceux qui n’osaient pas verser le sang montraient, du moins, tous les emportements de l’insolence, de l’audace et de la cupidité ». La conduite de Caïn est exactement celle des sionistes en Palestine ou de certains Juifs à travers le monde… Bernard Madoff, Cyril Astruc, Gilbert Chikli, Arcadi Gaydamac, les freres Tchernoï et tant d’autres.


« Aujourd’hui, le message spirituel de l’islam restitue les enseignements d’Abel envers et contre la fureur de Caïn-Israël. »


À en croire Flavius Joseph, la première ville fut donc édifiée par Caïn, avant le Déluge. Il semblerait que le Déluge conté par tant de mythes soit un événement qui ait réellement eu lieu. Au cours de fouilles archéologiques, dans les ruines de l’antique cité sumérienne d’Ur, en 1929, Sir Leonard Woolley découvrit soudain une couche boueuse sédimentaire d’argile pure ; il eut alors l’idée de creuser encore, et au bout de trois mètres de profondeur de plus, il découvrit sous la couche d’argile pure les vestiges d’une civilisation. Wolley en conclut qu’une forte inondation avait dû apporter cette impressionnante couche de boue et ensevelir cette ancienne civilisation. Puis, considérant l’impressionnante épaisseur de la couche, Woolley émit l’hypothèse qu’il s’agissait du fameux Déluge. D’autres fouilles entreprises à Babylone, Shuruppak, Uruk, Lagash, Kish et Ninive confirmèrent l’hypothèse de Woolley. La mythologie sumérienne relate en détail le Déluge et l’arche du Noé sumérien, Ziusudra, un récit quasi-identique à celui que la Torah formulera 2000 ans plus tard. On peut déceler aussi dans la mythologie sumérienne, les personnages de Caïn (le dieu Enki-le-fourbe) et Abel (le dieu Enlil-le-juste) ou de Adam (Adapa ?) et Eve (Inti). Ces personnages étaient des dieux pour les hommes du paléolithique. Car les premiers hommes ne sont pas Adam et Ève. La Genèse nous dit dans le premier chapitre, que Dieu créa les hommes le sixième jour, et se reposa le septième, puis, dans le chapitre suivant, Dieu créée Adam… La sourate de l’Homme confirme cela dès la première phrase, « Ne s’est-il pas écoulé un laps de temps durant lequel l’espèce humaine n’était même pas digne d’être mentionnée ? ». Adam, auquel Dieu insuffla de Son Esprit, fut le premier homme digne d’être mentionné.

Les hommes du paléolithique, les premiers hommes vivaient dans une violence et une brutalité inouïe, en proie à tous les démons, un peu comme les racailles des banlieues françaises (qui ne menacent malheureusement en rien le pouvoir démoniaque dominant, au contraire, elles le servent). Et Dieu décida « d’établir un vicaire sur Terre », comme le relate la deuxième sourate du Coran. Un vicaire humain… Les anges protestèrent estimant que ce vicaire devait être un ange puis se soumirent finalement à la divine décision, car ce vicaire, Adam, avait certes l’apparence des hommes mais avait un esprit de Dieu et n’était pas mortel. Quant à Lucifer/Satan, génie supérieur, qui se voyait aussi en vicaire, il se rebella contre cette décision et fut déchu et maudit. Adam et Ève arrivèrent ainsi au milieu de la sauvagerie des hommes paléolithiques et furent inéluctablement considérés comme des dieux. Car autour d’eux, la vie prospérait harmonieusement (exactement comme la vie prospérait autour de Jésus-Christ), une harmonie où résonnait l’éternité, le jardin d’Eden… qui se situait probablement dans le Croissant fertile… Puis, par une ruse du Diable ayant pris une apparence éblouissante (comme les pires crapules israélites prennent une apparence des plus respectables), l’esprit, par Ève et Adam, tomba et s’enlisa dans la chair mortelle, et dans la quête malheureuse de la connaissance perdue (dont le Coran nous ouvre le chemin), la connaissance de la vie éternelle. Ève et Adam tombèrent dans la vie mortelle. Les générations issus d’Adam et Ève furent les douloureux aventuriers de la connaissance perdue, ce fut la fin de la préhistoire, la révolution néolithique… dans le croissant fertile, à Sumer. Effectivement, l’Histoire commença à Sumer, comme l’écrivit Samuel Noah Kramer.

La première ville fut donc édifiée par Caïn-Israël, et effectivement les tablettes sumériennes nous apprennent que la première ville où s’exerça la royauté fut Eridu, la ville de Caïn-Enki, où se trouvait son temple, « la maison d’Apsû », le dieu de l’Abîme, Satan… Caïn-Enki fut l’initiateur des premières cités sumériennes avec les premières institutions, palais, temples, tribunaux, la première royauté (dont toutes les autres royautés, y compris européennes, ne sont qu’une imitation), le premier parlement (également imités par tous), la première écriture, qui établit les premiers contrats, les premières sciences, mathématique, médecine, pharmacopée, astronomie, les premiers textes religieux, législatifs, juridiques, les premières technologies, roue, tour de potier, fours, bateau à voile, charpenterie, charrue, chariot, armureries, les premières industries, agriculture, métallurgie, construction de bâtiment en pierre, métier à tisser, vannerie, les premiers instruments de musique, harpe, lyre, flûte, cithare, psaltérion, tambour, gong, les premières administrations, fiscales, scolaires, le premier commerce organisé par professions, boulangers, ingénieurs, forgerons, bijoutiers, artistes, musiciens, bureaucrates, scribes… et la première monnaie, le shekel…! Oui, la monnaie israélienne actuelle… Réduire le miracle grec à une branche tardive du miracle sumérien serait injuste, car les anciens Grecs interrogèrent justement par la philosophie, la littérature, le théâtre et la poésie, les vanités essaimées par Sumer et les destinées humaines. Il y eut aussi à Sumer les premières populations exploitées jusqu’à la mort pour engraisser une oligarchie contrôlant le temple et le palais, les premiers sacrifices, prostitutions et orgies institutionnalisés par le temple, les premiers marchands du temple, les premiers Pharisiens, les premières masses aliénées, broyées, le premier commerce des esclaves, les premières dettes, endettements, les premiers taux d’intérêt, l’usure, les premières banques… La première société moderne foncièrement aliénante et destructrice à laquelle nous fait revenir aujourd’hui la franc-israélito-maçonnerie. La première société où ne « survivait » que « la force et l’intelligence » et la ruse, et où « les faibles » majoritaires, maintenus faibles, étaient broyés implacablement. Un mythe sumérien raconte l’épuisement des Igigi, qui durant des années travaillèrent jour et nuit au service des Anunnaki, et qui finirent par cesser le travail en détruisant leurs outils. Comme aujourd’hui, le peuple était écrasé, contrôlé, surveillé, traqué pour la sécurité d’une oligarchie inique ; ce n’est vraiment pas un hasard si Israël est actuellement en pointe dans les technologies de sécurité.

L’édification des premières villes ne se fit pas sans résistance. Il y eut au départ un conflit profond entre le cupide Caïn-Enki et son frère cadet le juste Abel-Enlil. Voyons ce que nous dit Flavius Joseph sur Abel : « les deux frères se plaisaient à des occupations différentes : Abel, le plus jeune, était zélé pour la justice et, dans l’idée que Dieu présidait à toutes ses actions, il s’appliquait à la vertu ; sa vie était celle d’un berger ». Enlil comme Abel était le berger, le pasteur d’hommes qui conduisait les hommes selon la justice, et Enki comme Caïn-Israël, celui qui exploitait les hommes sur ses terres pour en tirer toutes les richesses. Le conflit entre les deux frères aboutira à l’assassinat d’Abel-Enlil par Caïn-Enki. Et Sumer prospérera de plus belle dans l’iniquité des Israélites, qui ne furent malheureusement pas complètement éradiqués par le Déluge, selon l’exégèse juive et le Coran. Babylone fut la grande continuatrice de Sumer, en pire (le grand dieu de Babylone fut le dieu-serpent Mardouk, fils de Enki…), jusqu’à ce que les Kassites, à la moitié du deuxième millénaire avant J. C., envahirent Babylone et en chassèrent du pouvoir les Israélites, qui croisèrent dans leur errance les Judéens. Et après un pacte avec Laban, cupide, fourbe, idolâtre et exploiteur comme Caïn, Jacob le Judéen pourtant soumis à Dieu fut affublé du nom de « Israël » (qui veut dire : en lutte contre Dieu !), comme le raconte la Torah, qui fut écrite à Babylone par l’israélite Esdras, mêlant au message judéen l’idéologie israélite, domination par l’usure, le vice, le mépris des Goyims, la rivalité implacable… On retrouve par exemple dans la Torah, le fameux « œil pour œil, dent pour dent » du Code Hammourabi, roi babylonien avant la dynastie kassite. Ce Code disposait que « la nourrice qui a laissé un enfant mourir parce qu’elle a accepté d’en nourrir un autre a les seins coupés » ! Mais on retrouve aussi dans ce code le souvenir d’Abel, on peut y lire par exemple que « le fort n’opprime pas le faible » et que justice soit faite « à la veuve et à l’orphelin ».

Aujourd’hui, le message spirituel de l’islam restitue les enseignements d’Abel envers et contre la fureur de Caïn-Israël. Comme dans la doctrine des Caïnites (dont la Kabbale juive et la franc-maçonnerie sont les héritières), la théogonie sumérienne substitue la copulation primordiale à Dieu : la copulation entre Apsû et son épouse Nammu (dieux primordiaux de l’Abîme), va créer tout ce qui existe dans l’univers, dieux, ciel, terre, etc. Dans cette théogonie qui signe la victoire ideologico-politique de Caïn-Enki sur Abel-Enlil, Enki, dieu de l’Abîme, lui aussi, a évidemment le beau rôle, et Enlil le mauvais : Enki créé Adam (Adapa) ! Et il conseille à Noé-Ziusudra de construire l’Arche ! La théogonie sumérienne influença sans aucun doute celle des anciens Grecs, qui commence également par l’Abîme, disait Hésiode, et où Gaïa (la Terre) copule avec Ouranos (le ciel) et engendre les dieux, les titans, les géants, les hommes (par Prométhée qui comme Caïn-Enki, créé les hommes, et dont le fils sera Deucalion, le survivant du Déluge… !).

Mais quelques mythes sumériens révèlent qui était vraiment Caïn/ Enki, un homme perfide, avide d’or et de pouvoir. Voici deux extraits significatifs :

En ce temps-là, quand les destins eurent été arrêtés,
Et qu’une année d’opulence, venue du ciel,
Se fut déployée ici-bas comme verdure et gazon,
Sir Enki, roi de l’Apsû (l’Abîme),
Enki, le seigneur qui arrête les destins,
Se construisit un palais, d’argent et de lazulite
Argent et lazulite étincelants comme le jour !
Ce sanctuaire répandait la lisse en l’Apsû,
Et les frontons étincelants qui en saillaient
Se dressaient devant le seigneur Nudimmud.
Il l’édifia donc, d’argent adorné de lazulite
Et somptueusement rehaussé d’or.
C’est à Eridu, sur le littoral, [qu’]il érigea ce palais
Dont les briques répercutaient l’écho de mille voix
Et dont les parois de roseaux mugissaient comme des bœufs !

« Autrefois, il fut un temps où le pays de Šubur, de Hamazi, de Kalam (Sumer) où se parlent tant de langues, le pays et principauté aux divines lois, Uri, le pays pourvu de tout le nécessaire, le pays de Martu qui reposait dans la sécurité, l’univers tout entier et les peuples tous ensemble, rendaient hommage à Enlil avec une seule langue. Cependant, le Père-Seigneur, le Père-Prince, le Père-Roi, Enki, […] le Père-Seigneur courroucé… ». « […] Enki, le Seigneur de l’abondance, dont les commandements sont sûrs, le Seigneur de la Sagesse qui scrute la Terre, le chef des dieux, le Seigneur d’Eridu, doté de Sagesse, changea les mots de leurs bouches, y mit de la discorde, dans la langue de l’Homme, qui avait été d’abord unique » ; extrait d’une tablette appelée « Emmerkar et le Seigneur d’Aratta », à l’Ashmolean Museum d’Oxford.

Lotfi Hadjiat

Source :

http://www.lelibrepenseur.org/netanyahu-a-sumer-par-lotfi-hadjiat/

 

     Rabbin d'Israël Ovadi Yossef

Le sionisme tire son idéologie raciste et homophobe du judaïsme talmudique.

Talmud : un « best-of »
« Les Juifs n’ayant pu anéantir le peuple chrétien en tuant le Christ, ont voulu le bafouer par la rédaction du Talmud, un tissu d’horreurs anti-chrétiennes. » (Martin V, Sedes Apostolica, 1425). Le Talmud a été maintes fois condamné sévèrement par les papes.

Le Talmud est le livre central du judaïsme moderne (c’est-à-dire celui qui s’est construit après la venue du Christ).

C’est probablement le livre le plus haineux et le plus raciste qui ait jamais été écrit dans l’histoire de l’humanité.
Tout y est permis à l’encontre des goyim (« non-juifs », en hébreu, au singulier goy) qui sont abaissés au rang de bêtes.
Le Christ y est insulté et son nom blasphémé des façons les plus ignobles et la Très Sainte Vierge qualifiée de prostituée.

C’est la mentalité transmise par ce brûlot qui faisait dire il n’y a pas longtemps à Ovadia Yosef, grand rabbin d’Israël : « Les Goïm sont nés seulement pour nous servir. Sans cela, ils n’ont pas de place dans le monde. », ou à Jacques Attali que les juifs sont les seuls êtres humains.

Quand les sociétés chrétiennes découvrirent un jour avec effroi le contenu de ce livre (notamment grâce à des juifs convertis), au Moyen-Age, il fut interdit, brûlé (en particulier sous Saint Louis), etc.
Des versions expurgées furent alors éditées par les rabbins, pour le « grand public ». Ce sont encore celles qu’on peut trouver derrière des vitrines de magasins.

Voici un recueil de quelques sentences de la version originale :

Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les Ecritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un goy.

Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés “hommes”, pas les goyim.

Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim morts, comme les vaches, ou les ânes perdus. Il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.

Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des goyim proviennent d’esprits impurs qu’on nomme porcs.

Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim, ce sont des animaux.

Talmud, Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : ” le psalmiste compare les goyim à des bêtes impures “.

Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les goyim et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.

Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Bien qu’un goy ait la même apparence qu’un juif, il se comportent envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme.

Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence d’un goy c’est comme ci vous mangiez avec un chien.

Talmud, Yebamoth 98a : Tous les enfants des goyims sont des animaux

Talmud, Zohar II 64b : Les goyim sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.

Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les goyim que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.

Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d’un goy appartient au premier juif qui la réclame.

Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un goy.

Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de Dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un goy.

Talmud, Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre

Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un goy doivent se partager le bénéfice équitablement.

Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure peut être pratiquée sur les goyim, ou sur les apostats.

Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un goy.

Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: Si un juif a la possibilité de tromper un goy, il peut le faire.

Talmud – Babha Kama 113a: Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et Dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël.

Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

Talmud, Abhodah Zarah 4b: Vous pouvez tuer un goy avec vos propres mains.

Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des goy devrait être abattu.

Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un goy, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.

Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: Tout juif qui verse le sang de goyim revient à la même chose qu’une offrande à Dieu.

Lire la suite ici:

https://www.google.dz/amp/www.contre-info.com/talmud-un-best-of/amp#ampshare=http://www.contre-info.com/talmud-un-best-of

 

                                             Un survivant d'Auschwitz témoigne

 
Certains survivants de l'holocauste, quelle que soit la définition qu'on en donne, sont comme une épine dans le pied du sionisme.Après Hedy Epstein, voici qu'un autre de ces survivants fait parler de lui en affichant activement sionisme. Et, à la différence de Mme Epstein, cette qualité de survivant, les sionistes ont du mal à la refuser à Hajo Meyer qui a séjourné une dizaine de mois au fameux camp d'Auschwitz en Pologne. 


Un survivant d’Auschwitz: ‘Israël agit comme les Nazis’ 
Exclusif: Graeme Murray and Chris Watt 
Sunday Herald (UK)  24 Jan 2010 traduit de l’anglais par Djazaïri 
Un des derniers survivants d’Auschwitz s’est lancé dans une attaque cinglante contre l’occupation de la Palestine par Israël au premier jour de sa tournée de conférences en Ecosse. 
Le Dr Hajo Meyer, qui a survécu dix mois dans le camp de la mort nazi, s’est exprimé avec force dès le début de sa tournée de conférences d’une dizaine de jours au Royaume Uni et en Irlande – dont trois en Ecosse. Ses propos ont provoqué la fureur des groupes de pression extrémistes juifs qui ont qualifié M. Meyer « d’antisémite » et l’ont accusé d’abuser de son statut de survivant de l’holocauste. 
Le Dr Meyer a assisté à des audiences au tribunal d’Edimbourgh ce mardi, où cinq militants pro palestiniens sont accusés de comportement raciste aggravé pour avoir perturbé un concert donné par le Jérusalem Quartet au Queen’s Hall de la ville. 
S’exprimant au démarrage de sa tournée, le Dr Meyer a affirmé qu’il existait des similitudes entre le traitement des Juifs par les Allemands pendant la seconde guerre mondiale et le traitement actuel des Palestiniens par les Israéliens. 
Il a declaré: “Les Israéliens essayent de déshumaniser les Palestiniens, exactement comme les Nazis ont tenté de me déshumaniser. Personne ne devrait déshumaniser l’autre et ceux qui essayent de déshumaniser l’autre ne sont pas humains. 
“Israël n’est peut-être pas le pays le plus cruel du monde… mais la chose que je sais avec certitude est qu’Israël est championne du monde de la prétention à être un Etat cultivé et civilisé. » 
Le Dr Meyer est né en 1924 à Bielefeld en Allemagne. Il ne fut pas autorisé à fréquenter l’école là-bas après novembre 1938. Il s’enfuit alors, seul, aux Pays Bas. En 1944, après un an de clandestinité, il fut arrêté par la gestapo et survécut dix mois dans le camp de concentration d’Auschwitz en Pologne. 
Il vit actuellement aux Pays Bas et a écrit trois livres sur le judaïsme, l’holocauste et le sionisme. 
Le Dr Meyer insiste aussi sur le fait que désormais, la définition de  «l’antisémite» a changé, et il affirme : « Auparavant, un antisémite était quelqu’un qui haïssait les Juifs parce qu’ils étaient Juifs et avaient une âme juive. Mais de nos jours, un antisémite est quelqu’un que les Juifs n’aiment pas.» 
Un porte parole de l’ International Jewish Anti-Zionist Network, dont le Dr Meyer est membre, affirme que critiquer Israël « n’est pas la même chose » que critiquer les Juifs. 
Mick Napier, président de la , Scottish Palestine ­Solidarity Campaign, et qui est un des cinq manifestants à comparaître devant le tribunal dont les audiences reprendront en mars, déclare : « Les Palestiniens sont heureux de l’avoir comme allié de leur cause. 
“Hajo sait qu’Israël a une longue histoire d’exploitation de l’histoire de l’holocauste afin de faire taire les critiques légitimes contre ses propres crimes. 


“Tout particulièrement depuis Gaza, les gens ne sont plus bernés par leur affirmation selon laquelle quiconque critique Israël est antisémite. » 
Les affirmations du Dr Meyer ont rencontré une réaction de colère de la part d’organisations pro Israël, qui les ont qualifiées de «honteuses.» 
Jonathan Hoffman; co-vise président de la Fédération Sioniste; déclare: “Je lui dirai qu’il abuse de son statut de survivant, et je lui dirai que si Israël avait été créée dix ans plus tôt, des millions de vies auraient pu être sauvées. » 
“Survivant ou pas, utiliser des analogies avec le nazisme au sujet des politiques d’Israël est antisémite, sans aucun doute.» 
M. Hoffman ajoute que la date de la tournée a été choisie avec cynisme pour coïncider avec l’ Holocaust Memorial Day du 27 janvier. 
Le Dr Ezra Golombok, porte parole pour l’Ecosse de l’ Israel Information Office, accuse le lobby antisioniste « d’exploiter » le Dr Meyer qu’il présente comme quelqu’un « qui est embarqué dans une situation qu’il ne comprend pas. » 
 «C’est un exercice de propagande de Mick Napier et ses amis, rien de plus. Il est absurde de comparer Israël et les tactiques nazies. » 
La série de conférences, intitulée  Never Again – For Anyone, se poursuit jusqu’au 30 janvier.

L'unique interview donnée par Edwin Black sur son livre "L'accord de transfert" qui témoigne du pacte des sionistes avec les nazis
 
L'accord de transfert
 

Edwin Black a parlé de son livre The Transfer Agreement: L'histoire dramatique du pacte entre le Troisième Reich et la Palestine juive (Dialog ... en savoir plus

    Comment le peuple juif fut inventé par l'historien israélien Shlomo Sand

    De nombreuses personnalités juives se sont opposées aux sionistes. Ils voient en eux de faux juifs qui utilisent le judaïsme pour des fins expansionnistes et de leadership dans le Moyen-Orient.

     

                                                        HISTOIRE CACHEE DU SIONISME

    Extraits de l’ouvrage du même nom par Ralph Schoenman, permettant d’appréhender au mieux les conditions dans lesquelles l’État d’Israël a été créé et la nature de l’idéologie sioniste.

    I - Les quatre mythes
    Ce n’est pas par accident si quiconque tentant d’examiner la nature du sionisme - son origine, son histoire et sa dynamique - se retrouve face à des gens qui le menacent ou le terrorisent. Très récemment, après avoir signalé un meeting sur le sort du peuple palestinien au cours d’un interview sur KPFK (une radio de Los Angeles), les organisateurs de ce meeting ont été submergés de coup de téléphone anonymes les menaçant de déposer des bombes. 

    Il n’est pas non plus facile, que ce soit aux Etats-Unis ou en Europe occidentale, de diffuser des informations sur la nature du sionisme ou d’analyser les faits spécifiques qui caractérisent le sionisme comme mouvement politique. Même l’annonce sur les campus universitaires de forums ou de meetings autorisés sur le sujet engendre invariablement une campagne visant à clore la discussion. Les affiches sont déchirées aussi vite qu’elles ont été collées. Les meetings sont bourrés par des escadrons itinérants de jeunes sionistes qui cherchent à les briser. Les tables de publication sont saccagées, tracts et articles sont publiés, accusant l’orateur d’anti-sémitisme ou, dans le cas où il est d’origine juive, de reniement et de haine de soi. 

    Si les agressions et les calomnies sont ainsi utilisées contre les anti-sionistes c’est que la différence entre la fiction officielle au sujet du sionisme et de l’Etat d’Israël, et les pratiques barbares de cette idéologie colonialiste et de cet appareil coercitif constitue un véritable abîme. Les gens sont en état de choc lorsqu’ils ont l’occasion d’entendre parler ou de lire des faits au sujet des persécutions subies par les Palestiniens depuis un siècle, et c’est pourquoi les défenseurs du sionisme cherchent sans cesse à empêcher un examen cohérent, sans passion, des témoignages sur le chauvinisme virulent du mouvement sioniste et de l’Etat qui incarne ses valeurs. 

    L’ironie c’est que lorsque nous étudions ce que les sionistes ont écrit et dit - en particulier lorsqu’ils s’adressent à eux-mêmes - il n’y a aucun doute possible sur ce qu’ils ont fait et sur leur place dans l’éventail politique depuis le dernier quart du XIXe siècle jusqu’à aujourd’hui. 
     

     

    FAÇONNER LES CONSCIENCES
    Dans notre société, quatre mythes puissants ont façonné la conscience de la grande majorité à propos du sionisme. 

    Le premier c’est celui d’une « Terre sans peuple pour un peuple sans terre ». Ce mythe a été assidument cultivé par les premiers sionistes pour faire passer la fiction selon laquelle la Palestine était un lieu perdu, désolé, offert à qui voulait le prendre. Cette prétention a été rapidement suivie par la négation de l’identité palestinienne, de son existence comme nation et du droit légitime à la terre sur laquelle les Palestiniens ont vécu toute leur histoire connue. 

    Le second c’est le mythe de la démocratie israélienne. D’innombrables histoires dans les journaux ou références à la télévision à l’Etat d’Israël sont suivies de l’affirmation que c’est la seule démocratie “véritable” du Moyen-Orient. En fait, Israël est à peu près aussi démocratique que l’Etat sud-africain. Les libertés publiques, les moyens de les mettre en oeuvre et les droits de l’homme les plus fondamentaux sont déniés par la loi à ceux qui ne répondent pas à certains critères raciaux et religieux. 

    Le troisième mythe, c’est celui de la “sécurité” comme force motrice de la politique étrangère d’Israël . Les sionistes affirment que leur Etat doit être la quatrième puissance militaire mondiale parce qu’Israël a dû se défendre contre la menace immédiate de masses d’Arabes primitifs, consumés par la haine, qui viennent tout juste de descendre de leurs arbres. 

    Le quatrième mythe c’est celui du sionisme comme légataire moral des victimes de l’holocauste. C’est là à la fois le mythe le plus répandu et le plus insidieux sur le sionisme. Les idéologues du mouvement sioniste se sont drapés dans le linceul collectif de six millions de juifs victimes des assassinats de masse des nazis. L’ironie cruelle et amère de cette prétention mensongère c’est que le mouvement sioniste a lui-même été en étroite collusion avec le nazisme dès sa conception.


    En savoir plus sur :

    http://www.alterinfo.net/HISTOIRE-CACHEE-DU-SIONISME_a491.html#R0i7AflRZXkQZk9o.99

    Autre référence :

    https://resistance999.wordpress.com/2014/06/19/histoire-cache-du-sionisme/

     

    Au nom de la Torah. Une histoire de l’opposition juive au sionisme

    Informations

    Auteur : Yakov M. Rabkin

    Discipline: Education

    Parution: 26 mars 2004

    294 pages

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    An extremely interesting and valuable book.
Noam Chomsky, Massachusetts Institute of Technology, Cambridge, MA
Je ne peux que saluer la rédaction d’un ouvrage "non conventionnel" sur des faits trop souvent occultés. À nous d’en tirer les enseignements.
Rabbin Moshé G.Ackermann, Directeur de Nerlitz, Institut francophone d’études juives, Jérusalem
En tant que patriote israélien et en tant que philosophe, je considère qu’il est essentiel d’intégrer le discours de l’antisionisme judaïque dans le débat public sur notre passé, notre présent et notre avenir, un débat dont nous avons grand besoin.
Joseph Agassi, philosophe, Université de Tel-Aviv
Voici un livre capital qui jette un éclairage nouveau sur "l’éternelle question du Moyen-Orient". C’est pourquoi il est à souhaiter qu’il soit lu par le plus grand nombre possible.
Charles Rhéaume, historien, Ministère de la défense nationale, Ottawa
C’est un livre extraordinaire. Je suis très impressionné par la qualité d’historien de l’auteur, par sa brillante analyse d’un corps littéraire complexe et par la lucidité de sa prose.
Gregory Baum, théologien, Université McGill, Montréal
La lecture de cet ouvrage bien documenté est fascinante. Le professeur Rabkin nous a rendu service en soumettant ses thèses a un débat au sein d’une communauté démocratique et pluraliste.
Bjarne Melkevik, juriste, Université Laval, Québec
Il s’agit du premier livre en langue française qui aborde de front ce sujet. La lecture en a été fascinante. Tout lecteur, profane ou averti, qui entre dans l’univers historique de l’auteur sera facilement pris.
Alain Bouchard, sociologue, Université Laval, Québec
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L’association des juifs avec l’État d’Israël est facile, presque automatique. "L’État juif" et "l’État hébreu" sont devenus des termes courants. Pourtant, il y a moins de juifs que de chrétiens parmi les partisans inconditionnels d’Israël. Ce livre explique ce paradoxe apparent en mettant en relief l’opposition au nom de la tradition juive qu’attire le sionisme dès ses débuts. Cette opposition met en question la légitimité proprement juive de l’État d’Israël et représente, selon un expert israélien, "un défi bien plus important et dangereux que l’hostilité arabe et palestinienne". Ce livre met donc en lumière les racines de l’opposition juive à l’existence même de l’État d’Israël, phénomène souvent occulté et censuré car il provoque parfois autant de colère que de curiosité. 

    Source :

    https://www.pulaval.com/produit/au-nom-de-la-torah-une-histoire-de-l-opposition-juive-au-sionisme

    Le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, en février.

    Photo Amir Cohen. Reuters
    LES GENS
    Avigdor Lieberman veut «décapiter à la hache» les Arabes israéliens infidèles à la patrie
    Par Amel Chettouf  

    Le ministre israélien des Affaires étrangères a tenu des propos choquants à l’encontre de la population arabe israélienne, lors d’un rassemblement électoral.

    Tous les Arabes israéliens qui ne sont pas fidèles à Israël devraient «être décapités à la hache», a déclaré Avigdor Lieberman. Lors d’un meeting avec ses électeurs, dans la ville de Herzliya, au nord de Tel Aviv, le ministre des Affaires étrangères n’a pas hésité à partager sa position, pour le moins radicale.

    «Ceux qui sont de notre côté méritent beaucoup, mais ceux qui sont contre nous méritent de se faire décapiter à la hache», a-t-il affirmé face à son auditoire, rapporte le site d’informationNewsweek. Le ministre a même estimé qu’il n’y a «aucune raison qu’Umm al-Fahm» (la troisième ville arabe du pays) «fasse partie d’Israël». Pour lui, la communauté arabe n’a aucunement sa place sur le territoire. «J’ai tendance à vouloir faire don au chef de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas des Arabes qui brandissent le drapeau noir le jour de la nakba. Ce serait avec plaisir.»

    Le jour de la «nakba» (désastre, en arabe) fait référence à l’exode de milliers de Palestiniens après l’indépendance d’Israël et leur retour en terres palestiniennes. L’événement est commémoré par des rassemblements à travers la Cisjordanie, la bande de Gaza mais aussi dans certaines villes israéliennes.

    Pour Ron Gilran, vice-président du Conseil de risque géopolitique, le Levantine Group, basé à Tel Aviv, ces déclarations sont un moyen pour Lieberman et son parti nationaliste de droite, l’Israël Beiteinou, de récolter des voix avant les élections. «L’électeur instruit sait que c’est une tentative de gagner le soutien du peuple», explique-t-il à Newsweek.

    Ce n’est pas la première fois que Lieberman fait parler de lui avec des propos discriminants. En novembre dernier, il faisait part de sa volonté d’offrir de l’argent aux citoyens arabes israéliens – qui représentent 20% de la population israélienne – afin qu’ils acceptent de s’installer en terres palestiniennes si un Etat est créé. Le ministre soutient une position radicale à l’encontre de tous ceux qui trahiraient son Etat. Il estime même qu’une condamnation à mort est nécessaire pour tous ceux qui dénonceraient les politiques israéliennes à l’encontre des Palestiniens.

    Les élections législatives israéliennes sont prévues le 17 mars. Le Premier ministre actuel Benyamin Nétanyahou est grandement concurrencé par le parti d’opposition, l’Union sioniste, dirigé par Isaac Herzog et Tzipi Livni

    Source :

    https://www.google.dz/amp/www.liberation.fr/amphtml/planete/2015/03/10/avigdor-lieberman-veut-decapiter-a-la-hache-les-arabes-israeliens_1217878#ampshare=http://www.liberation.fr/planete/2015/03/10/avigdor-lieberman-veut-decapiter-a-la-hache-les-arabes-israeliens_1217878

     

    Roger Waters parle de son engagement dans BDS, et plus largement du sort quotidien des palestiniens ainsi que des prétendues « avancées diplomatiques » liées à l’État d’Israël.

    Émission Tout le monde en parle du 6 mars 2016.

     

     

     

    Roger Waters, droit dans ses bottes de rocker, voir sur E&R :

     

    Source :https://www.egaliteetreconciliation.fr/Roger-Waters-parle-de-la-Palestine-a-la-television-quebecoise-38363.html

     

    USA : DES ACTEURS PRO ET DES ACTEURS ANTI PALESTINIEN
     
    Les attaques de l’Etat sioniste qui se poursuivent contre le peuple palestinien à Ghaza ont suscité la réaction non seulement de la classe politique internationale et des composantes de la société civile mais aussi celle de la famille artistique, notamment les grands acteurs d’Hollywood. Les réactions de ces derniers sont divergentes. 
     
    Anthony Hopkins 
    Parmi ces célébrités, il y en a qui disent «avoir honte d’être Américains», à l’exemple d’Anthony Hopkins qui a déclaré à propos de cette agression israélienne : «Israël est synonyme de guerre et de destruction et nous, Américains, sommes derrière cette guerre. J’ai honte d’être Américain.» Pour George Clooney : «Bush, Sharon, Blair et Rice sont des noms que l’histoire damnera.» Pour sa part, l’actrice Angelina Jolie a estimé que «les Arabes et les musulmans ne sont pas des terroristes. Il faut que le monde s’unisse contre Israël.» Mel Gibson affirme : «Les sionistes sont la source du désastre, j’aurais aimé pouvoir les combattre.» Sans omettre Dustin Hoffmann qui pense que «l’humanité est en voie de disparition depuis l’avènement d’Israël». D’autres artistes s’interrogent sur la position des Etats-Unis et de ses conséquences, à l’image de Sean Connery qui dira : «Nous sommes aujourd’hui en position de force, qu’en sera-t-il si nous étions faibles ?» De son côté, Al Pacino a déclaré : «Il suffit de jeter un regard sur l’histoire d’Israël pour savoir qui est terroriste.» Ralph Fiennes, de son côté, a dit : «Nous vivons en ces jours dans une jungle où le fort dévore le faible. Nous ne sommes pas mieux que les Arabes pour les mépriser.» Certains acteurs n’ont pas voulu prendre position mais ont suggéré de mettre fin à ce génocide, comme Sandra Bullock qui a dit : «Je ne sais pas grand-chose sur cette affaire mais il faut mettre un terme à la guerre et arrêter l’effusion de sang des deux parties.» Quant à Will Smith, il soulignera : «Les deux parties ont tort et doivent cesser la guerre.» Face à ces positions somme toute justes, d’autres artistes expriment une haine démesurée à l’égard des Arabes, et donc un soutien indéfectible à l’épuration ethnique menée par Israël à Ghaza, avec la bénédiction des Etats-Unis, de l’Union européenne et, malheureusement, de nombreux pays arabes.
    Harrison Ford
    Parmi les soutiens, on retrouve l’acteur Harrison Ford qui déclare sans ambages et dans un langage des plus abjects : «Les Arabes sont des êtres plus vils que les animaux et nous, les juifs, sommes le peuple élu. Il n’y a pas lieu de comparer.» Tom Cruise renchérira en soutenant que «les Arabes sont la source du terrorisme. Ils attaquent tout le monde sans exception. J’espère qu’Israël les détruira». Tout aussi lapidaire et raciste, Richard Gere déclare que «les Arabes sont un fardeau pour le monde, c’est pourquoi il faut les anéantir». Pour Keanu Reaves, «les Arabes sont assez forts et capables de détruire le monde entier, c’est pourquoi il faut les anéantir tous». Ces propos, traduits de l’anglais par la rédaction du journal, sont rapportés par souci d’honnêteté et de professionnalisme, mais aussi pour montrer que, même dans un monde censé cultiver et diffuser l’humanisme, l’amour et le sens de la justice, il peut s’y trouver de faux dévots, des xénophobes et des avocats du diable. Heureusement qu’ils ne sont pas légion et que les véritables artistes, au sens philosophique du terme -comme cités en début d’article-, sont toujours là, prêts à monter au front contre tous les barbarismes et les atteintes aux libertés et aux droits fondamentaux. 
     
    source : 
     
     

    Le racisme de l'état d'Israël

    Les sionistes puisent leur racisme de leurs textes sacrés comme le Talmud:

    Dans le Talmud (Sanhedrin) il est dit ceci : « Le corbeau, le chien et le Noir (le koushi) seront noirs à cause de leurs méfaits »Le rabbin Maïmonide dans un ouvrage considéré par les juifs comme le plus grand en matière de philosophie religieuse juive (Le Guide des égarés, livre III, chapitre 51) nous dit ceci du peuple Noir : « Leur nature est semblable à celle des animaux muets, et selon mon opinion, il n’atteignent pas au rang d’êtres humains ; parmi les choses existantes, ils sont inférieurs à l’homme mais supérieurs au singe car ils possèdent dans une plus grande mesure que le singe l’image et la ressemblance de l’homme ».

    Pour s'en convaincre, visionner ces vidéos;

    Camps de concentration en israel pour les hommes noirs (A VOIR !!!)
    Israël stérilise des Juifs car Noirs – SA
    La Scandaleuse Hypocrisie Raciste d’Israël et du Sionisme Mondial par David Duke (VOSTFR)
    Falashas Juifs éthiopiens Racisme anti noirs en Israël
    La révolte des Ethiopiens gagne Tel Aviv
                RACISME SUPRÉMACISTE ET ANTI NOIR             À TEL AVIV, EN ISRAËL

     

     

     

    Des colons ont tenté de voler un bébé palestinien….

    Un certain nombre de colons juifs extrémistes terroristes a tenté de kidnapper un enfant palestinien de 3 ans dans la ville d’Al Khalil en Cisjordanie. Les sources de sécurité du colabo abbas ont affirmé que les colons ont tenté d’enlever le bébé, Mustafa Qafisha dans la vieille ville, mais la mère et les voisins les ont empêché et ont été eux-mêmes agressés par les colons juifs fascistes.

    Jeudi dernier, un jour après cette tentative d’enlèvement, les troupes de mercenaires terroristes juifs sionistes ont enlevé une fillette de 4 ans et sa mère alors qu’elles se dirigeaient vers l’école maternelle. Ceci s’est passé dans la même ville d’Al Khalil.

    Aucun jour ne passe sans qu’il y ait rapt et kidnapping d’enfants, de femme ou simplement d’étudiant palestinien… tous les jours, les forces d’occupation juifs sionistes tuent un palestinien… quelques soit l’âge, les juifs sionistes ne se lassent pas d’assassiner des palestiniens. C’est le passe temps préféré des juifs sionistes… c’est le sang qui les attire tel des requins.

    Le jeudi 14 octobre 2010, Un jeune garçon a été battu par des juifs sionistes extrémistes terroristes à el Quds. Au lieu d’arrêter les terroristes juifs sionistes, les forces d’occupation sioniste ont enlevé le jeune garçon Ayman al Ghawi, et l’ont interrogé pendant des heures… puis, lui ont ordonné de quitter son domicile et sa banlieue pendant 15 jours.

    la morale juive sioniste n’a pas de limite…

    Pourquoi veulent-ils enlever des bébés de 4 ans ? Pourquoi s’attaquent-ils aux enfants spécifiquement ? Est ce sang du bébé goym tant désiré… ?


    http://www.palestine-info.co.uk

    http://antipropagandecom.blogspot.com

    Qu’est ce que ces colons dégénérés sataniques voulaient faire de cet enfant ?

     

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    La franc-maçonnerie ou le culte du Grand Architecte

    Publié le par Ahmed Miloud

    ORIGINE DE LA FRANC-MAÇONNERIE

    Depuis près de trois siècles, la franc-maçonnerie est la société secrète dont on parle le plus. Cette société initiatique suscite beaucoup d’intérêt et pourtant, la franc-maçonnerie est très mal connue.
    En effet, elle masque aussi bien ses origines que ses buts. Malgré tous ces mystères, la franc-maçonnerie s’avère être plus une confrérie élitiste et discrète que réellement secrète.Son culte,calqué sur les religions,particulièrement le christianisme dont elle s'inpire ,est énoncé comme suit :

    * La franc-maçonnerie travaille à la Gloire du Grand Architecte de l'Univers.

    Conformément aux traditions de l'Ordre des francs-maçons, trois gran­des lumières sont placées sur l'autel des loges : l' Équerre, le Compas et un Livre de la Loi Sacrée. Les obligations des Maçons sont prêtées sur ces Trois Grandes Lumières.

    Voir : http://www.lesnumismates.fr/FR/ART_FRANC_MACONNERIE.htm

                                              Symbole officiel de la franc-maçonnerie

    Le terme « franc-maçonnerie » est ambigu, car il désigne deux choses sensiblement différentes :

    Une société corporative dite « maçonnerie opérative » qui plonge ses racines dans le Moyen Âge européen et sans doute bien au-delà. On sait aujourd’hui que la filiation entre francs-maçons et compagnons est très complexe.

    Symbole de la Franc-maçonnerie

    Symbole maçonnique américain de la vie éternelle. 19e s.

    Une société de pensée dite « maçonnerie spéculative » qui est l’héritière directe de la première.

    La maçonnerie, d’abord opérative (bâtisseurs médiévaux), admet (XVIe-XVIIe s.) des membres étrangers à l’art de bâtir, avant de devenir spéculative lorsque est fondée, à Londres, en 1717, une « Grande Loge », dont les Constitutions demeurent la charte de la franc-maçonnerie universelle. Une longue querelle interne, origine d’une scission, prit fin en 1813 avec l’Act of Union, constitutif de l’actuelle Grande Loge unie d’Angleterre, tenue pour la Grande Loge mère de toutes les grandes loges du monde.

    Les Constitutions de James Anderson

    Les Constitutions de James Anderson, fondateur de la Grande Loge de Londres .Édition originale 1723. Bibliothèque des Arts décoratifs

    La franc-maçonnerie est introduite vers 1725 en France par des jacobites émigrés. Malgré quelques difficultés avec la police, les loges prennent une rapide extension, mais connaissent aussi une scission et des difficultés.

    En 1773 est fondé le Grand Orient, autorité centrale destinée à rétablir l’ordre. Au XIXe s., les deux grandes obédiences sont le Grand Orient et le Suprême Conseil du Rite écossais ancien et accepté, fondé en 1804.

    Tablier maçonnique d'Hélvétius

    Tablier maçonnique d'Hélvétius, porté par Voltaire le jour de son initiation . Musée du Grand Orient de France

    La Grande Loge de France, fondée en 1894, conserve la formule du Grand Architecte de l’Univers qui n’est plus reconnu par le Grand Orient depuis 1877.

    En 1913, E. de Ribaucourt ressuscite une franc-maçonnerie régulière en France et constitue la Grande Loge nationale indépendante et régulière, qui prend en 1948 le nouveau nom de Grande Loge nationale française (G.L.N.F.), seule obédience française reconnue par la Grande Loge d’Angleterre.

    Ces scissions expliquent la diversité des rites maçonniques et des grades.

    L’esprit de la franc-maçonnerie

    Au XVIIe siècle, en Angleterre, les guerres de religion font rage. C’est dans ce contexte que des hommes épris de tolérance créent des espaces de libre échange où toutes les confessions peuvent se réunir.
    Les fondateurs emploient le vocabulaire et les usages des anciennes corporations de maçons. Ces hommes savaient alors tailler la pierre tendre appelée « free stone ».
    On les nommait donc « free stone masons » ou « freemasons » c’est-à-dire francs-maçons.

    Symbole de la Franc-maçonnerie

    Symbole maçonnique italien, de l'époque des Carbonari . © dinosoria

    Mais les nouveaux maçons ne sont pas des ouvriers bâtisseurs mais des « gentlemen ». Ils défendent avant tout des valeurs d’humanisme, de tolérance et de fraternité.

    Parmi les maçons célèbres, on peut citer Benjamin Franklin, Mirabeau, Jules Ferry, Winston Churchill (de 1905 à 1908), Montesquieu, Voltaire, Arthur Conan Doyle, Mozart, Louis Armstrong, Ford ou Citroën.

    Les fondateurs de la franc-maçonnerie moderne revendiquent l’héritage de tous les maçons qui les ont précédés.
    Ils ont ainsi élaboré un parcours initiatique menant du grade d’apprenti à celui de maître, à l’image des ouvriers bâtisseurs d’autrefois.

     

     

     

    Tablier maçonnique

    Tablier maçonnique de l'écrivain Joseph de Maistre. © Archives Ed. Atlas

    À la tête de chaque loge se trouve un vénérable, assisté d’un collège d’officiers. À la tête de chaque obédience se trouve un grand maître. Le grand maître de la Grande Loge de France est assisté d’un Conseil fédéral, celui du Grand Orient d’un Conseil de l’ordre, qui jouit de la réalité du pouvoir. Une fois l’an se tient la Tenue (ou Assemblée) de Grande Loge, appelée « convent », à la Grande Loge de France et au Grand Orient. Les obédiences féminines ou mixtes qui existent ici ou là ne sont pas reconnues.

    Les symboles de la franc-maçonnerie

    Cette société comporte de nombreux symboles qui doivent permettre aux membres de se comprendre au-delà des barrières sociales.
    Certains sont hérités de la kabbale ou de l’hermétisme mais la plupart proviennent des outils des tailleurs de pierre. L’équerre qui symbolise la rectitude morale ou le compas qui symbolise la maîtrise de soi.

    Sceau maçonnique

    Sceau maçonnique de Pierre-Philippe Baudel, l’actuel président du Suprême Conseil et Grand Conservateur Général du Rite de Misraim (Musée du Grand Orient de France). © dinosoria

    L’inspiration biblique est rappelée par les deux colonnes qui ornent l’entrée des loges.

    On trouve également le soleil et la lune, car les maçons travaillent de » midi à minuit ».

    Les actions de la franc-maçonnerie

    Les relations de la franc-maçonnerie avec l’Église catholique romaine ont toujours été difficiles. Plusieurs fois condamnée par les papes au XVIIIe et au XIXe s., la franc-maçonnerie semble bénéficier, depuis le concile Vatican II, de la part des catholiques, d’un préjugé plus favorable, Rome restant cependant réticente, notamment à l’égard des loges « anticléricales ».

    Symbole de la Franc-maçonnerie

    Symbole maçonnique italien du 19e s. © dinosoria

    Source:

    http://www.dinosoria.com/franc-maconnerie.htm

    Les symboles de la franc-maçonnerie

    Cette société comporte de nombreux symboles qui doivent permettre aux membres de se comprendre au-delà des barrières sociales.
    Certains sont hérités de la kabbale ou de l’hermétisme mais la plupart proviennent des outils des tailleurs de pierre. L’équerre qui symbolise la rectitude morale ou le compas qui symbolise la maîtrise de soi.

    Sceau maçonnique

    Sceau maçonnique de Pierre-Philippe Baudel, l’actuel président du Suprême Conseil et Grand Conservateur Général du Rite de Misraim (Musée du Grand Orient de France). © dinosoria

    L’inspiration biblique est rappelée par les deux colonnes qui ornent l’entrée des loges.

    On trouve également le soleil et la lune, car les maçons travaillent de » midi à minuit ».

    Les actions de la franc-maçonnerie

    Les relations de la franc-maçonnerie avec l’Église catholique romaine ont toujours été difficiles. Plusieurs fois condamnée par les papes au XVIIIe et au XIXe s., la franc-maçonnerie semble bénéficier, depuis le concile Vatican II, de la part des catholiques, d’un préjugé plus favorable, Rome restant cependant réticente, notamment à l’égard des loges « anticléricales ».

    Symbole de la Franc-maçonnerie

    Symbole maçonnique italien du 19e s. © dinosoria

    Il est vrai qu’au XIXe siècle, les francs-maçons français sont majoritairement anticléricaux. Ils participent, en France, activement au débat sur la laïcité à l’école.
    De nombreux hommes politiques sont alors francs-maçons.

    Les frères ont un engagement républicain et seront les victimes d’une « chasse aux sorcières ». En 1922, le parti communiste interdit à ses membres d’être franc-maçon.
    L’Église catholique excommunie les membres. Cette mesure ne sera d’ailleurs levée qu’en 1983.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement de Vichy a lancé une campagne anti-maçonnique et a dissout les obédiences maçonniques françaises.

    Grand Orient de France

    Stephan Meyer, grand maître adjoint du Grand Orient de France, lors d'une commémoration de la libération des camps, en 2005 . © Medhi-Fedouach-STF/AFP

    De nombreux francs-maçons ont été déportés et sont morts en camps de concentration. À tel point, qu’à partir de 1945, la franc-maçonnerie décimée, mettra plusieurs dizaines d’années à reconstituer ses rangs.

    Les effectifs sont estimés aujourd’hui à plus de 6 millions, majoritairement aux États-Unis.

    Les loges, en France, sont pour la plupart des associations loi 1901 et il n’y a nul secret sur les noms des membres, déposés en Préfecture. Les loges maçonniques rassemblent plus de 120 000 personnes fédérées en différentes obédiences :

    • Le Grand Orient à tendance laïque
    • La Grande Loge plus spiritualiste
    • La Grande Loge féminine
    • Le Droit humain, obédience mixte la plus importante
    • La Grande Loge nationale française plus traditionaliste

    Il est certain que certains francs-maçons ont voulu utiliser leur appartenance à des fins politiques ou économiques. Certains ont eu des rapports houleux avec la justice. Ces écarts de conduite qui ne font que refléter notre société et non la franc-maçonnerie par elle-même sont autant de points négatifs qui jettent la suspicion sur une société profondément humaniste.

    V.Battaglia (20.06.2006)

     

    Sources bibliographiques

    Histoire de la franc-maçonnerie française, Paris, PUF, R.Dachez, 2003. Encyclopédie de la franc-maçonnerie, Paris, E.Saunier, Le livre de Poche, 2000. Les Sociétés Secrètes, Editions Larousse 2005. Les origines mystérieuses de la franc-maçonnerie, Editions Atlas, 1982.

    Pour en savoir plus sur la Franc-maçonnerie

    Site francophone sur la franc-maçonnerie

    Source:

    http://www.dinosoria.com/franc-maconnerie.htm

    LE CULTE DE LA FRANC-MAÇONNERIE

    La franc-maçonnerie a institué un culte qu'elle rend à une entité indéfinissable qu'elle appelle "Le Grand Architecte". Curieusement, elle s'imprègne dans l'accomplissement de ce culte des enseignements de la bible sans toutefois en appliquer le sacerdoce. En d'autres termes,elle s'est appropriée le christianisme comme les sionistes l'ont fait pour le judaïsme.

    Les principes fondamentaux de la Franc-Maçonnerie régulière :

    • l'invocation du Grand Architecte de l'Univers,
    • la présence en Loge des trois Grandes Lumières : le Volume de la Loi Sacrée (qui dans ses Loges est la Bible) exposé et ouvert avec l'Equerre et le Compas,
    • la souveraineté exclusive sur les grades symboliques,
    • l'indépendance de toute structure maçonnique de Hauts Grades,
    • la non-mixité dans les travaux rituels,
    • la non-immixtion dans les controverses politiques ou religieuses,
    • le caractère progressif et spirituel de la démarche initiatique.

    La foi prêchée par la franc-maçonnerie repose sur le trinitarisme,concept qui existait déjà les peuples païens primitifs. Ce trinitarisme est ainsi conçu :

     

    1) Le Livre Blanc

    IL est entièrement composé de pages vierges, tenant lieu de livre de la loi sacrée dans certaines loges adogmatiques.

    •  Dans le Symbolisme (n° de mars et avril), suite de la discussion sur la présence de la Bible dans les Loges, son remplacement par un « livre blanc » etc. ; discussion pleine de confusion et constamment influencée par les points de vue les plus « profanes » ; ce n’est pas seulement au sens symbolique qu’on peut parler ici de la « Parole perdue » ! (René Guénon, Études franc-maçonnerie compagnonnage)Les trois grandes lumières. « Ce sont le volume de la loi sacrée, l’équerre et le compas ».
    • Le livre de la loi sacrée (le Livre Blanc)peut être la Bible ouverte au Livre des rois ou bien l’Évangile de saint Jean ouvert à la première page avec ces mots: « Au commencement était le verbe ». Il peut être aussi un livre reconnu comme de haute portée spirituelle. Il peut être encore un livre blanc ou bien le livre des Constitutions.  (Guy Plana-Mora, Le dit et le non-dit de la franc maçonnerie, Mon Petit Éditeur, 2016)
    • Certaines loges et obédiences athées adoptent comme volume de la loi sacrée un livre blanc dans lequel chacun peut voir ce qu’il veut.  (Philippe Benhamou, Christopher Hodapp, La Franc-maçonnerie Pour les Nuls, Éditions First-Gründ, 2008, page 83)

     

    2) Le Compas     : 

    Le compas représente l'esprit; Il symbolise la sagesse de l'esprit; Il est à la fois: la rigueur de la mesure, la liberté de la créativité, le dynamisme et l'harmonie dans la recherche de la Vérité.Le compas à la particularité de pouvoir se régler et ainsi de s'adapter aux besoins de chacun et du moment. A la différence de la règle ou de l'équerre qui sont fixes et ne peuvent que reproduire leur forme, le compas est un instrument de liberté et de rigueur pour l'esprit; même le plus rudimentaire des compas tracera toujours un cercle parfait, à la dimension et à l'emplacement choisi par son utilisateur.Dans la vie quotidienne, le compas permet notamment au Franc-maçon de comparer ses actions, de conserver ce qui est juste, de reporter son comportement, de garder la mesure de toute chose et d'agir de manière équitable et proportionnelle

     

    3) L'Équerre

    L'équerre représente la régularité et la perfection pour l'exécution des travaux. Elle est le symbole de la discipline, de la rectitude, de la raison et de la droiture; Elle montre ce qui est droit (juste) et permet de redresser ce qui ne l'est pas encore ou ne l'est plus.Assemblée ou entrelacée avec le compas, elle représente la matière par rapport à l'esprit. Ainsi, l'équerre et le compas deviennent complémentaires et ont pour objectif de former le cœur et de régler l'esprit. Ils représentent la sagesse et la justice.Dans la vie quotidienne, l'équerre représente l'honnêteté (pour soi et pour les autres), la droiture (dans les pensées et les actions) et la vertu (respect de la loi morale).

     

    Voir plus ici :

    http://www.latolerance.ch/symboles/lequerre

     

    LA FRANC-MAÇONNERIE, RELIGION SATANIQUE

    Les francs-maçons se disent unificateurs, et que par leurs actions ils prêchent la liberté de conscience,l'amour et la paix entre les peuples,la solidarité humaine,etc...Ils œuvrent à substituer les dogmes religieux traditionnels propres à chaque communauté par une nouvelle religion vouée au culte du Grand Architecte comme indiqué dans leurs Constitutions.Ils ont mis en place des rituels remplaçant ceux édictés par les religions traditionnelles.Hormis l'Islam qui considère la franc-maçonnerie comme une apostasie, les autres religion se sont accommodées avec elle.

    "L’histoire de religions nous montre un continuum dans leurs évolutions, les unes remplaçant les autres en leur empruntant des Dieux et en les faisant évoluer en fonction des besoins sociaux. Les changements de religion sont généralement liés aux changements dans la société humaine. L’abandon des civilisations de chasse et de pèche modifie les rapports avec la nature et modifie les Divinités à invoquer ; la vie nomade avec l’élevage induit de nouvelles croyances ; la sédentarisation les modifie… Les religions s’entrecroisent, se modifient et se complètent les unes par rapport aux autres pour s’adapter à leur environnement. La non-adaptation provoque leur disparition : religions étrusques, grecques, romaines, védiques, certaines formes de chamanisme… ont disparu du fait de la disparition de leur « habitat » de référence. La pratique religieuse qui demeure le fondement de toute religion est éminemment liée à l’environnement économico-social du lieu de pratique… Il y a symbiose entre la religion et la société ; toute évolution sociale se traduit par une évolution de la forme religieuse"

    http://www.ledifice.net/P053-2.html

     

    LES RITUELS DE LA FRANC-MAÇONNERIE

    Tout initié devrait passer par diverses étapes pour être accepté comme franc-maçon.Voir lien ci-dessous :

    http://chemin47.eklablog.net/etapes-et-symboles-de-la-ceremonie-d-initiation-c26781016

    Source :

    http://://henrymakow.wordpress.com/2012/10/29/la-franc-maconnerie-est-basee-sur-la-kabbale/

    En conclusion,on peut dire que la franc-maçonnerie tend à supplanter les religions reconnues, malgré elle s'en défend. En fait,de par son essence,elle est une religion satanique, vouée au culte de Baal-Moloch pour lequel des sacrifices d'enfants lui sont encore offerts à ce jour.Voir article ci-dessous :

    La naissance du culte de Moloch, le Dieu flamboyant dévoreur d’enfants

    "Difficile de trouver un historique simple et détaillé de la naissance de ce culte. Voici donc ma version simplifiée qui devrait vous aider dans vos recherches personnelles. Je ne fais aucun commentaire.

                                                                                   moloch
                                                           Le dieu Baal-Moloch des Phéniciens.

    Voilà bien des siècles une catastrophe épouvantable et inexpliquée détruisit deux grandes cités au bord de la Mer Morte, en Judée, à savoir Sodome et Gomorrhe. En quelques instants, tout fut embrasé et périt dans un torrent de feu.

    Tout et tous ! … Sauf un homme du nom de Loth, et ses deux filles… Les enfants de ces filles, Ammon et Moab, fondèrent une cité en Arabie Pétré, où sans doute frappés par le destin de leurs parents, ils instaurèrent une religion dédiée au feu. Bientôt, les Ammonites et les Moabites entretinrent des feux continuels dans leur capitale, Rabbath-Ammon, pour honorer leurs divinités Ammon et Moloch à qui ils sacrifiaient des enfants.

    Puis ce culte gagna la Palestine. Le roi Salomon l’adopta( mensonge juif,ndr) et l’on vit ses successeurs Acaz et Manassé avoir la cruauté d’offrir leurs fils à Moloch.

    Le Moloch Juif avait une tête de Bélier. Le Dieu Ammon des Egyptiens avait aussi une tête de Bélier. On ignore si les Egyptiens firent des sacrifices humains à ce dieu; par contre chez les Cananéens, les Araméens et les Phéniciens, Moloch fit des ravages en changeant de nom et en devenant Baal ou Bel. Le Baal-Moloch (illustration ci-dessus) s’est transformé en tête de Taureau. Chaque cité ou lieu avait son Baal ou son Bel-Moloch.

    En Palestine il y eut Baal-Azor, Baal-Bek, en Syrie, Baal-Samin chez les Sémites, Baal-Phégor, sur le mont Phégor.. Mais le plus redoutable fut le Moloch-Baal de Carthage .

    Regardez-le. Il est horrible avec ses ailes à la manière des Assyriens ou des Perses. Quoi qu’il en soit, Carthage, colonie phénicienne, adorait ce dieu infernal.

    Peu après la première guerre punique, les mercenaires enrôlés par les Carthaginois n’ayant pas touché leur solde, se révoltèrent et assiégèrent Carthage défendue par une triple ligne de remparts.

    Au bout de deux ans de lutte aux fortunes diverses, plus de 300,000 mercenaires s’attaquèrent aux fortifications et après de furieux combats, s’emparèrent de la première enceinte! Mais malgré tous leurs efforts, ils ne purent aller plus loin !…

    N’ayant pas de navires pour bloquer le port et affamer Carthage. Les chefs de la rébellion Matho et Spendius, firent alors crever l’aqueduc qui amenait l’eau à la ville assiégée. EN pleine sécheresse, la cupide et orgueilleuse cité se trouvait dans une situation dramatique et le Conseil des Anciens, plutôt que de verser enfin leur solde aux mercenaires, prit alors une décision épouvantable. Chaque famille carthaginoise livrait un enfant en âge d’être sacrifié!… Le lendemain matin, comme le temps pressait, les prêtres de Moloch descendant de Megara, la ville haute, commencèrent leur sinistre récolte et avant que le soleil fût à son zénith, ils avaient rassemblé plus de 400 garçons sans que personne n’ait élevé la moindre plainte…

    Le jour suivant une foule énorme se tenait sur la place de Khamon, devant le temple de Moloch. Afin que toute la population puisse voir le dieu, un mur avait été ouvert et l’on avait fait passer la gigantesque statue d’airain sur l’esplanade. Alors les serviteurs du temple allumèrent le feu.

    Après les chants et rites d’usage, le grand pontife donna le signal et les bras de l’idole se baissèrent pour que l’on y dépose les premières victimes. Aussitôt, de sa main glacée, le bourreau fit avancer, un par un, les garçons. Ils étaient tous encapuchonnés d’un voile noir: ainsi personne ne pouvait les reconnaître et il fallait qu’aucun Carthaginois ne faiblisse. Les immenses bras actionnés par des chaînes se relevèrent et les premiers sacrifiés furent engloutis dans la gueule incandescente…

    Cela dura des heures! Une chaleur intense régnait autour du dieu rougeoyant et une grande fumée montait dans le ciel qui devenait gris. A présent, les Carthaginois hurlaient des invocations à Moloch tandis qu’au loin, sur le pourtour de la première enceinte, les mercenaires regardaient le spectacle, horrifiés.

    Lorsque la nuit tomba, le colosse d’airain était gavé à l’excès. Incandescent… jusqu’aux genoux, il semblait chanceler sous le poids d’une ivresse monstrueuse… Mais la foule emportée par la frénésie, voulait lui offrir encore des victimes toujours des victimes.. Il n’y en avait plus ! Alors, certains s’entretuèrent.

    Enfin, l’orage éclata et l’eau tomba en cataracte, toute la nuit. Gorgés d’horreur, les Carthaginois se laissaient tremper par l’eau tiède tandis que les citernes se remplissaient. Le lendemain matin, les mercenaires pataugeaient dans la boue de leur campement. Bientôt ils levèrent le siège. Carthage était sauvée !…

    Mais à quel prix ?

    De là est née la légende du Dieu Moloch. Ce culte fit des ravages pendant des siècles..

    Sachez que le culte de Moloch est toujours actif de nos jours au Bohemian Club. Faites des recherches sur ce « Club »."

    Source :

    http://www.nouvelordremondial.cc/2015/07/21/la-naissance-du-culte-de-moloch-le-dieu-flamboyant-devoreur-denfants/

    INTERCONNECTION DE LA FRANC-MAÇONNERIE AVEC LA KABBALE La Franc-maçonnerie est basée sur la Kabbale Depuis les soi-disant «Lumières», l’humanité est peu à peu tombée sous le charme de la Kabbale. Ce que nous avons appris à prendre pour du «progrès» est en fait la résurgence d’un culte satanique païen ancien de la fertilité, incarné par la Kabbale. Le «dieu» de la Kabbale n’est pas Dieu du tout. Il est Lucifer. Les Juifs Illuminati et leurs alliés francs-maçons sont furtivement occupés à ériger un Nouvel Ordre Mondial dédié à Lucifer. Selon le chercheur doué, David Livingstone, le plan de Lucifer a été formulé dans la Kabbale du VIème siècle avant J.C., lorsque les Juifs étaient détenus en captivité à Babylone. Selon la Bible, cet exil était une punition pour l’adoption du paganisme de leurs voisins, les Cananéens. Ils s’étaient appropriés l’ancien culte du dieu de la mort, Lucifer. Parmi les pratiques odieuses prescrites par ce culte étaient les «mystère» des rites impliquant de la musique, des substances intoxicantes, le sexe orgiaque et le sacrifice humain. La Kabbale est basée sur d’anciennes mythologies païennes qui racontent l’histoire d’un dieu originel ayant créé l’univers, et d’un dieu usurpateur (Lucifer) qui finit finalement par le vaincre et vient à gouverner l’univers à sa place. Lucifer est la progéniture de Dieu le Père et de son épouse, la Déesse. Mais le dieu-fils épouse également sa mère. Le Dieu-fils a été identifié avec le soleil tandis que la Déesse a été identifiée avec la planète   Vénus, le premier objet céleste aperçu au lever du soleil. «Essentiellement, le dieu et la déesse étaient considérés comme deux aspects d’un seul dieu. » écrit Livingstone dans son dernier livre «S’abandonner à l’Islam». «En tant que tels, les autres noms de Satan étaient «Prince de l’Aurore» ou «Fils de l’Aube». Lucifer, qui illustre le mal, était connu comme un «Dieu mourant», car chaque hiver, il mourrait et descendait aux enfers où il régnait sur les esprits des morts. La Kabbale est un culte sexuel lié au cycle des saisons. Il est défini par l’accouplement incestueux du dieu et de la déesse pour assurer la fertilité. Lucifer exige des sacrifices. Il doit être apaisée pour éviter sa malfaisance et la diriger contre ses ennemis. Le sacrifice le plus bénéfique est l’abattage d’un enfant. Livingstone, explique : «Ceci [les sacrifices d’enfants] était devenu la base de ce culte dans le monde antique. Les rituels de la mort et de la résurrection imitaient celui du dieu [Lucifer.] Les participants ingéraient des substances intoxicantes et dansaient sur de la musique afin d’atteindre un état d’extase, ou de possession par un djinn [démon], par lequel ils croyaient obtenir des pouvoirs surnaturels tels que le changement de forme, la clairvoyance et d’autres pouvoirs magiques. Dans cet état, ils faisaient égorger un enfant, mangeaient sa chair et buvaient son sang afin que le dieu puisse renaître en eux.» LES SACRIFICES RITUELS ET LES ORGIES CARACTÉRISENT LE CULTE ILLUMINATI Les transfuges Illuminati témoignent que ces pratiques se poursuivent aujourd’hui. Livingstone dit que ces rituels impliquent généralement des orgies sexuelles où un prêtre et une prêtresse personnifient le Dieu et la Déesse au cours d’un « Mariage Sacré ». Ils deviennent possédés et produisent un « fils de dieu » qui devrait alors régner comme roi. Livingstone déclare que c’est la base d’un culte satanique qui domine aujourd’hui le monde. «Il est cette religion secrète qui est considérée comme l’occultisme. Ses partisans font avancer le plan satanique pour un Nouvel Ordre Mondial, et l’élimination de l’Islam.» (Pp. 11-13) À la lumière de ce contexte, nous pouvons apprécier à quel point les enseignements kabbalistes sont pernicieux. Par exemple, ils enseignent que Dieu n’a pas d’attributs. Cela est satanique. Dieu est moral, la différence entre le bien et le mal, le faux et le vrai, le beau et le laid. Pas étonnant que l’humanité ait perdu sa capacité de discernement. Encore une fois, la Kabbale enseigne que la relation entre l’homme et Dieu est sexuelle et érotique, et que la sensualité et l’ivresse sont religieuses. C’est satanique. L’explication de Livingstone de la Kabbale explique pourquoi le sexe (la promiscuité, la pédérastie, l’inceste) est utilisé pour dégrader et diaboliser les êtres humains et pourquoi le modernisme est un sort kabbalistique. Selon Livingstone, les Juifs mélangèrent ce paganisme avec la magie babylonienne et l’astrologie, et appelèrent la Kabbale une «interprétation» du Judaïsme. Ces kabbalistes ont déguisé leur ordre du jour luciférien de domination du monde en préparant le monde pour la venue de leur supposé «Messie». LA FRANC-MAÇONNERIE ET LE CHOC DES CIVILISATION David Livingstone décrit la propagation de la Kabbale : « Les prétendus philosophes grecs ont été les premiers importants kabbalistes. Quand les Juifs furent libérés de leur captivité par l’empereur perse, Cyrus le Grand, de nombreux kabbalistes se répandirent dans diverses parties du monde, notamment en Grèce et en Egypte. Le Platonisme et les philosophies Orphique et Dionysiaque ont été influencées par la Kabbale. De la Grèce et l’Egypte, les pratiques kabbalistiques se propagèrent à travers l’Europe où elles étaient connues comme de la sorcellerie. Mais les influences les plus importantes furent l’humanisme de la Renaissance, et l’émergence des Rose-Croix. Le mouvement Rose-Croix a été initialement démantelé à la suite de la guerre de Trente Ans, mais un certain nombre d’entre eux trouvèrent refuge en Angleterre où ils fondèrent la Franc-maçonnerie. Avec l’avènement des Illuminati, les francs-maçons furent responsables de ce grand projet des Lumières, dont le but était de supplanter l’autorité Chrétienne, en passant par les révolutions Américaine et Française. L’objectif de ces révolutions a été de créer des sociétés laïques, au sein desquelles le Christianisme, et toute religion, d’ailleurs, devaient être définitivement séparées de «l’État». Libérés de ces contraintes, les Illuminati pourraient faire progresser leur pouvoir à travers la banque, parce que jusque-là le Christianisme avait largement interdit la pratique de l’intérêt bancaire usuraire. L’interprétation kabbalistique de l’histoire voudrait nous faire croire que cette évolution du sécularisme est un progrès. Nous sommes amenés à croire que la Démocratie est le produit final de l’évolution humaine éloignée de toute superstition religieuse. Cependant, alors que cette évolution a été une prérogative de l’Occident, l’Orient est encore engluée dans un stade plus primitif, obstinément adhérant à l’idée de «théocratie», c’est le monde de l’Islam. Et donc, pour l’accomplissement du progrès kabbalistique, ce dernier obstacle doit être éliminé, avant l’imposition définitive d’une hégémonie occulte sur l’humanité. D’où le «Choc des Civilisations» menant au règne de l’Antéchrist. Nous-y voilà donc. La laïcité est un masque pour la résurgence de la Kabbale, du Paganisme et du Satanisme. C’est cela le progrès! Henry Makow Catégories : Franc-maçonnerie, Kabbale Étiquettes : david livingstone, lucifer, nouvel ordre mondial Source: http://://henrymakow.wordpress.com/2012/10/29/la-franc-maconnerie-est-basee-sur-la-kabbale/
    Serge Abad Gallardo, ex franc-maçon converti : "La franc-maçonnerie est luciférienne" - reinformation.tv

    A une époque où il est presque de bon ton d’annoncer son appartenance à la FM (dans le gouvernement de François Hollande, presque tous les ministres en faisaient partis), Serge Abad Gallardo a décidé au contraire d’annoncer son horreur d’avoir été l’un de ses membres. Après 24 ans passés en son sein, il affirme : « La Franc-maçonnerie est luciférienne. Tous les satanistes sont franc-maçons. Aleister Crowley, était sataniste et franc-maçon. Albert Pike l’était également. Pour lui, « la religion maçonnique est la religion luciférienne par excellence… ». Ce cheminement de Serge Abad-Gallardo, ces 24 années passées en franc-maçonnerie, ces réponses qu’il attendait et pour lesquelles il n’avait aucune réponse, ont fini par le convaincre que la maçonnerie n’était qu’un leurre. En 2014, touché par la grâce de Dieu, Serge s’est converti à la religion catholique.

    Version courte :

    Version longue :

     

    Source :

    https://mobile.agoravox.tv/tribune-libre/article/serge-abad-gallardo-ex-franc-macon-74395

    Conférence de Johan Livernette tenue à Lyon le 14 juin 2014  sur la franc-maçonnerie en France

     

     

     

    Jan Van Helsing - Les Sociétés secrètes et leur pouvoir au 20ème siècle




    Jan Van Helsing - Les Sociétés secrètes et leur pouvoir au 20ème siècle
    Un fil conducteur à travers l'enchevêtrement des loges de la haute finance et de la politique. Commission trilaterale, Bilderberger, CFR, ONU.


    Prière d'acceptation à la soumission :
    Soyez heureux vous qui nous font s’entre-tuer.
    Soyez satisfait, repus de tant de haine entretenue.
    Que votre divin Mamon, vous apporte toutes les joies qui découlent de nos misères.
    Pardon, nous Vous devons face à l’incompréhension de vos pulsions.
    Soumission, nous Vous ferons à vos désirs de nous nuire.
    Bonne lecture, si vous avez choisi de lire…


    Croyez-vous vraiment savoir ce qui se passe sur notre planète ?
    Beaucoup d’auteurs ont déjà affirmé que seuls quelques puissants personnages exercent un contrôle absolu sur tous les événements mondiaux. Jan van Helsing nous confronte à cette affirmation ; il nous démontre l’enchevêtrement des loges et de l’occultisme avec la haute finance et la politique. Il nous fait grâce, cependant, d’en faire retomber l’entièreté de la faute, comme c’est souvent le cas, sur les “francs-maçons”, les sionistes ou Satan. Il va aussitôt au cœur du problème. Il s’exprime sans ambages, comme les jeunes de son époque, qui ne craignent point d’affronter les systèmes criminels basés sur le contrôle, la puissance et la manipulation. Ce livre n’est pas seulement le résultat d’années de recherche et de la compilation de lectures, il est étayé aussi de rapports d’ex-agents secrets de différents pays. L’auteur ne se contente pas de dévoiler les dessous de la politique, il nous apprend qu’on nous cache l’existence d’une technologie qui pourrait très vite sortir l’humanité de l’état pitoyable – et voulu – où elle se trouve. Une nouvelle façon de considérer le monde où nous vivons ! ce livre va ébranler le lecteur et va l’inciter à aller de l’avant !


    Pour télécharger le livre en PDF,aller sur :

    https://www.fichier-pdf.fr/2014/03/20/van-helsing-jan-les-societes-secretes-et-leur-pouvoir-au-20eme-siecle/

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